Spiritualité - Textes choisis

Nous sommes manipulés



1. SIDA : le film qui dérange
Extraits de l’article de la page 30 du Bioinfo n°101, par Renaud Russeil

Bientôt disponible en français, le documentaire américain « House of Numbers » met à mal la théologie officielle du sida et sa prétendue causalité virale. Les plus grands chercheurs, dont le Professeur Luc Montagnier, découvreur du virus VIH, y remettent en cause les croyances les plus courantes sur ce que nous savions de la maladie.
[…]
Nous apprenons, par la voix de hauts responsables du CDC (Centre de contrôle des maladies infectieuses américain), James Curren, Harry Haverkos, Robert Gallo (longtemps considéré comme le codécouvreur du VIH), que la politique du sida fut principalement décidée dans le but d’obtenir des financements pour la recherche. Dans les années 80, les fonds manquaient et les organismes de santé publique tels que le CDC avaient besoin de maladies infectieuses, d’une épidémie, pour résoudre ce problème. Karry Mullis, Prix Nobel de chimie, confirme cette affirmation tumultueuse. La solution consista à faire du sida une maladie infectieuse qui toucherait l’ensemble de la population. Pourtant, on se souvient que dans les premières années, les symptômes du déficit immunitaire étaient essentiellement une maladie pulmonaire (pneumocystis) et une forme de cancer de la peau (sarcome de Kaposi), qui affectaient uniquement des patients homosexuels.
[…]
Plusieurs chercheurs qui ont toujours soutenu, et soutiennent encore l’hypothèse du VIH, soulignent que la définition de la maladie a évolué avec les années, plus particulièrement quand le nombre des malades étaient en forte baisse. Le changement le plus important serait le comptage des cellules CD4 (défenses immunitaires), apparu en 1997, auquel on a donné le nom de « charge virale ». Avec cette évolution, une personne dont la charge virale était considérée élevée (selon le test utilisé), entrait dan la catégorie « sida », sans infection (maladie opportuniste) et sans VIH (sans séropositivité). D’où la question : le VIH est-il la cause du déficit immunitaire acquis ? Car tous ces scientifiques affirment savoir que la vraie cause du sarcome de Kaposi est la consommation par les homosexuels de drogues appelées « poppers », responsables également, comme la plupart des drogues, de maladies pulmonaires telles que la pneumocystis.
Le film couvre de nombreuse autres sujets, tels que la capacité des tests de dépistage à réellement déterminer la séropositivité au VIH ; un problème persistant depuis leur mise sur le marché, qui n’est toujours pas résolu en 2010 (tests Elisa et Western Blot). On y parle aussi de l’AZT et des multi thérapies… On trouve encore ce passage largement diffusé sur le web, dans lequel Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine avec Françoise Barré-Sinoussi pour l’isolation du VIH, affirme qu’une bonne alimentation et une bonne hygiène de vie suffisent pour éliminer en quelques semaines le virus de l’organisme humain.
Par-delà « la controverse sur la réalité du sida », House of Numbers présente un autre intérêt majeur : il révèle ou confirme la face cachée du système de santé moderne, aujourd’hui géré par des politiciens, des économistes et les industriels de la pharmacie.
(Renaud Russeil est l’auteur de « Enquête sur le sida, les vérités muselées » aux Editions Vivez Soleil).
Le film « House of Numbers » avec les sous-titres en français, est disponible sur le site du film (http://www.houseofnumbers.com/site/store).


2. L’ONU lance le sida pour enrayer la croissance démographique mondiale
Extrait de « L’ancien secret de la fleur de vie » Volume I de Drunvalo Melchizédek

Le mémorandum de Strecker sur le sida

[…] Dr Strecker a enregistré sur vidéo le mémorandum de ce qu’il pense qu’il s’est vraiment passé avec le sida. C’est un homme brillant. Il a travaillé avec les rétrovirus pendant longtemps et c’est un expert en la matière. Il a montré sa vidéo à la télévision et les gouvernements l’ont menacé. On prétend qu’ils ont tué son frère ainsi que le sénateur qui le parrainait. Mais ils ne firent rien à Strecker lui-même – c’eut été trop évident, je suppose. Le docteur Strecker a distribué beaucoup de ses vidéos. Il les a répandues dans le monde, quand bien même on n’en entend plus parler.
Dans cette vidéo, le Dr Strecker montre comment les Nations unies ont tenté de résoudre le plus gros problème dans le monde aujourd’hui, c’est-à-dire la surpopulation. Au rythme actuel, la population mondiale aura doublé en l’an 2010 ou 2012. Mais étant donné les mesures prises par la Chine, qui ne permet qu’un seul enfant par couple, et d’autres mesures draconiennes prises un peu partout dans le monde, on était parvenus à ralentir cette croissance. L’organisation croit encore à ce doublement de la population. On estime maintenant qu’en 2014 environ, la population mondiale aura doublé par rapport à aujourd’hui. Si cela s’avère exact, les modèles calculés par ordinateur ont montré que toute vie sur terre cessera ou que l’on désirera ardemment qu’il en soit ainsi. En effet, selon l’Organisation des Nations unies, nous pouvons à peine nous en sortir avec une population de presque six milliards d’individus. Pouvez-vous imaginer ce que ce serait s’il y avait onze ou douze milliards de gens dans le monde ? Il n’y a simplement pas moyen que ça marche, du moins avec notre présent système.
Par conséquent, si vous aviez un poste important aux Nations unies et saviez que ce désastre allait probablement se produire et qu’une décision s’imposait, que feriez-vous ? Je ne juge pas ceux qui ont choisi de faire ce qui a été fait – mettez-vous à leur place ! Vous vous rendez compte que la Terre va bientôt faire face à un mur et qu’elle sera complètement détruite si les choses ne changent pas. Ces gens-là prirent donc une décision – ce que le Dr Strecker démontre dans son mémorandum télévisé. L’ONU décida ainsi : plutôt que d’avoir à faire face à une population mondiale de onze milliards d’individus en peu de temps, ses membres voulurent la réduire des trois quarts. Dans la vidéo, ce spécialiste cite des extraits du document de l’ONU qui nous incitent à penser qu’un plan visant l’élimination des trois quarts de l’humanité doit être mis en place.
Le Dr Strecker démontre scientifiquement et de manière précise comment les responsables s’y sont pris. Le virus du sida fut créé en combinant un virus de mouton avec un virus de vache. Mais avant de le propager, on créa également son antidote. Les gouvernements ont une cure pour ce virus en ce moment même, selon le Dr Strecker. Les gens qui ont fabriqué ce virus – et l’histoire prouvera ce fait – étaient évidemment remplis de préjugés, puisqu’ils ciblèrent deux groupes : les Noirs et les homosexuels.
Il y avait à Haïti une épidémie d’hépatite B dans la communauté gay et tous avaient besoin d’un vaccin contre cette maladie. Des agents de l’ONU prirent donc le virus du sida, l’ajoutèrent au vaccin contre l’hépatite B et permirent que ce nouveau produit soit injecté dans le corps des patients haïtiens… C’est comme ça que le virus a commencé ses ravages, selon le Dr Strecker. Autre évidence démontrant que ce fait est vrai : le virus ne fut pas transmis exclusivement aux homosexuels dans le reste du monde. En Afrique, où il y a au moins 75 millions de gens atteints du sida, le rapport entre hommes et femmes infectés est presque exactement de moitié-moitié depuis le début jusqu’à aujourd’hui. C’est seulement à Haïti, et un peu plus tard aux Etats-Unis, que le virus s’est répandu presque exclusivement dans la population homosexuelle. Si vous étudiez les statistiques de notre pays, ce sont les femmes qui attrapent le sida beaucoup plus vite que n’importe qui d’autre. Bientôt sans doute, vous allez voir la nature équilibrer les plateaux de la balance de telle manière que vous aurez exactement la même situation partout dans le monde, c’est-à-dire un nombre égal d’hommes et de femmes ayant le sida. Ce n’est pas une maladie d’homosexuels du tout – nos inclinations sexuelles n’ont rien à voir là-dedans. Ce que nous observons, c’est le préjugé des gens qui ont créé ce virus.
Selon le Dr Strecker, c’est l’OMS (l’Organisation mondiale de la santé) qui a aidé à créer cette maladie, mais qui s’est également occupée correctement d’autres maladies – tout comme les médecins du monde entier. Prenons le cancer par exemple. Les spécialistes craignent qu’un jour le cancer devienne contagieux non pas par la pollution, la nourriture ou toute autre chose du genre, mais en s’installant dans l’air ou dans l’eau, comme le virus de la grippe. Vous marcheriez près d’une personne qui a le cancer et pourriez l’attraper. Mais le nombre de virus différents du cancer est si minime que les chances que cela se produise restent très minces. En ce qui concerne le sida, on dénombre 9000 genres de virus, mais à la puissance quatre, soit 6 561 000 000 000 000 différents virus du sida – un nombre gigantesque. Et chaque fois que quelqu’un est atteint du sida, un virus tout nouveau est créé, qu’on n’avait jamais vu auparavant, jamais. Cela veut dire qu’il est inévitable, mathématiquement parlant – c’est juste une question de temps -, que le sida se répande rapidement dans le monde entier, tout comme jadis la grippe asiatique.
Une rumeur circule à propos de l’Organisation mondiale de la santé et de ses dirigeants, qui croient que cette forme de sida a déjà commencé à se propager rapidement. Aux environs de 1990 à 1991, l’OMS fit examiner une tribu africaine de 1400 membres, des plus âgés aux petits bébés qui, eux, ne peuvent être accusés de mauvaises pratiques sexuelles, et on découvrit que tous les membres de la tribu, sans exception, avaient le sida. C’est alors que l’OMS annonça secrètement que le virus était sans doute maintenant dans l’air ou dans l’eau et qu’il se pouvait que la maladie se répande telle une traînée de poudre. Si c’est bien ce qui s’est passé, savez-vous si vous êtes à l’abri d’un tel mal ? Vous avez besoin de connaître la vérité – vous êtes beaucoup plus que ce que vous savez sur vous-mêmes. (Pages 90 – 92 – Edition Ariane)


3. L’électricité
Extrait de « L’Ancien Secret de la Fleur de Vie » de Drunvalo Melchizedek

Depuis Tesla, les gouvernements n’ont pas permis que la connaissance du point zéro circule librement dans le public. Pourquoi? Cet ingénieur et physicien américain voulait donner gratuitement au monde une source d’énergie intarissable, sachant que c’était la technologie du point zéro. Malgré tout, le banquier J.P. Morgan (qui avait prêté des fonds à Tesla pour ses recherches) était également le propriétaire de nombreuses mines de cuivre et il ne voulait pas que l’électricité soit gratuite. Il désirait au contraire qu’elle passe par des fils de cuivre, de manière qu’on puisse aussi installer des compteurs sur ces lignes, facturer les utilisateurs et gagner ainsi beaucoup d’argent. Les efforts de Nikola Tesla furent donc réduits au minimum et depuis ce temps-là, le monde entier est tombé sous le contrôle de la haute finance.
A partir des années 40, toute personne qui effectuait de la recherche sur la technologie du point zéro et en parlait publiquement était soit kidnappée soit mise à mort – et ce, jusqu’à tout récemment. En 1997, une entreprise du nom de Lightworks, qui produit et distribue des programmes éducatifs sur vidéo, prit secrètement contact avec quelques uns de ces scientifiques et commença à enregister leurs interviews et leurs démonstrations sur film.
Les vidéos produites racontent l’histoire de ce qui s’est passé depuis les années 40 et l’on peut même voir des modèles de ces inventions en parfait état de marche. On assiste à des démonstrations de machines qui, lorsqu’elles sont mises en route, fournissent énormément plus d’électricité qu’elles n’en consomment. On voit des accumulateurs qui n’ont jamais besoin d’être rechargés. On explique clairement devant la caméra comment un moteur à essence ordinaire peut être converti de telle manière qu’il ne fonctionne plus qu’avec de l’eau ordinaire (ou plus exactement, avec l’hydrogène tiré de l’eau) et développe une puissance supérieure à celle de l’essence ou du gasoil. On peut aussi voir des plaques qui font perpétuellement bouillir de l’eau, du moment que la température extérieure est au-dessus de 40°F (environ -18°C). Les vidéos nous montrent beaucoup d’autres inventions scientifiques que l’on considérait comme impossibles à réaliser selon les standards de l’époque. Une fois que Lightworks eut terminé son travail et que les vidéos furent prêtes pour la vente, on les lâcha sur le marché en un seul jour et les informations se retrouvèrent simultanément disponibles sur Internet. […] Site Web http://www.lightworks.com. Le monde était maintenant forcé de changer de direction. Deux semaines plus tard, l’Angleterre et le Japon annonçaient qu’ils étaient très près de trouver une solution au problème de la fusion à froid. Le monde avait déjà commencé à changer.
Le 13 février 1998, l’Allemagne a accordé un brevet mondial aux fabricants d’une machine productrice d’énergie libre basée sur le carbone, une feuille mince de ce matériau étant capable de produire à perpétuité 400 watts d’électricité. Cela veut dire que tous les ordinateurs et les petits appareils ménagers, sèche-cheveux, mixeurs, lampes électriques, etc., ne nécessiteront plus de prises électriques pour fonctionner. C’est la fin d’un vieux monde et la naissance d’un autre, celui de l’énergie éternellement renouvelable. (pages 250 à 252 – Edition Ariane)


4. HAARP (1)
Extrait de « Aller au-delà de l’humain » de Kryeon, channelé par Lee Carroll

Note de Lee Carroll :
Haarp est peut-être l’expérience la plus dangereuse et la plus monstrueuse jamais entreprise pour la défense de notre pays, exception faite de la première explosion de la bombe atomique. A Los Alamos, avant l’explosion de la première bombe atomique, on avait demandé aux physiciens qu’est-ce qui, selon eux, se produirait au moment de l’explosion. il y avait eu toutes sortes de spéculations du « pétillement » jusqu’à l’inflammation de l’atmosphère de la terre. » Ils ne le savaient tout simplement pas… mais ils ont tout de même fait exploser leur bombe!
En tant que canal d’information utilisé par Kryeon, j’ai été invité à m’asseoir devant les délégués d’un groupe des Nations Unies et leurs invités en novembre 1995 à New York. Ils m’avaient invité pour channeler devant la Société pour l’Illumination et la Transformation (the Society for Enlightenment and Transformation), un groupe d’hommes éclairés à l’intérieur des Nations Unies. A ce forum, Kryeon avait déclaré: « Il y a des scientifiques qui travaillent sur des formules de transmission d’énergie… C’est une science valable et cela fonctionnera. Ce n’est cependant pas nouveau; cela a déjà été réalisé auparavant. Mais vos instruments sont tellement puissants maintenant. Nous vous prions de ralentir, car vous ne comprenez pas encore les facteurs de résonance du manteau et de la croûte de la terre. » En novembre, j’ignorais tout du Haarp, mais lorsque je commençai à étudier ce projet, je réalisai que c’était exactement à cela que Kryeon faisait allusion. La technologie de Scalaire est utilisée pour la transmission de l’énergie … et cela est dangereux pour la planète entière!
Ceci n’est pas un article technique, et je ne m’étendrai pas sur les aspects techniques de ce projet militaire qui se camoufle sous les traits d’une simple recherche scientifique. Je fais toutefois appel à vous tous qui lisez ces lignes: renseignez-vous davantage sur Haarp dans votre propre intérêt afin que vous compreniez la réalité et les possibilités de ce projet. Un livre, présentant une solide recherche sur les aspects techniques de cette expérience, a été récemment publié sous le titre Angels Don’t Play This HAARP (Les anges ne jouent pas de cette Haarp); il est signé de Jeane Manning et du Dr Nick Begich. C’est vraiment un livre « à lire » pour tout le monde.
L’édition du Popular Science Magazine du mois de septembre 1995 parle également de HAARP. […] Il rapporte également que Richard William, chimiste et consultant pour le Laboratoire Sarnoff à l’université de Princeton, s’inquiète et déclare: « Ce projet soulève toutes sortes de spéculation et de controverse à savoir si les 1,7 gigawatts de HAARP (1,7 milliards de watts) de puissance irradiante active d’une fréquence de 1,8 à 10 Mhz pourraient causer des dommages irréparables à la zone supérieure de l’atmosphère. HAARP déversera d’énormes quantités d’énergie dans la partie supérieure de l’atmosphère et nous n’en connaissons pas les conséquences. Avec des expériences de cet ordre, des dommages irréparables peuvent être causés dans une courte période de temps. Il faut sans tarder engager ouvertement une discussion. Sinon, on assistera à un acte de vandalisme global sur la planète. » (Pages 301 à 303 – Edition Ariane)


5. HAARP (2)
Extrait de « L’Ancien Secret de la Fleur de Vie » de Drunvalo Melchizedek

Souvenez-vous que le professeur Einstein ne savait pas vraiment, quand on était sur le point de faire exploser la première bombe atomique, si la réaction en chaîne du matériau radioactif s’arrêterait ou non. Notre gouvernement savait qu’une fois la première bombe explosée, cela aurait pu signifier la fin du monde – toute vie aurait pu cesser en quelques minutes. Mais nous avons quand même appuyé sur le bouton! Voilà bien notre incompétence spirituelle!
Nous devons maintenant faire face à un autre moment dans l’histoire où notre gouvernement a décidé de jouer une fois encore avec nos vies. Quand le projet HAARP a commencé au printemps de 1997, nos scientifiques ne savaient pas avec certitude si notre atmosphère allait être détruite ou non. Ils ne savent toujours pas très bien quels seront les effets à long terme, tout comme ils ne savaient pas très bien ce qui se passerait exactement avec le projet Manhattan, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Qu’est-ce que HAARP? Vous devez savoir. Cet acronyme signifie High-Frequency Active Auroral Research Project (projet pour la recherche sur l’activité aurorale à haute fréquence). C’est une arme bien plus puissante que la bombe atomique. Les responsables du projet ont l’intention d’irradier 1,7 millards de watts dans l’ionosphère et, en fait, de faire bouillir la partie supérieure de l’atmosphère pour créer un miroir et/ou une antenne artificielle qui servira à transmettre d’énormes quantités d’énergie n’importe où sur la Terre. Cette énergie pourra être manipulée en vue de modifier globalement le temps, de diminuer ou de détruire les écosystèmes, d’empêcher les communications électroniques et de changer nos états émotifs et mentaux. Mentionnons enfin qu’une telle arme pourrait aussi être utilisée pour essayer de détruire le treillis de la conscience christique tout autour de la Terre. A ce propos, lisez Angels Don’t Play This HAARP, de Jeanne Manning eet du Dr Nick Begich. Ils vous en diront beaucoup plus. (Pages 89 et 90 – Edition Ariane)


6. Les dix commandements de l’ultra-libéralisme
Extrait de « Les Cinq Clés » de Frank Hatem

(d’après une conférence du Pr. d’Economie Ricardo Petrella, conseiller auprès de la commission des Communautés Européennes, Président et fondateur de l’Association des amis du Monde Diplomatique, donnée dans une université bretonne le 7 décembre 1998, à l’initiative de Fabrice Runigo et Michaël Horel, étudiants).

LE MONOPOLE, TON DIEU, TU ADORERAS
L’Europe aurait pu être, et devrait être, une opportunité pour les peuples d’initialiser une nouvelle conception de l’Etat au-delà des Etats, et une nouvelle conception de la société. Au lieu de cela, elle n’est qu’une opportunité pour les marchés et les entreprises internationales, opportunité de se mondialiser davantage, c’est-à-dire de tendre de plus en plus vers le monopole mondial, qui est en contradiction flagrante avec les principes du vrai « libéralisme ». Le libéralisme suppose la libre concurrence. Le monopolisme est la fin de toute concurrence même s’il est l’aboutissement logique du processus. La plupart des malheurs de nos sociétés proviennent de cela.

COMPETITIF TU SERAS, ET TON PROCHAIN TU TUERAS
Dominer le monde est d’ailleurs l’objectif ouvertement avoué de ces multinationales. Pour y parvenir, il faut s’appuyer sur le concept de COMPETITIVITE, qui n’est ni plus ni moins qu’un projet de destruction de l’autre, d’élimination du concurrent par tous les moyens. Ce concept est admis être connu comme bon par la plus grande part de la population pour son plus grand malheur.
« Il faut être compétitif ». Au nom de la compétitivité a lieu un vaste mouvement d’expropriation de l’humain dans tous les domaines. Même l’Université colporte ce concept et s’en fait le complice. L’étudiant, à la fin de ses études, a parfaitement intégré cette idée qui va faire de lui un « tueur », en attendant, de plus en plus vite, d’être tué par cette même exigence de compétitivité qui oblige à se recycler toujours, jusqu’à une limite d’âge de plus en plus précoce. Il n’en voudra même pas au système mais culpabilisera simplement de n’avoir pas su être assez « compétitif ».

A TA RENTABILITE DU VEILLERAS
La mondialisation est avant tout technologique, c’est-à-dire culturelle. Le but est que la vitesse de réaction des capitaux soit instantanée, que les investissements puissent se déplacer massivement en temps réel en fonction de la maximisation de la rentabilité, et ainsi réduire les états et les peuples en esclavage, à la merci des décisions de quelques uns. Les nouveaux outils d’échange suppriment les limites du temps et de l’espace. Cela semble a priori fort positif. Cela le serait si cette compression n’avait pas pour objectif de rendre tout très vite obsolète, donc de contraindre à une mobilité croissante dans tous les domaines. Il faut être partout en même temps. il n’y a plus de territoire qu’on puisse défendre.
Cet espace sans frontières est-il le lieu d’un village global? Cette ouverture mondiale est-elle l’occasion d’une unité entre les peuples? D’une harmonisation? Certes non. Seules les transactions sont véritablement sans limites et sans contrôle. Ce sont les capitaux qui sont de plus en plus libres, certainement pas les hommes. Il y a trente ans, quand on parlait de mondialisme, on imaginait une société idéale, sans guerres, sans misère. C’est l’inverse qui a été instauré. Le mondialisme aujourd’hui est devenu l’ennemi des peuples.

AU PROGRES TU TE SOUMETTRAS
La manipulation mentale par la secte libérale mondialiste, la plus brutale et la plus pernicieuse qui puisse exister, ne s’appuie pas que sur le concept de compétitivité. Elle s’appuie aussi sur une technique d’assimilation du « descriptif » et du « normatif »: Ce qui est un pur constat de circonstances devient une norme morale à laquelle il faut se soumettre si on veut rester dans la danse et avoir une chance de s’en sortir, une chance de détruire l’autre.
La première norme imposée est celle de l’économie ouverte: on ne peut aller contre le progrès technologique. tout ce qui est possible doit être réalisé. Le mondialisme découle du progrès technologique. Il est donc forcément bon. Etre contre le mondialisme c’est donc être contre le progrès, et c’est voué à l’échec.

AU MONDE ENTIER TU T’OUVRIRAS ET AUCUN TERRITOIRE NE DEFENDRAS
On est un bon gouvernement si on favorise le plus rapidement le règne du marché mondial en y intégrant et soumettant tous les marchés locaux. Si on veut tenir compte de l’intérêt local, des familles, des entreprises, des régions, on est un mauvais gouvernement contraire à l’ouverture économique et au progrès.
Les seuls protagonistes de cette mondialisation sont les entreprises de dimension mondiale. Elles seules sont aptes à gérer les ressources mondiales dans le sens d’une allocation optimale des capitaux. Il faut donc leur faire confiance. L’intérêt qui doit être poursuivi est l’intérêt des multinationales puisque ce sont elles qui ont la capacité d’accroître la compétitivité. Tout autre intérêt doit y être subordonné. Dans cet esprit, on a libéralisé un à un tous les marchés, et on continue. Libéraliser, c’est déréglementer de sorte que les capitaux puissent circuler librement et sans la contrainte de se préoccuper de tel ou tel intérêt local. Toujours au nom de l’ouverture et de la compétitivité.

TU LAISSERAS LES AUTRES MOURIR DE FAIM
Ainsi, on a libéralisé les marchés des capitaux, la pêche, l’agriculture, les matières premières etc. et on connaît le résultat: l’industrialisation de la pêche et de l’agriculture avec son cortège de pollution, de chômage, de surexploitation, de misère en particulier dans les pays sous-développés et au bout du compte la famine dans des régions entières du globe. Alors que le discours avait toujours été que l' »optimisation » des allocations de ressources avait pour but de donner à manger à tout le monde. C’est faux de façon flagrante. Le but est le pouvoir monopolistique sur l’alimentation de l’humanité: 80% des semences sont sous le contrôle d’une seule multinationale qui s’est arrangée pour faire disparaître 90% des espèces de riz et autres céréales au profit de celles qu’elle contrôle, et les manipulations génétiques permettent de créer des semences qui ne se reproduisent pas, c’est-à-dire qui obligent le cultivateur à racheter la semence à chaque fois. La deuxième génération n’est plus apte à la reproduction, tel est le but poursuivi. Avec en vue le chantage à la mort pour l’humanité tout entière, par des monopoles comme MONSANTO, qui fixeront librement le prix de tout ce qui est vital. L’esclavage absolu.

UNE MARCHANDISE TU DEVIENDRAS
Même chose pour la libéralisation dans le domaine culturel. La déréglementation c’est l’universalisation d’une langue unique, d’une culture unique, en utilisant des moyens techniques uniformisés contrôlés par un seul groupe multinational. Le monopole de la pensée est d’autant mieux programmé que le marché éducationnel a remplacé l’éducation. Dans ce marché mondial, le professeur local n’aura bientôt plus de raison d’être et disparaîtra. On achètera un produit éducationnel pour sa compétitivité, qui permettra de mettre à niveau la propre compétitivité de l’acheteur, et c’est à cela que conduit l’Université en jouant ce jeu qui fait de l’étudiant un produit à vendre aux entreprises qui la subventionnent au même titre qu’une brevet de recherche. Si ce produit n’a pas acquis une mobilité totale, c’est-à-dire s’il ne se soumet pas à toutes les déportations, à toutes les flexibilités, à toutes les contraintes au nom de la compétitivité, il est déjà bon pour la casse.

TOUTE SOUVERAINETE TU ABANDONNERAS
A quoi sert l’Etat dans ce monde mondialisé? A rien bien entendu. Au contraire, l’Etat est l’ennemi naturel de la mondialisation. Pour que l' »ouverture » soit totale, il n’a plus le droit de réguler les télécoms, la culture ou les revenus. Les Etats pourtant jouent le jeu de la mondialisation afin d’accroître leur compétitivité par rapport à d’autres. La France a toujours dit: « il faut faire l’Europe car grâce à elle la France peut garder son rang de puissance moyenne et avoir un poids dans le concert international ». Cette compétitivité provisoire est un leurre. Les belges se demandent: « alors si l’Europe sert à la France à garder son pouvoir, quel est l’intérêt de l’Europe pour la Belgique? »
Et surtout, en s’ouvrant à la mondialisation pour rester compétitifs, et prendre le meilleur sur d’autres Etats, les Etats s’ouvrent à leur propre mort. Les gouvernements ne sont plus que des marionnettes. 82% des microprocesseurs sont fabriqués par Intel, 92% des logiciels sont Microsoft; 90% des ordinateurs sont Compaq, 66% des avions sont Boeing-McDonnell. Etc. etc. Quel poids peut bien avoir un Etat face à cela? Quelle marge de décision? Quelle capacité à dire « non »? L’Etat a déjà perdu, et malgré tout il continue de jouer le jeu qui a mené à sa perte. Si la souveraineté d’Etats comme la France est ainsi proche de zéro, que dire de la souveraineté d’Etats comme le Mexique ou l’Angola?

A LA LOI ET A LA MORALE DES MONOPOLES TU TE PLIERAS
Les marchés font la loi et s’autorégissent, puisque les Etats n’ont plus le droit de les réglementer du fait d’accords internationaux domaine par domaine. L’AMI qui devait institutionnaliser le tout a été repoussée par la résistance de certains peuples (notamment en France grâce au « Monde Diplomatique »). Mais le fond du problème reste entier.
Plus aucune réglementation nationale n’est plus souveraine. Un exemple parlant est celui de l’autorisation de breveter le génome humain. Jusqu’à présent, on tentait de limiter les manipulations génétiques. La barrière aura vite sauté. Le 18 mai 1998, du fait que certains pays autorisent l’appropriation du patrimoine génétique constitué en laboratoire, qu’il soit végétal, animal ou humain, la Commission européenne a dû, afin de préserver la compétitivité à venir des entreprises européennes, l’autoriser également. Désormais, des acteurs privés peuvent devenir PROPRIETAIRES (avec tout ce que cela implique) de tout être vivant animal ou humain dès l’instant qu’il détient le brevet du capital génétique créé (modifié) en laboratoire.

TA MISERE TU ORGANISERAS
Le processus est partout le même: au nom de la compétition, on déréglemente, on libéralise, puis lorsque cela devient rentable, on privatise. Au profit d’entreprises qui sont déjà en position dominante, bien entendu.
On aboutit donc à une société où des forces privées ont toute la maîtrise:
1) de l’allocation des ressources mondiales (vers quoi sont dirigés les investissements, avec pour seul critère de choix la rentabilité à court terme au détriment de toute notion sociale ou écologique),
2) de la répartition de la richesse produit. Elle va bien entendu aux actionnaires.
Depuis les années 78-80, toutes les réglementations ont été modifiées, dans tous les domaines de l’économie, dans un sens de libéralisation au niveau mondial. Il s’ensuit que les gains de productivité se font de plus en plus au bénéfice du capital, et de moins en moins au bénéfice des populations ou du travail.
Du fait que les travailleurs ne tirent leur revenu que du travail, et que la compétitivité mondialiste pousse naturellement à la diminution des coûts salariaux, tandis que les revenus du capital ne cessent de s’accroître, la paupérisation des masses est inévitable, comme l’accroissement des inégalités. Un nombre de plus en plus restreint de familles dispose de la quasi-totalité des disponibilités financières de la planète (on sait que certains financiers sont capables de déplacer d’un jour à l’autre des masses financières équivalentes au budget annuel d’un pays comme la France). Et la répartition des ressources est désormais confiée au privé.

LA CHANCE DE TA VIE ET DE TA LIBERTE TU LAISSERAS PASSER
Tout le monde joue ce même jeu de la compétitivité qui consiste à gagner des parts de marché pour allouer les ressources mondiales là où le profit est le plus grand et le plus vite possible. Celui qui gagne prend tout. Et comme ce sont les Etats Unis qui sont les plus compétitifs dans le plus grand nombre de domaines, ce sont eux qui instaurent les règles dont ils bénéficient. Si on demande dans un pays du Tiers Monde ce que c’est que la mondialisation, on répond: « c’est l’américanisation ». Et si on demande à un américain ce que c’est que la mondialisation (ou « globalisation »), il répond: « c’est nous.
L’Université est le lieu moderne de la lutte pour QUI VA DIRIGER. Qui va allouer les ressources et les amasser au bout du compte. Dans cette compétitivité où les nations disparaissent, les petits se recroquevillent, se barricadent. L’intolérance religieuse, ethnique, nationale, sociale, est accentuée par cette lutte incessante entre les peuples dont on est complice dès l’instant qu’on fait un choix de consommation ou qu’on entre à l’Université. Alors que toute cette énergie, toute cette éducation, toute cette richesse aurait pu servir à réaliser une société de paix au niveau mondial.

C’est ainsi que les Illuminati font travailler leur bétail, que nous sommes, dans le stress et la soumission. Comme dit David Icke, si une vache va dire aux autres vaches « eh les filles, vous savez, ce camion qui emmène nos copines chaque matin, c’est pas pour les emmener vers de meilleurs pâturages, c’est pour les emmener à un horrible abattoir où on nous égorge pour nous manger! », personne ne la croit et elle est rejetée du troupeau. « Ce n’est pas pensable, le fermier est si gentil de nous donner à manger! ».
Le résultat inévitable de l’ouverture des marchés et de la libéralisation des transferts de capitaux grâce à la déréglementation, est l’expropriation de tous les droits et souverainetés de l’humain. Il s’ensuit de fait une nouvelle Déclaration Mondialiste des Devoirs de l’Esclave Citoyen qui « exproprie » la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. (Pages 182 à 189 – Editions Louise Courteau)


7. La micro-puce
Extrait de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem

Alors pourra s’accomplir la prophétie de l' »Apocalypse »: « ceux qui n’auront pas la marque de la Bête ne pourront plus ni acheter ni vendre ». Cette puce cutanée implantée dans le poignet de toute la population, est prête. On n’attend plus que le scénario du terrorisme international généralisé, construit de toutes pièces depuis 1948 (Grande Oeuvre britannique en Palestine), pour justifier la guerre et le gouvernement mondial. Ce n’est pas un hasard si Blair aura fait tant de zèle pour contribuer à la généralisation de la troisième guerre mondiale. La City est la capitale de la Reptilerie, et c’est sa Banque Rothschild qui a créé l’Etat d’Israël, certainement pas pour le bien des Juifs que ces Reptiles-là méprisent et manipulent depuis toujours.
Selon plusieurs sources, la puce, la marque de la Bête, sera imposée aux populations au niveau mondial à des fins de « sécurité » pour pouvoir contrôler tout le monde en permanence sous prétexte de nous « protéger » face à la menace du terrorisme kamikaze, et aussi des fraudes à la carte bancaire. C’est le but: accentuer la peur pour que les populations réclament ces moyens de contrôle par satellite (et d’ailleurs d’élimination en cas de besoin, on sait provoquer des crises cardiaques, des crises de violence meurtrière, ou des suicides par satellite). Cette puce, qui est un peu une « cloche » électronique comme celles qu’on mettait au cou des vaches pour mieux les surveiller (mais là le chien de garde est inclus dans la puce – c’est un peu le monde à l’envers – et permet de contrôler la volonté de la vache qui ne pense même plus à s’échapper) fera office de moyen unique de paiement. Plus de chèques, plus de monnaie (donc plus d’évasion fiscale possible pour les pauvres), plus de carte. Et la mort, au moins économique, pour ceux qui sauront s’organiser en réseaux autarciques, écovillages etc.. Car il faudra quand même la refuser. On ne nous la mettra pas de force. On l’acceptera majoritairement ou même la réclamera simplement comme la Carte vitale (les médecins qui n’en veulent pas sont tout simplement empêchés d’exercer). Ceux qui la refuseront seront suspects et devront choisir une autre vie, autarcique, en écovillages, dans des endroits protégés et en créant leur propre monnaie. Il n’y a pas d’autre solution pour survivre. Car devenir le bétail inconscient des Reptiliens, ce n’est pas vivre.
Seul, ce sera extrêmement difficile de vivre en autarcie. Vous avez quelques années devant vous pour vous y préparer et apprendre tout ce qu’il faut pour vivre dans des conditions assez primitives, et il n’y a pas une minute à perdre. La puce serait imposée par le gouvernement mondial de l’O.N.U. (c’est-à-dire anglais puisque l’Angleterre « possède » l’Amérique du Nord au sens propre comme au sens figuré – via la Virginia Company) selon toute vraisemblance tout de suite après la « guerre », qui ne devrait se terminer que vers 2008. Mais il semble que tout s’accélère et qu’on n’ait peut-être pas autant de temps.
Une seule langue, une seule monnaie, une seule alimentation, c’est le paradis reptilien. Et souriez tout le temps car vous êtes filmés même dans les cages d’escalier, en attendant que ce soit chez vous. (Pages 179 et 180 – Edition Louise Courteau)


8. La politique
Extrait de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem

On s’étonne toujours de l’ « incompétence des politiques », des gaspillages budgétaires, de la vanité des réglementations, puisque malgré toutes les réformes, on continue de détruire l’environnement, le chômage persiste, l’enseignement est toujours aussi inefficace etc. Il ne faudrait pas croire plus longtemps qu’il s’agit d’incompétence. Il s’agit évidemment de politiques délibérées, camouflées derrière un écran de discours rassurants et de polémiques entre complices.
Les populations ne sont plus dupes depuis longtemps. Elles voient bien que derrière la « priorité à l’emploi », par exemple, se révèle en fait la priorité du profit. De même la défense de l’environnement, lorsque le choix est à faire, est toujours secondaire lorsque des impératifs économiques s’imposent. Et c’est toujours le cas alors qu’on sait parfaitement que plus on tarde, plus l’urgence est grande.
Les politiques sont toujours présentées par rapport à un bilan ou à un constat. C’est une manipulation de plus. Une politique doit être proposée en fonction des CAUSES à l’origine d’un constat ou d’un état de faits. Ce n’est pas du tout la même chose. Si on ne fait pas l’effort de comprendre les causes, on se comporte comme le médecin allopathe qui traite uniquement les symptômes, laissant les véritables causes renouveler la maladie ou en créer une autre, ce qui est toujours le but poursuivi.
Les causes sont bien entendu généralement ignorées des populations, plus ou moins volontairement même de leur part. La manipulation repose toujours sur un certain assentiment de confort. Discerner les causes supposerait en effet de remettre en cause le mode de raisonnement scientifique dominant, la conception de soi-même et de la réalité de l’univers, de remettre en cause les fondements politiques de la société, et cela est évidemment hors de portée des hommes politiques en général, sauf des indépendants, et inconcevable aux scientifiques pour lesquels la problématique est toujours de pallier les contradictions théoriques issues des erreurs passées et jamais de remettre en cause ces erreurs anciennes pour expliquer la matière autrement.
Comment choisir pour qui voter dans la mesure où on peut s’attendre à ce qu’aucun des camps en lice n’a la moindre intention de libérer l’homme et prendre les mesures qui pourraient améliorer la situation écologique, qui est évidemment la priorité numéro un et devrait être, pour tout gouvernement, le critère absolu de décision dans tous les domaines ?
On sait bien qu’il est extrêmement difficile d’atteindre un poste important dans un grand parti ou dans un gouvernement sans faire allégeance aux confréries qui distribuent les soutiens financiers, médiatiques, techniques ou administratifs, en échange d’engagements favorables à certains lobbies économiques.
Inutile de préciser que la division de nos sociétés entre droite et gauche est une manipulation de plus, et que tous les dirigeants sont à peu près toujours issus des mêmes confréries secrètes. C’est vrai pour tous les grands pays. Et donc la même politique est menée quels que soient les gouvernements, car ce n’est pas eux qui décident. (Pages 320-321 – Edition Louise Courteau)


9. Pourquoi on nous cache tout
Extrait de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem

…ce qui se passe actuellement sur la Terre n’a rien de nouveau, même si cela paraîtra nouveau à certains, tellement on nous maintient volontairement dans l’ignorance. Mais si l’on comprend le processus, on sait alors où cela doit nous mener, et donc quelles décisions nous devons prendre. En tout cas nous devons les prendre, sinon à quoi bon savoir ?
Savoir quoi ?
Tout se recoupe pour montrer que la Terre (l’humanité) semble bien être ni plus ni moins qu’un garde-manger. Mais pas pour nous, humains. Le garde-manger de ces « invités » reptiliens qui, parce qu’ils sont restés un jour coincés dans des sphères invisibles de notre Terre (leur décadence spirituelle leur a coupé le chemin de retour), se nourrissent d’émotions (les nôtres, en l’occurrence, parce qu’il y a longtemps qu’ils ne savent plus en produire). Ils se nourrissent évidemment davantage de nos émotions négatives car cela pousse mieux que les positives. Et nous leur donnons donc pitance et pouvoir chaque fois que nous ne faisons pas l’effort d’avoir des pensées positives ou joyeuses, chaque fois que nous ne savons pas aimer, chaque fois que nous avons peur, sommes frustrés ou dans un esprit de vengeance.
Nos émotions sont leur nourriture car ils vivent essentiellement dans l’Astral (monde émotionnel) tout comme nous nous nourrissons matériellement, puisque nous vivons dans un monde physique.
Pour provoquer en nous ces émotions, ils ont besoin d’intermédiaires, qu’on appelle les « Illuminati », qui sont des Terriens ou des croisements, et qui se laissent habiter et guider par les Reptiliens afin de disposer des postes de pouvoir sur la planète. D’autres sont simplement manipulés par des procédés psychologiques. Les Illuminati détiennent à peu près tous les postes importants dans le monde, aux niveaux politique, militaire, industriel, financier, médiatique etc., car ils sont sélectionnés selon les critères imposés d’en haut aux niveaux universitaire, politique, financier etc. à travers des loges maçonniques répandues dans le monde entier, où l’on grimpe en fonction de l’obéissance aveugle dont on se rend capable. Plus on accepte de faire des choses inacceptables, plus on grimpe.
C’est donnant, donnant. Si j’obéis, j’obtiens du pouvoir et donc de la richesse. En d’autres temps, on appelait cela « vendre son âme au Diable ».
Ceux qui y rentrent ou sont en bas de l’échelle sont souvent des gens de bonne volonté qui veulent se rendre utiles. S’ils n’obéissent pas, on les félicite pour leur hauteur de sentiments et ils sont mis sur des voies de garage, des loges ou des grades sans pouvoir, où on apprend des choses intéressantes et où on croit se rendre utile.

Toutes les races sont utiles pour produire des émotions négatives, et on fait particulièrement souffrir les peuples dits « inférieurs », les Africains, les Sud-Américains, les Sud-Asiens etc. (via la CIA, l’Organisation Mondiale de la Santé qui inocule des maladies, l’Organisation Mondiale du Commerce qui organise la misère et la famine dans le Tiers Monde etc.). L’ONU est le maître d’œuvre des guerres intestines permanentes. Cela peut surprendre, mais il faut s’informer. Il arrive un moment où on ne peut que comprendre dans quelle manipulation dictatoriale, sous couvert d’apparences démocratiques, nous sommes tombés.

Peu leur importe de mettre la planète à feu et à sang. Ce n’est pas leur problème. Le trou d’ozone, les guerres, les famines, le SIDA, concernent l’hémisphère Sud ou les peuples « non-aryens » pour en réduire significativement les effectifs de population devenues difficiles à tenir, tout en augmentant le volume de souffrances consommables. Vous commencez peut-être à comprendre pourquoi notre monde ne semble pas être géré avec bon sens. Il est géré pour l’intérêt de quelques prédateurs.
Vous vous êtes peut-être aussi demandé un jour comment il se fait que les gamins peuvent toujours trouver de la drogue sur leur chemin, malgré les efforts des autorités. C’est sur le trafic international de la drogue qu’a reposé l’instauration de la domination politico-économique des Illuminati anglo-saxons sur le monde. N’espérez donc pas qu’on inquiète trop les dealers et qu’on attrape les grands responsables. Contrairement à ce que l’on croit, ce n’est jamais par incompétence qu’on meurtrit l’humanité, ou qu’on retarde les améliorations, écologiques ou sociales. C’est par calcul secret. On a mis du temps à le comprendre tellement cela paraît incroyable. Mais aujourd’hui on a toutes les preuves, et tout cela fait partie de pièces à conviction dans le procès des « Reptiliens » qui est en train de s’ouvrir mondialement.
Des Sauriens (ou « Reptiliens »), il y en a partout dans l’univers. Des hommes aussi. Des insectes, des végétaux, des métaux également. Les souris vont là où il y a du fromage. Les grenouilles ne s’attardent pas dans les déserts arides. Les reptiles cosmiques viennent s’abreuver là où il y a des sentiments reptiliens à sucer.
Et Dieu sait s’il y en a sur Terre ! Mais il faut pouvoir repartir.
Il semble bien que dans l’Antiquité les motivations de nos « invités » étaient aussi d’autres natures, notamment au niveau de l’exploitation des ressources naturelles (notamment pour restaurer la couche d’ozone de leur planète), mais les avis sont partagés et on ne dispose guère de preuves. Par contre, pour le reste, les preuves se multiplient, et elles se multiplieront car la maladresse de nos suceurs va de pair avec leur précipitation. Ils sont en train d’accélérer le mouvement car les vibrations de l’humanité s’élèvent et permettent de plus en plus difficilement le maintien d’une forme humaine pour les vrais reptiliens (il ne supportent pas l’amour). Lorsque les vibrations sont élevées, les humains ne donnent pas prise à la possession. Le projet « HAARP », antennes d’émission d’ondes d’une puissance colossale qui ont fini d’être installées en Alaska, a, selon Drunvalo Melchisédech, pour objectif précisément de contrecarrer l’énergie christique qui s’instaure.

Le Pentateuque raconte très clairement comment un très petit nombre d’extraterrestres dont le chef, sous le nom de « Jéhovah », sur sa « nuée » volante et destructrice, dirige militairement un peuple, parvient à lui faire occuper tout un territoire stratégique. C’est de là que ces « nobles » à sang froid et bleu ont organisé la banque phénicienne familiale unique qui, devenue templière, et implantée par la suite en Angleterre, est devenue l’instrument de la domination mondiale.
Il faut croire que la Terre est vraiment un terrain très fertile en matière d’émotions négatives car depuis, non seulement ils ne nous ont pas quittés, mais ils n’ont jamais été aussi présents. Nous ne sommes plus un jardin, mais une culture industrielle. Ils ne sont pas plus nombreux qu’avant, mais ce sont toujours les mêmes, dans des corps humains différents d’âge en âge. Et peu importe les pollutions et autres dégâts collatéraux. L’essentiel est que la récolte soit bonne chaque saison. Et elle l’est.

Nous nourrissons très bien ceux dont nous sommes les esclaves. Nous nous prêtons merveilleusement à leur jeu de manipulation émotionnelle : le racisme, la jalousie, les inégalités de revenus, la peur de l’autre et du changement, l’attachement au passé, aux souvenirs, le goût pour la souffrance des autres, le mépris des autres règnes et de tous ceux qui sont différents, la croyance en la matière savamment entretenue. Reconnaissons que ce sont nos fruits et que nous faisons tout pour qu’ils en aient à profusion. Nous tenons fort bien la cantine de nos tortionnaires. Ils nous en sont reconnaissants : ils nous arrosent chaque matin de télévision, de tentations sexuelles et autres associées à des règles sociales qui en interdisent la pratique, de publicités attrayantes pour tout ce qui détruit l’individu, de produits chimiques alimentaires et médicaux qui atténuent notre réactivité et notre disponibilité spirituelle, d’OGM disséminés partout subrepticement pour que cela soit vite irréversible (sous prétexte de recherche scientifique), de drogues pour nos enfants à tous les coins de rue qu’il serait si facile d’éradiquer, de Pokemons qui habituent aux clonages et aux hybrides humains-animaux-végétaux, et surtout de tensions larvées ou de conflits armés ouverts, et de destruction des cultures traditionnelles. Le terrorisme est le résultat des tensions, le manque et le drame celui de la drogue et de la famine, et tout cela fait partie des moyens les plus sûrs de répandre le malheur et la haine. Un délice !
Certains peuvent penser que cela est exagéré ou que c’est de la science fiction. Hollywood, planète reptilienne, est payée pour produire des films montrant très largement la vérité, de façon que les gens n’y croient plus et disent que cela a été inventé dans les films, lorsqu’on leur en parle. Bientôt, cependant, ils ne pourront plus douter, et alors ils diront simplement qu’ils ont perdu un temps précieux à ne pas se rendre à l’évidence. La Seconde Guerre mondiale : on avait beau dire qu’il y avait des camps de concentration, les gens n’y croyaient pas. On pensait que l’homme ne peut pas être à ce point inhumain. Même des Juifs se laissaient prendre en pensant qu’il s’agissait de camps de travail ou autres. Pourtant beaucoup tentaient d’alerter. Certains sont même morts pour tenter de donner l’alerte, mais on ne les a pas crus. Quand on est plein de bonne volonté, on ne peut pas comprendre que d’autres veuillent le mal. Pourtant c’est ainsi. Aujourd’hui, on nous avertit de tous côtés et de plus en plus d’indices montrent que c’est vrai. Il ne faut pas attendre d’avoir des preuves absolues pour agir, car alors il sera vraiment trop tard. (Pages 12 à 18 – Editions Louise Courteau)


10. Le Gouvernement Mondial
Extrait de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem

Qui a donc le pouvoir dans le monde à l’heure actuelle de décider comment seront gérées les énergies au niveau mondial ? Existerait-il donc une instance internationale, un pouvoir gouvernemental mondial ? D’où sort-il ? Qui l’a élu ? Cela ne devrait-il pas relever d’un référendum mondial, ou d’une concertation entre Etats ? Ou même pas, du simple bon sens lorsque des responsables ont pour objectif le bien commun et la survie des générations futures ?
Clairement on a la preuve aujourd’hui, une preuve parmi tant d’autres, qu’IL EXISTE DEJA UN GOUVERNEMENT MONDIAL, et par conséquent que ce gouvernement mondial est OCCULTE, secret. Car on a beau chercher dans les Constitutions des Etats souverains, nulle part il n’y en a trace, et il n’est indiqué nulle part que les gouvernements sont tenus de se conformer aux décisions de cette instance invisible en matière de décisions essentielles pour l’avenir de leur peuple et de l’humanité, quelles que soient les politiques pour lesquelles ils sont censés avoir mandat.
C’est tout de même effarant. Et personne ne réagit.
Même l’Organisation Mondiale de la Santé n’a rien trouvé à dire ! Cet organisme de l’ONU est pourtant en charge de la santé mondiale, et sait bien que les gaz d’échappements sont toxiques. Cela ne la dérange donc pas qu’une décision occulte et supranationale décide la maladie ou la mort pour des millions d’enfants et de gens ?

On s’est bien moqué de nous. Et ce ne sont que des exemples parmi des centaines d’autres. On a décidément la preuve :

  • 1. qu’il existe un gouvernement mondial occulte constitué au premier chef par les producteurs de pétrole, dont on sait que les responsables participent à tous les conseils d’administration importants des grandes banques et multinationales du monde, et qui ont construit leur pouvoir et leur fortune sur le trafic international de la drogue depuis le XIXème siècle ;
  • 2. que l’ONU, les Institutions Internationales qui en dépendent, et même le WWF (Fond Mondial pour la Nature et la vie sauvage), lui sont totalement inféodés, et ne représentent absolument pas les peuples et la planète qu’ils sont censés protéger ;
  • 3. que ce gouvernement mondial est l’instigateur des conflits militaires récents dans les pays du tiers monde, mais on avait déjà toutes les preuves qu’il est l’instigateur de tous les grands conflits du XXème siècle, qui comme par hasard, ont donné naissance à la Société des Nations en 1918, à l’Organisation des Nation Unies en 1945, et à…

… Et à ce qui sera bien évidemment l’officialisation de ce gouvernement mondial après la prochaine grande et glorieuse. Déclenchée le 11 septembre 2001 par un magnat du pétrole américain, c’est-à-dire anglais, dont le grand-père a créé la CIA en employant les anciens responsables nazis, contre un bouc émissaire fils de magnat du pétrole saoudien, c’est-à-dire anglais, ancien de la CIA.
Après quelques années de cette nouvelle guerre, créée de toutes pièces comme les précédentes, les gens réclameront et penseront donc qu’ils mettent en place démocratiquement un pouvoir mondial instaurant une sécurité maximum, alors qu’en fait ils ne feront que donner un cadre légal à quelque chose d’illégal qui existe depuis visiblement au moins un siècle à leur insu et contre leur intérêt.
Souvenez-vous : c’est bien l’Angleterre qui a provoqué l’entrée en guerre de l’Allemagne en 1914, pour des raisons de concurrence au niveau des colonies. Tous les historiens vous le diront. C’est aussi l’Angleterre qui a permis de conclure cette guerre en contribuant à imposer au peuple allemand de quoi provoquer la Seconde Guerre mondiale : les réparations du Traité de Versailles. De quoi saigner tout un pays pour préparer la mise en place d’un pouvoir nationaliste fort en réaction à la misère imposée de l’extérieur. C’est tout simple. Chacun sait que la famille royale britannique est d’origine allemande, tout comme leurs amis les Rothschild qui dirigent la City et donc la banque dans le monde entier. Sous la Reine Victoria, lorsque l’Empire était à son apogée, il en était de même. Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui continuent d’exploiter ce même empire au niveau de la drogue et du pétrole notamment. L’Angleterre n’a rien perdu de son empire. Les pays sont indépendants, mais ce n’est plus 40% du monde qu’elle domine, mais 9% par Dollar interposé.
Et chacun sait qu’Hitler était un pion manipulé par les sociétés secrètes de l’époque. C’est encore l’Angleterre qui a clos ce conflit, ses services secrets ayant manipulé Pearl Harbour, et ce sont comme de juste les Rothschild qui ont financé l’établissement d’un état juif en Palestine. Moyen certain de provoquer une troisième guerre mondiale. Car avant que les Ashkénazes d’Europe centrale, qui sont des Juifs par conversion, dont la Palestine n’est nullement la terre d’origine, ne s’installent au cœur d’un monde sémite, il n’y avait aucune espèce de problème entre les Juifs de Palestine et les Arabes de Palestine. C’était le même peuple et tout se passait bien. Comme ailleurs, la puissance anglaise (et bien entendu pas le peuple anglais qui n’y voit que du feu et n’y est pour rien), a fait en sorte de diviser, de provoquer des conflits, de former et manipuler les terroristes, et d’arriver en sauveur via son pantin Georges Bush junior.
La place est alors toute prête pour qu’une troisième union sacrée internationale fasse place nette de toute souveraineté nationale des Etats, et de toute liberté individuelle, pour le plus grand profit des multinationales, c’est-à-dire des banques, c’est-à-dire de la City. Le nazisme aura gagné définitivement.
Messieurs du gouvernement mondial, votre complot a été éventé, votre coup d’état fasciste permanent n’est plus un secret pour personne. LE GOUVERNEMENT MONDIAL N’EST PAS UN COMPLOT NI UN PROJET, c’est déjà une réalité depuis des temps indéfinissables. Il est temps que les peuples se réveillent et exigent des comptes auprès de leurs représentants officiels gouvernementaux, visiblement complices des comploteurs. On n’a pas plus belle définition de la HAUTE TRAHISON.

  • 4. Car on a la preuve que la réalité du pouvoir dans le monde n’a rien à voir avec les gouvernements officiels, censés changer par alternance au fil d’élections tous les quatre, cinq ou sept ans. Quelle alternance y a-t-il eu depuis un siècle ? Aucune, toutes les décisions importantes pour la planète sont prises par les magnats de l’économie mondiale depuis au moins un siècle. Peut-être beaucoup plus.

[…]
Le combat est un combat d’intelligence, pas un combat de force.
C’est aussi un combat de détermination et de courage.
Courage de voir les choses en face dans notre propre comportement, courage d’y remédier.
Car on ne peut pas tout mettre sur le dos des autres. Il faut aussi reconnaître qu’on a parfois le gouvernement mondial qu’on mérite.
(p. 283-288-Editions Louise Courteau)


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