1. Les effets de la compassion sur la santé physique
Extrait de « Marcher entre les Mondes – La science de la compassion » de Gregg Braden
La recherche récente démontre les bénéfices directs de la compassion sur la santé physique, notamment sur les systèmes cardiovasculaire, respiratoire, immunitaire et reproductif.
En tant que compassion :
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- La peur et tous ses dérivés sont redéfinis. La colère, la rage, une blessure, la douleur, la maladie, un malaise et même la mort deviennent des réactions possibles plutôt que des réflexes habituels. Même si vous vivez encore les expériences qui ont peut-être produit ces patterns dans le passé, elles sont adoptées comme des agents de changement puissants créés avec maîtrise, comme des indicateurs d’une précision minutieuse détaillant des occasions de modifier votre expression et votre interprétation de la vie.
Votre corps n’a pas à se détériorer avec le temps. Même s’il peut faire l’expérience du temps dans un sens linéaire en tant que passage d’événements séquentiels, ses cellules ne se dégradent pas en réponse au passage de ce temps. Dans la cohérence de l’émotion, du sentiment et de la pensée (comme l’amour), le pH de votre corps garde un sain niveau d’alcalinité, le niveau de DHEA demeure constant, et les fréquences cellulaires permettent un accroissement de la réponse immunitaire.
- Vous devenez génétiquement orienté vers l’immunité alors que l’ADN répond à votre compassion. De plus, la recherche indique que les qualités spécifiques de l’émotion programment l’ADN. Votre état émotif détermine vraiment votre état physique !
Dans la compassion, le malaise et la maladie que produisent virus et bactéries n’ont pas la même signification pour votre corps, même s’il les rencontre dans le monde. La compassion élève la réponse cellulaire de base vers une gamme présentant un faible degré de résonance entre la forme ondulatoire de la maladie et celle de vos cellules. Votre corps peut toujours créer sa propre maladie en réponse à un système de croyances. La compassion ne juge pas la maladie. La maladie est plutôt perçue comme une réponse à une croyance donnée ou une indication de la connaissance de la validité due à la croyance et à sa guérison.
En dépit des implications physiologiques évidentes, il ne faut pas considérer la compassion comme un raccourci vers la guérison, la dissipation de la peur ou la jeunesse éternelle. La compassion est une voie par laquelle on peut choisir, à partir de l’amour et du respect du corps qui nous est donné, d’exprimer son appréciation et de dire merci pour le cadeau. La compassion n’est pas quelque chose que l’on fait. Elle est plutôt un état de conscience, une manière d’être, que l’on choisit de devenir. (Pages 54 et 55 – Edition Ariane)
2. Les gens se rendent malades
Extrait de « Conversations avec Dieu » de Neale Donald Walsh
NEALE : « Comment puis-je résoudre les nombreux problèmes de santé qui m’affligent? »
DIEU : « Tout d’abord, soyons clairs sur une chose : tu les aimes, la plupart du moins. Tu les as admirablement utilisés pour te plaindre et pour attirer l’attention.
L’une des rares fois où tu ne les as pas aimés, ce n’est que parce qu’ils étaient allés trop loin, plus loin que tu ne l’avais prévu en les créant.
Alors, comprenons ce que tu sais probablement déjà: toute maladie est créée par soi-même. Même les docteurs en médecine conventionnelle voient maintenant à quel point les gens se rendent malades.
La plupart des gens le font tout à fait inconsciemment. (Ils ne savent même pas ce qu’ils font.) Alors, quand ils tombent malades, ils ne savent pas ce qui leur tombe dessus. Ils disent que quelque chose leur est arrivé et non que c’est une chose qu’ils se sont faite.
Cela arrive parce que la plupart des gens vivent inconsciemment toute leur vie, et pas seulement l’aspect de la santé et ses conséquences.
Les gens fument et se demandent pourquoi ils ont le cancer.
Les gens ingèrent des animaux et des matières grasses et se demandent pourquoi ils ont les artères bloquées.
Les gens demeurent en colère toute leur vie et se demandent pourquoi ils ont des crises cardiaques.
Les gens sont en concurrence avec d’autres (sans pitié et sous une pression incroyable) et se demandent pourquoi ils subissent des attaques.
La vérité, qui n’est pas si évidente, c’est que la plupart des gens se meurent d’inquiétude.
L’inquiétude est l’une des pires formes d’activité mentale, à l’exception de la haine, qui est profondément autodestructrice. L’inquétude est inutile: c’est de l’énergie mentale gaspillée. Elle crée aussi des réactions biochimiques nocives pour le corps et produit une multitude de problèmes allant de l’indigestion à l’infarctus.
La santé s’améliorera presque aussitôt que cessera l’inquiétude.
La haine est l’état mental le plus nocif. Elle empoisonne le corps, et ses effets sont à toutes fins pratiques irréversibles. La peur est le contraire de tout ce que tu es; elle a donc un effet antagoniste sur ta santé mentale et physique. La peur est un agrandissement de l’inquiétude.
L’inquiétude, la haine, la peur – combinées à leurs sous-produits: l’anxiété, l’amertume, l’impatience, l’avarice, le manque de gentillesse, la tendance au jugement et la condamnation – attaquent toutes le corps au niveau cellulaire. Dans de telles conditions, il est impossible d’avoir un corps sain.
De même, bien que ce soit à un degré moindre, la dissimulation, l’autogratification et l’avidité mènent toutes à la maladie physique, ou au manque de bien-être.
Toute maladie est d’abord créée dans le mental ». (pages 226 et 227).
3. L’éthique, hier un luxe, est une nécessité aujourd’hui
Extrait de « Diagnostic karmique » de Serguei Lazarev
« L’assaut du subconscient qui régit les processus physiologiques et psychologiques de l’organisme, a commencé au cours du siècle dernier. A présent ,depuis un engouement spontané, il a pris une orientation ciblée. Les psychothérapeutes, les extrasensoriels, les sorciers, les hypnotiseurs, s’introduisent brutalement dans le subconscient, s’orientant vers un effet extérieur et ne solutionnant que des problèmes pratiques. Cela se passe sur le fond d’une parfaite ignorance que sont le subconscient et les règles de son fonctionnement.
[…]
Les praticiens expérimentateurs ne s’intéressent qu’à la profondeur d’intrusion dans le subconscient et aux processus d’autorégulation. Et pour une action plus forte il est même possible d’utiliser un appareillage. La bioénergie est transformée en science d’emprise pratique sur l’Etre humain.
Personne ne pense qu’en ayant guéri le corps, nous pouvons nuire à l’âme, que la maladie est une protection, le blocage d’une conduite erronée et d’une incompréhension du monde environnant. Un extrasensoriel doit tout d’abord trouver les causes de la maladie, aider à comprendre et éviter des erreurs dans l’avenir mais personne ne l’envisage. Ravaler la bioénergie au niveau du paramètre physique uniquement, c’est la faire disparaître des degrés de la connaissance et de l’éthique pour des fins exclusivement pratiques. Celui qui croit qu’il sera sauvé par des comprimés ou des procédés de sorcellerie, est déjà malade.
La principale protection contre les maladies se trouve être dans l’accomplissement des lois éthiques les plus élevées.
Lorsque la nature suivant la voie de la protection physique, par exemple l’augmentation de poids des dinosaures, ou bien la constitution de carapace chez les tortues, l’évolution s’arrêtait. Survivaient ceux qui étaient les moins armés physiquement et les mieux armés spirituellement, ceux qui étaient prêts à changer leur structure psychologique, à se conduire en conformité avec les processus qui survenaient. L’éthique hier un luxe, est une nécessité aujourd’hui et sera la seule possibilité de survie demain. Dans les proches années, les gens qui ne pensent qu’à la santé physique, pourraient bien subir le même sort que les dinosaures.
Ce que nous appelons immunité, c’est l’intégrité, la qualité de l’enveloppe constituée par le biochamp (subconscient).
La personne qui se laisse séduire par la magie au détriment de l’Ethique, de d’Amour et de la Connaissance du Monde, se détruit, détruit ses enfants et ses proches. » (Pages 68 et 69 – Editions du Dauphin)
4. Immunisation naturelle contre le sida
Extrait de « L’Ancien Secret de la Fleur de Vie » de Drunvalo Melchizédek
[…], les docteurs à l’UCLA (L’Université de Californie à Los Angeles) ont commencé il y a cinq ans à examiner un jeune garçon né avec le sida. On l’avait déjà examiné à sa naissance, à six mois et à un an. Il avait toujours le sida. Il ne fut réexaminé qu’à l’âge de cinq ans. Cette fois, toute trace de sida avait disparu.
Comme s’il n’avait jamais eu ce virus. Personne ne comprenait comment son système s’était immunisé ; tout ce que chacun savait, c’est que ce garçon était guéri. Les spécialistes vérifièrent tout ce à quoi ils pouvaient penser, y compris son ADN, et c’est là qu’ils trouvèrent un changement. Ce jeune garçon n’avait pas d’ADN humain !
Nous avons 64 codons dans notre ADN, mais chez l’être humain ordinaire, seulement 20 sont actifs. Tous les autres sont inertes ou semblent incapables de fonctionner, à part trois, qui constituent le programme de démarrage et d’arrêt. L’enfant avait 24 codons actifs – il avait trouvé moyen de muter, ce qui l’immunisait contre le sida. En fait, après examen, les spécialistes découvrirent qu’il s’était immunisé contre tout et calculèrent que sons système immunitaire était 3000 fois plus fort que chez un être humain ordinaire.
Ils trouvèrent ensuite un autre enfant dans la même situation qui était parvenu à se débarrasser du sida et qui avait réactivé les mêmes 24 codons, s’immunisant lui aussi non seulement contre le sida mais également contre d’autres maladies. On trouva 100, puis 1000 personnes dans ce cas. A l’UCLA, on croit maintenant que 1% de la population mondiale a effectué ce changement; que 55 millions d’enfants et d’adultes ne sont plus des humains, tels que définis par l’ADN. Tant de gens passent maintenant par cette métamorphose, que les scientifiques croient qu’une nouvelle race humaine est en train de naître et qu’elle semble immunisée contre le sida. En fait, il est presque impossible pour ces individus de devenir malades.
Il est également intéressant de noter ceci : en novembre 1998, on annonça une réduction du sida de 47% l’année précédente, ce qui représentait la plus grande diminution dans toute l’histoire médicale, et ceci, toutes maladies confondues. Ces immunisations spontanées pourraient-elles en être la raison ?
Par ailleurs, selon Cracking the Bible Code, de Jeffrey Satinover, quand les chercheurs tapèrent le mot sida dans le programme qui servait à analyser le texte sacré, ils trouvèrent tous les mots habituellement associés et remarquèrent les suivants : dans le sang, mort, annihilation, sous la forme d’un virus, immunité, VIH, détruit, et beaucoup plus. Cependant, d’autres termes n’avaient pas de sens pour ces chercheurs mais peuvent être compris maintenant, à la lumière des informations précédentes. Ils s’agit des mots suivants : la fin de toutes les maladies.(pages 93 et 94)
5. Le lien entre l’âme et le corps/esprit est un facteur décisif de guérison
Extrait de « L’Expérience de la Dixième Prophétie » de James Redfield (dans la série de la « Prophétie des Andes »)
Dans son livre, Ces mots qui guérissent, le Dr Larry Dossey cite des preuves impressionnantes provenant d’études scientifiques sérieuses qui démontrent le pouvoir curatif de la prière ou d’une intention pieuse. Dans ce qu’il appelle le Troisième Age de la médecine, les médecins traditionnels n’ignoreront probablement plus des techniques aussi anciennes – même si elles sont nouvelles pour nous – que le diagnostic intuitif ou le toucher thérapeutique sans contact. En fait, pour Dossey, le lien profond entre l’âme et le corps/esprit est l’un des facteurs les plus importants, sinon décisifs, de la santé. Selon lui, nous avons tous à l’intérieur de nous le pouvoir d’activer la guérison grâce à nos ressources physiques, mentales, émotionnelles et spirituelles.
Il étudie aussi la façon dont « la conscience d’une personne peut affecter le substrat physique d’une autre ». Bien que nous ne comprenions pas comment cela se produit, l’intention pieuse qui envoie de l’énergie curative nous relie au champ d’énergie de l’autre, quels que soient le temps ou la distance qui nous séparent. Quand nous prions pour le rétablissement complet d’un être cher, nous ignorons complètement ce qui est vraiment préférable pour l’âme de cette personne qui souffre. Parfois la guérison se déroule lentement, ce qui nous donne des indications importantes. Parfois aussi la mort est la prochaine étape appropriée pour une âme tourmentée. » (page 128 et 129, Edition Robert Laffont)
6. Nous sommes responsables de nos maladies et de notre guérison
Extrait de « Aller au-delà de l’Humain » de Kreyon, channelé par Lee Carroll
« Mon partenaire (Lee) a posé cette question à de fréquentes occasions : « Pourquoi est-ce que je me trouve devant ces gens qui désirent être guéris, et que je prie pour eux et leur fait l’imposition des mains, et que malgré tout il n’y a aucun résultat? » Souvenez-vous de ceci : la maladie appartient à chaque humain. Votre corps a permis qu’elle survienne. Vous en êtes donc responsables… et vous êtes également responsables de son départ. Vous allez donc lui permettre de s’en aller. Sur une base personnelle, il est plus facile de se guérir que de guérir les autres, car vous avez le plein contrôle et vous êtes entièrement responsables. La guérison peut être instantanée et totale. Elle peut aussi être instantanée et partielle. Toutes ces choses sont pertinentes, tout dépendant de votre voie karmique à ce moment-là, et du moment de la guérison.
[…] Avec l’auto-guérison, vous avez le contrôle de votre propre karma! Une fois exposé au grand jour, il n’est plus possible qu’il puisse encore être un fantôme. Vous le saurez lorsque ça se produira. En mettant le karma à nu et en le traversant, cela guérira votre corps, ramènera l’équilibre en vous, et créera une situation où la clé n’entrera plus dans la serrure – je parle ici dans le cas d’une maladie qui cherche à s’installer en vous.
La chose est complexe, mais voici en gros les règles s’appliquant à la guérison des autres. Mes très chers, N’ARRÊTEZ JAMAIS D’ESSAYER! Lorsque des gens viennent à vous en pleurant de douleur, ou affligés d’une maladie même mortelle, ou en proie à une affliction apparemment légère comme de l’anxiété ou de l’hypertension, faites de votre mieux et utilisez votre méthode habituelle de guérison sur eux. Comprenez qu’ils sont polarisés. Servez-vous de vos nouveaux médicaments et de vos appareils. Enseignez-leur ce qu’est l’intention, et faites de votre mieux en prenant les mesures qui s’imposent pour leur guérison. Voici ce qui se produira. Grâce à votre intervention, et en mettant pour eux en évidence le karma qu’ils ont, ils pourront voir la lumière que vous apportez. Il pourra leur être révélé, et il est possible qu’ils se guérissent eux-mêmes si la chose est appropriée. Toutefois, leur contrat karmique aura toujours le dessus! Vous n’êtes pas responsables de leur contrat! Votre responsabilité se borne à les éclairer quand ils sont dans l’obscurité et dans un état de déséquilibre. S’ils choisissent de se relever, de se mettre à courir en rond et à danser dans la lumière, c’est leur choix. Tout ce dont vous êtes responsables, c’est de les éclairer. Allumez-leur la lumière et faites de votre mieux. Ne prenez pas sur vous la responsabilité de leur guérison ou de leur incapacité à y parvenir! Prenez plaisir à faire votre intervention et passez à autre chose.
Mais permettez-moi de vous exhorter à ne pas baisser les bras! Il peut n’y avoir qu’une seule journée de différence entre l’humain potentiel qui va mourir et l’humain potentiel qui va recevoir l’illumination et vivre. Qui sait! Quand l’humain est prêt, la guérison survient.
Une partie de votre travail de guérison peut consister simplement à préparer cette personne en vue de sa guérison par quelqu’un d’autre.
Il ne devrait jamais y avoir de compétition entre les guérisseurs ! » (pages 147 et 148, Edition Ariane)
7. Ecouter son corps
Extrait de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi » de Michel Odoul
Les cris qu’ils [notre Conscience Holographique, notre Non-Conscient, notre Maître Intérieur] nous adressent sont nos tensions et nos souffrances physiques et psychologiques, morales ou émotionnelles. Ils nous avaient bien entendu envoyé des messages au préalable, avant d’en arriver à ces cris, mais notre surdité, suffisante ou peureuse, nous a empêchés de les recevoir et de les percevoir. Il est très important de redonner leur vrai sens à la souffrance et à la maladie et de pouvoir les replacer dans leur axe. La course scientifique moderne de lutte contre ces expressions profondes de notre rapport à la vie et à notre vie est perdue d’avance. La Vie nous devancera toujours et nous n’arriverons pas (heureusement!) à la faire taire, à la museler. Chaque pas en avant fait par la science mécaniste est toujours compensé par un pas équivalent, voire plus grand, fait par la vie. Plus la médecine sait « soigner » de maladies, plus celles-ci deviennent profondes, difficilement maîtrisables et capables de muter.
Il est hautement préférable d’essayer de comprendre le sens de ce que nous vivons, plutôt que de le faire taire (médecine allopathique) ou de rendre nos souffrances obligatoires, inéluctables et méritées (dogmatique ou fanatisme religieux) sans chercher plus loin, par peur ou besoin de confort et de facilité dans l’instant. Soyons cependant très vigilants sur la signification et la raison des choses. En effet, s’il est vrai que ces tensions, souffrances ou maladies sont parfois nécessaires pour que nous « comprenions » pour grandir, elles ne sont jamais obligatoires ou inéluctables. Ce ne sont pas des fatalités, n’en déplaise à certains! Elles ne deviennent nécessaires que parce que parfois nous ne voulons ou pouvons pas « comprendre » autrement. Il ne s’agit pas, ici non plus, d’une punition mais d’une « leçon des choses », comme l’enfant qui se brûle parce qu’il a besoin d’expérimenter le feu.
Nous pouvons les éviter. Lorsque nous acceptons véritablement une recherche de compréhension nouvelle, même face à la mort, nous pouvons mettre en place un processus de feed-back. Celui-ci appartient au principe même de la Vie. Une fois qu’elles ont atteint leur point le plus bas, c’est-à-dire le niveau physique et matérialisé, la douleur ou la maladie peuvent se retourner et partir dans le sens inverse pour se transformer en un processus d’allégement, de libération. Mais cette transformation ne peut avoir lieu que si nous ne bloquons pas les énergies densifiées. En « tuant » leur potentiel d’expression par la médication chimique ou l’effet des croyances linéaires, dogmatiques et cristallisées, nous les fixons en effet sur leur lieu et dans leur mode d’expression, les empêchant ainsi de remonter, de retourner à leur source pour s’éteindre. Elles gardent toute leur force potentielle et sont prisonnières du point où nous les avons « réduites au silence ». A la première occasion, elles vont se manifester à nouveau, libérant alors, non seulement l’énergie tensionnelle du moment, du contexte, mais aussi celle des situations précédentes qui n’avaient pu se libérer ou que nous avions réduites au silence. Elles possèdent alors une puissance accrue, qui a été additionnée pour ne pas dire multipliée par toutes les tensions précédentes déjà emmagasinées. Elles choisissent en général de s’exprimer « ailleurs », en d’autres points du corps et de l’esprit, car elles gardent en mémoire l’information selon laquelle elles ne peuvent pas s’exprimer par le premier moyen qu’elles avaient choisi, puisque nous avons réussi à les réduire au silence. (pages 47 et 48)
8. Notre corps souffre par amour pour nous
Extrait de « Le cancer apprivoisé » de Léon Renard
Le monde des vibrations de l’amour est régi par des lois de cause à effet aussi précises que celles qui gouvernent le monde des vibrations matérielles. La maladie, la souffrance, nous l’avons vu, ne sont pas dues à une malchance d’ordre matériel, mais plutôt à des erreurs de pensées et de comportements qui vont à l’encontre de ces lois.
L’homme, aujourd’hui, est plus proche du monde matériel et du monde mental que du monde spirituel. Il lui est possible d’observer et d’analyser immédiatement les réactions provoquées par ses actions et par ses pensées. Le monde de l’âme n’étant pas matériel, il n’est pas immédiatement accessible à l’observation. Nous avons tendance, puisque nous ne pouvons la voir et en prendre conscience, à considérer que l’âme n’a aucun pouvoir.
Citons encore une fois Edgar CAYCE: « Si l’entité est si satisfaite d’elle-même, si elle est tellement centrée sur elle-même qu’elle refuse les choses spirituelles et ne change en rien son attitude, aussi longtemps qu’il y aura intérieurement quoi que ce soit qui se trouve en contradiction avec la patience, la tolérance, l’amour fraternel, l’amabilité, la gentillesse, il ne peut y avoir de guérison du mal dont ce corps souffre».
Il est évident, en lisant les nombreux conseils de CAYCE, que la maladie et les difficultés de notre vie ne peuvent être résolues qu’en suscitant en nous les vertus appropriées de l’esprit et de l’âme.
Un outil efficace pour entrer en communication avec le Dieu de notre compréhension est la prière et la méditation.
Quand nous sommes en méditation, nous ne devons pas penser que nous sommes une personnalité, car alors nous restons en contact avec un état qui nous limite. La véritable méditation consiste à se brancher sur la centrale cosmique, avec la conscience que l’on est une âme. Il faut apprendre à faire entièrement confiance à l’âme pour diriger notre vie.
Après avoir lu ces quelques lignes, certains d’entre vous vont peut-être se lancer dans l’action et combattre leurs défauts. Il est dangereux d’agir de la sorte.
Il convient plutôt, vis-à-vis de ce que nous sommes ou de ce que nous avons fait, de garder une certaine distance, d’adopter un certain humour.
Si vous vous battez pour éliminer vos défauts, vous allez non pas les vaincre, mais leur donner de l’importance et de l’énergie pour grandir et, ce faisant, vous devrez utiliser encore plus d’énergie et de volonté, ce qui les nourrira encore plus.
En voulant détruire vos défauts, vous y restez accrochés.
Aimer son corps malade
Pour guérir, on doit apprendre à s’aimer et, surtout, à aimer l’organe ou la partie de son corps que l’on considère comme son ennemi.
Un cancéreux, qui a été condamné parce que la maladie a envahi telle ou telle partie de son corps, considère cette partie comme une ennemie et ne pense pas un seul instant à lui envoyer des pensées d’amour.
Cette partie souffre d’un déséquilibre par amour pour lui; elle essaye de lui communiquer son message en pleurant, en gémissant, en criant parfois, tout comme un enfant essaye d’attirer l’attention des parents par ses pleurs et ses cris lorsqu’il s’est blessé.
S’il envoie à cette partie des pensées négatives, il contribue à l’affaiblir et il donne l’ordre de l’éliminer. L’esprit et le cerveau vont donc accepter son ordre et l’éliminer. Il faut cesser cette autodestruction. S’il veut conserver cette partie et guérir, il doit apprendre à l’aimer.
Le mal n’existe pas en nous. Ne croyons pas que notre corps, ou une partie de celui-ci, nous veut du mal. Au contraire, c’est par amour pour nous que certaines parties de notre corps nous font souffrir. Comme nous l’avons vu, le corps nous communique sans arrêt des messages pour nous protéger de nos erreurs. C’est par amour qu’il le fait; il se sacrifie pour nous apporter un message, car il sait qu’actuellement, la seule façon de nous aider à comprendre les lois qui régissent la santé, c’est de nous parler de cette façon-là. Si nous étions capables de comprendre directement le message que les cellules de notre corps nous communiquent dès qu’il y a un déséquilibre, c’est-à-dire, de la conscience de la cellule à notre propre conscience, il ne serait pas nécessaire de communiquer de la façon que nous connaissons et maudissons.
Chaque cellule qui nous constitue est une partie de la divinité en nous. Si nous voulons lui permettre d’exprimer sa divinité, il faut apprendre à l’aimer et à lui faire confiance. S’aimer soi-même, ce n’est pas devenir égoïste: c’est aimer tous les aspects qui nous constituent et leur faire entièrement confiance. Pour commencer à nous aimer, il faut apprendre à reconnaître l’amour du Créateur de toute vie.
Pour rencontrer notre Divinité et permettre à l’énergie de l’âme de se manifester, de se réveiller en nous, il suffit d’utiliser, encore une fois, la loi de la polarité.
Nous pouvons utiliser la polarité positive, c’est-à-dire la méditation active et aller nous promener dans la nature en essayant de voir en toutes choses l’aspect sacré de la création. Laissons-nous alors imprégner de la beauté des couleurs, des formes, des sensations éprouvées lors de cette contemplation. Participons en essayant de faire partie intégrante de cette création.
Soit nous utilisons la polarité négative, c’est-à-dire la méditation passive, et nous nous rendons dans un endroit propice à ce type de méditation.
En inspirant, imaginons que notre âme, la divinité en nous, remplit tout notre être de lumière, de paix et d’amour et qu’en expirant nous rejetons vers l’extérieur l’obscurité, nos émotions et nos pensées négatives.
Après quelques inspirs/expirs, nous allons ressentir une grande paix intérieure.
Dès que nous apportons de l’amour en nous et autour de nous, l’âme déverse ses vibrations qui sont essentiellement guérissantes.
La force est dans l’amour et la connaissance, c’est-à-dire un amour qui transforme la polarité négative en polarité positive.
Pour guérir il faut avant tout apprendre à aimer l’organe ou la partie de notre corps que nous considérons comme un ennemi. Notre corps souffre par amour pour nous. (pages 133 à 137, Edition Marabout)
9. Ne pas étouffer les pensées négatives
Extrait de « La vie sans conditions » de Dr Deepak Chopra
Il y a quelque temps, une femme venait régulièrement me consulter. Elle était fascinée par la pensée positive. Son cancer du sein avait été traité avec succès deux années auparavant, mais elle demeurait extrêmement inquiète à l’idée d’une rechute. Son angoisse sautait aux yeux de tout son entourage, mais c’était bien la dernière des choses qu’elle souhaitait affronter. A un simple « vous avez peur, n’est-ce pas? », son sourire figé et son optimisme de façade m’infligeaient le sentiment de n’avoir parlé que par pure cruauté. Sa présence seule me rendait de plus en plus nerveux. Elle ressemblait à un câble tendu, prêt à se rompre.
En fin de compte, après lui avoir fait remarquer sans ménagement qu’elle affichait une humeur artificielle, je lui demandai de but en blanc de cesser d’être aussi rigidement positive. « Vous voulez dire que ce serait bon pour moi d’avoir des pensées négatives si je le voulais? demanda-t-elle avec une touchante incrédulité.
-Oui, lorqu’elles sont naturelles et inévitables. »
Elle éclata de rire et s’exclama: « Grands dieux! J’avais besoin de la permission de quelqu’un! J’ai lu tant de choses sur les dommages que l’on peut infliger à son corps avec les pensées négatives que j’ai passé toute l’année qui a suivi mon opération dans la terreur du plus léger signe de cela. Puis il m’est venu à l’esprit que la crainte est une pensée négative. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point cela m’a troublée. »
Une telle perspicacité était impressionnante. Bien des gens, dans leurs louables efforts pour mettre l’accent sur le positif, n’échappent cependant pas à leurs problèmes et ne parviennent qu’à les accroître. Ils veulent mettre fin à la souffrance mais choisissent à tort une tactique consistant à nier leurs véritables sentiments, sous prétexte que ceux-ci sont « trop négatifs » pour être exprimés. J’ai approfondi la question avec cette patiente. « Prêter attention à ses propres peurs et douleurs est une grande source de culpabilité pour la plupart des gens, soulignai-je, parce que cela ressemble à un apitoiement sur soi-même, trait de caractère que nous estimons mauvais. Nous nous refusons notre propre pitié alors que nous l’accordons volontiers à d’autres; cela est aussi mauvais. Tous nous avons des douleurs cachées en nous et tenter de les étouffer n’est pas une qualité. Cela est tout simplement impossible.
« Il se peut que vous considériez qu’entretenir une bonne attitude est très important. Mais une attitude, en soi, n’est pas très fiable. Après tout, qui, de vous ou de votre attitude, remonte le moral de l’autre? Tout ce qui est à l’intérieur de vous est vous, même si vous établissez une scission entre le vous courageux et le vous peureux, le premier essayant d’étouffer ou de vaincre le second. Si l’une des parties s’adresse à l’autre en lui déclarant « Courage, ne renonce pas, ne désespère pas », est-ce que ce n’est pas simplement une sorte de jeu? »
Elle admit que c’était probablement exact, mais que ce n’était pas très rassurant. « J’ai toujours craint que si je ne poursuivais pas ce jeu, comme vous dites, mes pensées négatives ne m’engloutissent.
– Est-ce que le fait de vous opposer à vos pensées négatives diminue leur pouvoir? Est-ce que cela ne repousse pas simplement le jour où elles sortiront, d’une manière ou d’une autre? Pensez-y. Vous consacrez probablement beaucoup de temps à ne pas penser négativement. Cela doit exiger de vous une vigilance, des efforts constants. Pourtant, dès que la pression cesse, ces sentiments déniés ne rebondissent-ils pas avec une force redoublée? Dans votre situation, je ne pourrais pas poser ma tête sur un oreiller sans que des armées de pensées négatives ne m’assaillent. »
Elle reconnut qu’arriver à dormir était devenu une torture. « Les pensées négatives viennent toutes seules, même face à la plus vigoureuse opposition, dis-je. C’est une chose que nous devons tous accepter. Nous perdrons toujours à ce jeu consistant à résister aux pensées que nous n’acceptons pas. La vraie question est: « Est-ce que je peux renoncer à la totalité de ce jeu? Et rares sont les gens qui songent à cette alternative. » (pages 159 à 161) Edition Aventure Secrète de J’ai Lu
10. La peur est la racine de presque tous les maux de l’humanité
Extrait de « L’Univers d’Edgar Cayce ». Lectures recueillies et analysées par Dorothée Koechlin de Bizemont
Si l’on voulait résumer la pensée caycienne, on pourrait dire que:
– toutes nos maladies ont pour origine une mauvaise attitude mentale, un Soi qui s’est désaccordé des lois cosmiques. Puisque c’est notre esprit qui construit tout, la racine de tous nos maux physiques, affectifs, psychologiques est donc dans une mauvaise attitude de notre esprit;
– en réharmonisant notre esprit avec ces lois cosmiques, notre corps se réharmonise aussi. Ces lois cosmiques sont les lois divines qui font marcher aussi bien les étoiles que les glandes et les muscles de notre corps. Mais toutes ces énergies qui sont en nous sont aussi en notre pouvoir.
La guérison est donc toujours possible – si nous la voulons de toutes nos forces.
Car l’origine de toutes les maladies est « dans la tête ».
Personne ne peut haïr son voisin sans avoir une maladie d’estomac ou de foie!(Lecture 4021-1)
Personne ne peut être jaloux et se laisser aller à la colère sans avoir des troubles digestifs ou des problèmes cardiaques.(Lecture 4021)
Mais la haine et la jalousie sont filles de la peur :
La peur est la racine de presque tous les maux de l’humanité: peur de soi, peur de ce que les autres pensent de vous, de l’image qu’ils ont de vous, etc. Surmonter la peur, c’est remplir son être mental et spirituel de ce qui chasse la peur, c’est-à-dire l’amour manifesté dans le monde à travers Celui qui s’est donné pour payer la rançon de beaucoup d’entre nous. L’amour, la foi, la compréhension de ces lois chassent la peur.(Lecture 1439-31)
Un avertissement pour tout être humain: la colère est un poison pour tout l’organisme.(Lecture 2-14) (Page 41 – Edition J’ai Lu New Age)
11. Le pouvoir du « Notre Père » sur les glandes endocrines
Extrait de « L’Univers d’Edgar Cayce ». Lectures recueillies et analysées par Dorothée Koechlin de Bizemont
[…] Cayce estime donc que la maladie touche le corps à travers les poisons secrétés dans les centres glandulaires par des attitudes négatives. Inversement, on pourrait provoquer la guérison – n’importe quelle guérison – en travaillant dans un sens positif sur ces centres glandulaires. Il faut agir sur eux, les réanimer, remettre leurs énergies en mouvement, les réveiller.
Cayce conseille pour cela un outil de base: la méditation – à l’instar de ce qui se fait au Tibet, par exemple. Il explique que chaque verset du « Notre Père » correspond à l’un de ces centres glandulaires. Et que la récitation méditative de cette prière peut avoir un effet dynamisant sur les glandes malades. (Le « Notre Père » est d’ailleurs beaucoup plus ancien que le judaïsme, puisqu’on le trouve déjà dans les prières d’Akhenaton à Tell-El-Amarna.)
– Monsieur Cayce, est-ce que le « Notre Père » provoque bien l' »ouverture » de ces centres glandulaires ?
– Oui, c’est juste comme on vous l’a dit. Ce n’est pas la seule voie possible, mais c’est une voie qui répondra au désir de ceux qui cherchent un moyen, un chemin, pour comprendre comment agit la Force Créatrice de Dieu (sur le corps). (Lecture 281-29)
– Alors, la pituitaire correspond au mot « cieux » ?
– Correct. Car dans toutes ses activités, elle joue un rôle de déclencheur.
– La pinéale correspond au mot « nom » ?
– Relativement, oui.
– La thyroïde, au mot « volonté » ?
– Correct.
– Le thymus, à « mal » ?
– Correct.
– Le plexus solaire au mot « offenses » (on se souvient que le plexus solaire est lié aux surrénales, centre des émotions) ?
– Oui.
– Et les cellules de Lyden au mot « tentation » ?
– Correct.
– Et les gonades, au mot « pain » ?
– Tout à fait. (Lecture 281-29)
– Alors, comment, pratiquement, utiliser le « Notre Père », compte tenu de cette connexion dont vous nous parlez avec les glandes endocrines?
– En essayant de ressentir le flot des significations de chaque verset couler à travers votre corps physique. Car il se produit dans le corps physique une réponse aux représentations du corps mental: il y a une réaction physique qui se construit. (Même lecture)
Cela nous amène à une autre possibilité de guérison: la guérison par la méditation et la prière, dont diverses formes se développent actuellement aux Etats-Unis, au Canada et en Suisse. Là encore, Cayce fut un précurseur.
Remarquons aussi que cette façon de réciter le « Notre Père » était dans la tradition des Cathares, qui accordaient à ces versets (que nous récitons sans y penser) un pouvoir de guérison extrêmement fort. (Pages 50 et 51 – Edition J’ai Lu New Age)
12. La puissance de l’action du repentir
Extrait de « Diagnostic karmique » de Serguei Lazarev
La notion de « nature vivante » concerne un ensemble de significations dont en premier lieu, tous les biens matériels utilisés par l’homme. Par une action thérapeutique, on peut aider des milliers de gens mais la compréhension du monde peut en sauver des millions.
Cette compréhension est étroitement liée au mécanisme du repentir, dont j’ai pu constater l’action dans la modification des structures karmiques. Lorsque je compris combien l’état physique est déterminé par les structures karmiques du champ de l’homme, j’ai essayé d’agir sur elles par les moyens les plus variés: pratique de magie, de sorcellerie, de remèdes populaires et de médecine traditionnelle. J’ai tout essayé, mais les résultats restaient superficiels. Par la suite, je suis arrivé à cette conclusion très simple: l’accroissement de la puissance de l’action peut donner une brusque et visible amélioration mais traumatise le patient, son problème n’étant pas résolu de façon définitive par ce procédé. Quel que soit l’emballage, une action contraignante reste une action contraignante. J’ai compris que le moyen le plus efficace et sans danger connu par l’humanité depuis toujours est le repentir.
En m’introduisant dans les structures personnelles de la personne avec mes programmes et en m’orientant avec ma logique et ma vision du monde, pour autant que je représente une partie de l’Univers, en raison de mon imperfection, j’introduis à chaque fois dans le champ de la personne quelque chose de moi.
L’action doit se réaliser uniquement du point de vue du tout, c’est-à-dire de l’Univers, or ce n’est possible que par le mécanisme du repentir, lorsqu’il s’adresse à l’âme de l’Univers, c’est-à-dire à Dieu.
Pourquoi à Dieu et non à tout l’Univers? C’est par ce qu’en disant Univers, au niveau de notre conscient, apparaît un modèle à l’étendue infinie dans lequel se trouvent le temps, l’espace, la matière. Il nous est difficile de nous représenter l’Univers comme un seul tout. C’est seulement dans l’élévation du potentiel spirituel que les parties de l’ensemble disparaissent et que le sentiment de l’Absolu unifié apparaît. Lorsqu’une personne s’adresse à Dieu en pensée et demande pardon pour ce qu’elle a commis, des changements étonnants s’opèrent dans son âme et dans son corps. A ce moment, la personne avoue son imperfection, s’ouvre à Celui qui nous a créés et reçoit de Lui des forces pour changer et entrer en harmonie avec l’Univers.
Aucune action ne peut remplacer la décision personnelle de l’homme. (Pages 74 et 75, Editions du Dauphin)
13. La maladie est un frein à une dégradation spirituelle
Extraits de « Diagnostic karmique » de Serguei Lazavev
En n’allant pas vers la cause, on ne peut que déplacer la maladie soit vers un autre organe, soit vers le destin, soit sur le psychisme de l’être humain, soit encore vers ses vies futures. Ou bien tout est rejeté sur ses enfants. Un mécanisme reste un mécanisme. Sans un changement spirituel, la maladie ne peut être guérie. (Page 135)
Lorsque la maladie est perçue comme un mal, on la combat en la déplaçant d’un endroit à un autre. Lorsque viendra la compréhension que la maladie est un frein à une dégradation spirituelle et que les causes de son apparition vont être retirées, la maladie s’en ira d’elle-même. L’insuffisance de notre philosophie et de la compréhension du monde, nous mène à l’auto-destruction. (Pages 136-137, Editions du Dauphin)
14. Les Aborigènes connaissent le rôle de la maladie et le pouvoir de la pensée sur celle-ci
Extrait de « Message des Hommes Vrais au Monde Mutant » de Marlo Morgan
« …En réduisant la fracture osseuse, les deux médecins aborigènes envoyaient au corps des pensées de perfection. Il se passait autant de choses dans leur tête et dans leur coeur que dans leurs mains. Le blessé était ouvert et réceptif, il croyait en une guérison immédiate et complète. Ce qui m’apparaissait comme un miracle était la norme pour la tribu. Je me demandai à quel point la souffrance des malades ou des mal-portants cramponnés à leur rôle victimaire, aux Etats-Unis, est due à une programmation émotionnelle, évidemment pas consciente, mais sur un plan totalement inconscient.
Que se passerait-il aux Etats-Unis si les médecins avaient autant de foi en la capacité de guérison du corps humain qu’ils en mettent dans le pouvoir des médicaments? Le lien entre le patient et le médecin me paraît capital. Si un médecin ne croit pas en l’amélioration possible de la santé d’un patient, rien que cette pensée peut entraver la guérison. Je sais depuis longtemps que lorsqu’un médecin annonce à son malade qu’il n’y a pas de traitement, cela signifie plutôt qu’en raison de son éducation et de la formation qu’il a reçue, il ne dispose d’aucune thérapeutique, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de traitement. Si une autre personne a pu surmonter cette maladie, c’est que le corps humain a la capacité de guérir. Au cours d’une longue discussion avec Homme-Docteur et Femme-Guérisseuse, d’extraordinaires et nouvelles perspectives s’ouvrirent à moi dans le domaine de la santé et de la maladie.
[…]
Le Vrai Peuple pense que nous ne sommes pas des victimes de la maladie par hasard et que notre corps physique est le seul moyen que possède la conscience éternelle, en nous, de communiquer avec notre personnalité consciente. Quand l’activité du corps ralentit, nous devenons capables de nous observer, d’analyser les blessures vraiment importantes qu’il nous faut réparer: relations détériorées, brèches dans nos systèmes de croyance, noyaux de peur, fléchissement de notre foi envers le Créateur, endurcissement excessif et incapacité à pardonner, etc. » (Pages 127, 128 et 129 – Edition J’ai Lu)
15. Les Bains dérivatifs, un moyen de santé simple, efficace et gratuit
Extrait de « Les Bains Dérivatifs » de France Guillain
Plus près de nous, au siècle dernier, Louis Kuhne redécouvrit le Bain dérivatif de manière très empirique. A vingt-cinq ans, les poumons gravement malades, il s’installe dans une ferme à la campagne pour se reposer. Sa petite chienne l’accompagne. Cette dernière se casse une patte. Louis Kuhne lui pose des attelles, l’installe confortablement dans un grenier, lui apporte de la nourriture, du lait de vache, elle refuse toute alimentation pendant une semaine. Durant la même période, Louis Khune observe que sa chienne lèche alternativement son sexe et la jambe cassée. Au bout de huit jours, la petite chienne est sur ses pattes et reprend une vie normale. Louis Kuhne est très impressionné de la rapidité de la « réparation » de la patte cassée. Quant à lui, sa maladie progresse, il a des accès de fièvre et de violents maux de tête. C’est alors qu’il lui vient l’idée que sa chienne n’a pas besoin de se lécher la jambe et le sexe à longueur de journée à seule fin d’être propre. Il doit y avoir une autre raison. Un jour où il a de la fièvre et mal à la tête, il fait un essai. A l’aide d’un morceau d’étoffe, il mouille le bout de son sexe à l’eau froide et prolonge l’opération comme le ferait l’animal. La réaction est très rapide. Très peu de temps après, il éprouve un véritable soulagement à la tête. Quant à la fièvre, elle descend très nettement. Il ne comprend pas comment cela fonctionne, mais il va beaucoup mieux. C’est pour Louis Kuhne le début d’une grande aventure. Contrairement à son père emporté très jeune par un cancer, Louis Kuhne vivra jusqu’à quatre-vingts ans en excellente santé. Toute sa vie il expérimentera ce qu’il nommera les « bains de siège à friction ». « Les bains de siège à friction donnent des résultats éclatants et rapides… » écrit Louis Kuhne. « Comme une très petite partie seulement du corps est rafraîchie, le malade sent, non pas du froid, mais une agréable chaleur. Le lieu où se prennent les bains de siège à friction doit être agréablement chaud, surtout en hiver ». Louis Kuhne fait des conférences et en 1893, publie une somme de ses conférences. Le livre sera traduit dans trente-deux pays. En France, c’est Monsieur Henri-Charles Geoffroy, fondateur de La Vie Claire qui prend l’initiative de le publier aux Editions CEVIC (La Vie Claire).
Il y a donc ainsi, dans trente-deux pays, des personnes qui, sans faire de bruit, connaissent et utilisent les Bains dérivatifs. Mais Louis Kuhne, dans son livre ne parle pas que de ces bains. Il explique également les bains de siège, les bains de tronc, de vapeur… les « bains de siège à friction » étant réservés… à ceux dont la pudeur le permet…! A ceux qui osent mouiller seulement leur sexe.
Il faut reconnaître que malgré l’évolution des moeurs, le Minitel rose et le grand déshabillé sur les plages l’été, il reste très difficile d’annoncer tout de go aux amis « Moi, je me mouille le sexe à l’eau froide ». Rika Zaraï a déjà déclenché le rire des foules avec son bain de siège dans une petite cuvette. Aussi, personne n’ose prendre le risque de paraître ridicule. Et voilà comment une pratique très simple et très efficace risque de disparaître si nous n’y prenons garde. Il est temps de nous y mettre nombreux afin que la médecine s’y intéresse et lui redonne sa juste place.
[…]
L’action du Bain dérivatif
Le Bain Dérivatif, comme son nom peut l’indiquer, fait – selon les apparences – dériver, voyager les substances, les matières, les molécules que nous avons en trop dans notre corps, celles qui ne sont pas transformées en muscles, sang, os…, le bain dérivatif semble donc faire revenir lentement ces excédents inutiles là où ils étaient au « départ », dans l’intestin, afin de les évacuer.
Cela peut paraître trop simple. Trop facile à dire. Car il y a dans cette définition quelque chose de presque miraculeux à nos yeux. On est tenté de répondre: de qui se moque-t-on! Quelle preuves avez-vous?
La recherche scientifique et médicale est tellement avancée aujourd’hui qu’il nous est bien difficile d’entendre, d’accepter une si tranquille affirmation. On a beau nous dire que c’est gratuit et sans aucun danger puisqu’il s’agit seulement et uniquement de mouiller son sexe à l’eau froide dans des conditions très précises, il nous semble impossible que cela puisse fonctionner sans frustrations comme lorsque l’on se soumet à un régime alimentaire, sans douleurs comme lorsque l’on a recours à la chirurgie. Gratuit, facile, sans danger et efficace, ça n’existe pas!
Une telle définition, une telle déclaration paraît presque indécente, car elle n’inclut aucun autre effort que de se mouiller régulièrement le sexe à l’eau froide pendant une durée déterminée. A qui allez-vous faire croire ça! Il nous est devenu très difficile de comprendre qu’il n’y a rien à « payer » pour obtenir un bon résultat. C’est presque choquant. « Ca se saurait si c’était vrai! ». Comme nous l’avons vu dans l’historique, « ça se sait ». Mais tout le monde ne le sait pas. C’est une compétence enfouie.
Si l’on se souvient qu’il s’agit là d’une pratique qui remonte aux origines de la vie animale et humaine, la vie ou plutôt la survie en ce temps-là ne pouvait s’acheter ni dans un hôpital, ni dans une pharmacie. Il fallait donc bien que la Nature mît au service de chacun un moyen simple de se tirer d’affaire. (Pages 17 à 20 – Editions Jouvence)
16. Les organes sont les outils de fonctions qui expriment des besoins
Extrait de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem
Chacun a une mission. Chaque corps est un outil spécifique destiné à accomplir une tâche spécifique. En conséquence, si pour des raisons qu’il n’est d’ailleurs pas nécessaire d’élucider, ce but personnel est ignoré ou renié au profit de buts déplacés, de buts qui ne sont pas ceux qu’on devrait suivre, autrement dit si on vit la vie des autres au lieu de faire ce que l’on aime, ce pour quoi on se sent fait au fond de soi-même si on l’a réprimé pendant des décennies, l’énergie ne passe pas. Ne coule pas. On n’est pas un instrument du grand but universel, par conséquent on ne bénéficie pas de l’aide de la Providence universelle. Ou tout au moins on freine et on retarde, puisque de toute façon tout finira par guérir un jour.
Qui fait cela sinon soi ? Qui s’empêche de vivre sinon soi, sous prétexte de peurs, de sentiments, ou de dépendances ? Pour y parvenir, il faut dépenser une énergie colossale qui, puisqu’elle n’est pas puisée dans le grand but universel (qui va droit vers l’Absolu) ne peut qu’être tirée dans la substance personnelle, qui n’est que mémoire et croyance au passé. On entend tirer de son passé, de sa personnalité, les ressources nécessaires à une réalisation vouée à l’échec. On s’épuise à essayer de réaliser prospérité, succès, bonheur, amour idéal etc. en croyant en être l’auteur, simplement parce qu’on ignore ce pour quoi on est vraiment fait. En fait, on est toujours à mille lieues de ce que l’on aimerait faire, et cela ne serait qu’expérience malheureuse si cela n’avait pour conséquences le vieillissement prématuré, la maladie et l’autodestruction. Il faut des années de dur labeur pour se construire un cancer, par exemple. Des années de lutte contre soi-même, involontaire bien sûr, simplement due à l’attachement à des émotions anciennes et à la méconnaissance de ce que l’on est vraiment. Car les blocages énergétiques indispensables pour s’interdire de vivre telle ou telle chose, pour essayer de l’ignorer et de n’en pas souffrir, ou pour en compenser les effets relationnels, font que tels organes vont être privés d’énergie alors que tel autre va en être saturé.
Les organes, en effet, sont les outils de fonctions qui expriment des besoins. Lorsque certains besoins sont niés, les fonctions sont réprimées, les organes ne reçoivent pas de volonté. Il dépérissent. A l’inverse, ils connaissent une surchauffe lorsqu’on veut agir dans un sens pour lequel on n’est pas fait. C’est ce qu’on interprète par le « symbolisme » des organes (cf. Dr Hamer): une frustration ou un conflit agissent sur tel ou tel organe plutôt que sur tel autre non parce que l’organe symbolise quelque chose, mais simplement parce que la fonction correspondante est interdite, déroutée, ou suractivée pour des raisons psychologiques. Les fonctions des organes ne sont pas que physiques, puisque ce ne sont que la manifestation matérielle de buts ou de nécessités immatériels.
Ainsi, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Ceux qui font ce qu’ils aiment sont pleins d’énergie et équilibrés. Ceux qui se renient sont faibles et ont toujours quelque chose qui ne va pas. Les premiers deviennent des gagneurs, parce qu’ils ne puisent pas l’énergie dans leurs réserves personnelles mais sont des « canaux » qui reçoivent toute l’aide de l’univers, qui sont toujours à leur place, tandis que les seconds deviennent des perdants, car non seulement ils s’usent en s’autocensurant, mais en plus s’arrangent inconsciemment pour créer tous les obstacles possibles aux choses qu’ils décident de réussir. On ne peut, en effet, que mettre des freins à ce qu’on n’aime pas faire, si sincère soit-on dans ses choix. (Pages 243 – 244 – Edition Louise Courteau)
17. La maladie signale un désaccord avec nos pensées, paroles et actes
Extrait de « Formes-Pensées » d’Anne Givaudan
Je n’ai pour ma part jamais vu de maladie ou même d’accident sans une FP (forme-pensée) à son origine. La fracture d’un poignet droit sur une piste de ski n’est pas un fait anodin. C’est pour moi une évidence qu’une FP a créé une brèche dans l’aura du skieur.
Il n’y a pas « d’accident » sur les plans subtils, pas plus que de « hasard ». Tous les événements y sont déjà inscrits avant qu’ils ne se concrétisent dans la matière. Que cela prenne un instant, des heures, des mois ou des années n’enlève rien au fait que les FP préexistent à l’événement.
Il est toujours possible d’éviter qu’un événement déjà présent sur un plan subtil ne se matérialise dans le plan physique, mais il faut pour cela une connaissance du mécanisme des FP qui ne soit pas simplement sur un plan mental ou théorique.
Lorsqu’une FP est constituée, elle crée une couverture à travers nos différentes auras qui ainsi n’assurent plus leurs fonctions protectrices initiales. Elle fait aussitôt office d’aimant, et va attirer à elle tout ce qui peut correspondre à sa vibration personnelle. La porte sera désormais ouverte à ce que les Esséniens appelaient, il y a deux mille ans déjà, « entité maladie ».
Une entité de ce type est semblable à un être de l’Ether qui se nourrit des forces vitales d’un organe ou d’un corps entier jusqu’à épuisement de ce dernier. Cela semble cruel et pourtant, derrière ce fait, il n’y a aucune notion de moralité. C’est simplement un fait, un processus qui n’est ni juste ni injuste. Jamais les Esséniens ne considéraient la maladie comme une ennemie à abattre, pas plus que je ne le fasse aujourd’hui. La maladie est, et restera toujours et avant tout une sonnette d’alarme qui attire notre attention sur l’alignement défectueux de nos différents corps. Si nous ne sommes pas en accord avec nos pensées, nos paroles et nos actes, nous ne pouvons agir avec sérénité et vitalité.
A ce propos, j’ai souvent entendu cette question « Alors comment se fait-il que des êtres bien sombres et aux agissements douteux puissent être et rester en aussi bonne santé? »
Lorsque j’ai parlé plus haut d »’alignement », là non plus il n’y a aucune connotation de bien ou de mal, de bon ou de mauvais. Si un être est aligné dans ce qu’il est, dans ce qu’il croit le mieux pour lui, alors il n’y a pas de faille jusqu’au jour où… une partie de lui ne sera plus en accord avec ses actes. Dès cet instant-là, et cela peut arriver à n’importe quel moment, devant un spectacle émouvant, un regard, un mot, une main qui se pose, un être aimé qui meurt, ou la simple lecture d’une phrase, l’être commence alors un autre itinéraire. En lui quelque chose n’est plus d’accord et crie sa souffrance. C’est ce cri profond de notre Etre que souvent nous n’écoutons pas et c’est ainsi que de cri en cri, le subtil se densifie jusqu’à devenir douleur… Celle que nous voulons abattre, que nous refusons d’écouter, que nous étouffons sous des tonnes de médecines ou de tranquillisants et qui n’est autre que nous-même, ce Nous, supra-conscient, qui sait combien nous nous sommes éloignés de notre Essence. (Pages 35 à 37 – Edition S.O.I.S.)
18. Le nom de la maladie relie le patient à l’égrégore qui correspond au nom prononcé
Extrait de « Formes-Pensées » de Anne Givaudan
Combien il est important de ne pas enfermer le patient dans un nom d’une maladie.
En tant que thérapeute, un fait important m’est apparu lors d’une lecture sur les plans subtils d’un patient. Lorsque l’on nomme une maladie qu’elle soit physique ou psychique, on fige le patient dans un cadre étroit et on le relie à l’égrégore qui correspond au nom prononcé.
Ainsi, prenons le mot « cancer ». Ce mot va immédiatement relier la personne sur laquelle est posé ce diagnostic, à l’égrégore de peur, d’invalidité et de mort, attaché à ce terme précis.
Lors de lectures des plans subtils, je vois alors l’aura de la personne non seulement se figer selon le diagnostic donné, mais aussi tenter involontairement de correspondre et de « cadrer » à ce qui a été dit. Il est bien sûr possible de pallier à cet inconvénient de lecture, mais l’influence de ce que croit le thérapeute, ajoutée à ce que croit le patient, demande alors pour « y voir clair » une transparence totale. (Pages 75-76 – Edition S.O.I.S.)
19. Les formes-pensées à l’origine des maladies graves
Extrait de « Formes-Pensées » de Anne Givaudan, avec la collaboration du Dr Antoine Achram
Il a été démontré que nous produisons tous à un moment ou un autre dans notre vie des cellules cancéreuses, mais nous ne faisons pas, fort heureusement, tous un cancer, parce que notre immunité est là pour détruire toutes les cellules anormales ou étrangères. Parfois, cette immunité est diminuée et affaiblie et la maladie prend le dessus.
Qu’est-ce qui agit sur notre immunité en la diminuant ou en la fortifiant ? Ce sont nos formes-pensées (FP) et les émotions qu’elles déclenchent.
Pour qu’elles soient à l’origine de maladies graves, comme un cancer, ces FP doivent être :
- bien structurées : c’est-à-dire solides, avec la croyance inébranlable de leur réalité. Quelques modèles de ces croyances fortes sont : « je ne mérite pas qu’on s’occupe de moi » ou « je suis incapable de réussir à chaque fois que je commence un projet ».
- Répétées ; par exemple à chaque séparation, la conclusion du CL lui rappelle « séparation – souffrance ».
- S’accompagnant de sentiments de désespoir, et de découragement.
Nous avons vu plus haut que le cerveau limbique déclenche une solution de survie par la fuite ou autre réaction. Cependant, si nous vivons une situation stressante, pesante et répétitive, tout en continuant à agir de la même manière pour sauver les apparences, (par exemple : faire un travail que l’on n’aime pas) nous nous sentons incapables de résoudre le problème et baissons les bras. Cette façon d’agir en contradiction avec ce que nous ressentons et ce que nous pensons aura pour conséquence une baisse immunitaire et créera un terrain favorable à l’apparition d’anomalies cellulaires porteuses du cancer.
C’est pourquoi les débiles et malades mentaux ne font jamais de cancer car ils n’ont pas de FP structurées et ont résolu leur souffrance en s’échappant dans un autre mode de pensée.
Heureusement, c’est un système réversible qui peut conduire à la guérison complète :
- En étant convaincu qu’à chaque instant le processus de la maladie peut involuer, et que nous avons tous ce pouvoir,
- En aidant le patient à croire fermement à la puissance de ses pensées positives, qui vont remplacer ses FP nocives.
- En lui permettant d’augmenter ses défenses naturelles, par un changement de la perception de lui-même et de ses problèmes pour transmuter la maladie en santé.
- Ces sentiments, sources d’espoir augurant de projets pour l’avenir, sont enregistrés dans le système limbique, puis envoyés vers l’hypothalamus ; Ainsi, l’ordre est donné à l’immunité pour qu’elle se mobilise contre les cellules anormales, les glandes vont agir pour rétablir l’équilibre hormonal, ce qui va arrêter la production des cellules anormales.
Ces dernières, déjà présentes, seront détruites naturellement soit par les défenses du corps soit par un traitement :
- Apprendre à consacrer du temps pour soi, faire les choses que nous aimons et arrêter de faire les choses que nous n’aimons pas ;
- Accepter les autres comme ils sont, sans juger ni critiquer ;
- Exprimer ses sentiments, ses souffrances et ses émotions ;
- Pardonner ;
- Faire des exercices physiques, sans forcer et progressivement ;
- Reprendre en main sa vie et cesser de penser que nous sommes victimes des autres ou de quelqu’un, voilà un vaste programme qui peut occuper toute une vie.
Si j’ai souhaité écrire ce chapitre, bien qu’il soit un peu technique, c’est parce que je crois en la perfection de l’humain. Le cerveau est un transmetteur capable de réaliser sur un plan purement physique les pensées que nous lui donnons. Si ces pensées et ces FP vont à l’encontre de la Vie, elles se réaliseront sous forme de maladie dans nos corps et nous amèneront à la mort. Si ces pensées sont nourries de vie, elles peuvent nous amener à la jeunesse et à la vie sans limite. (Pages 206-208 – Dr Antoine Achram – Edition SOIS)
20. Celui qui s’est senti rejeté par un de ses parents est le plus enclin à faire un cancer
Extrait de « Les 5 blessures qui nous empêchent d’être soi-même » de Lise Bourbeau
«… la blessure de rejet fait tellement mal qu’il est donc tout à fait normal pour un fuyant de haïr son parent du même sexe, celui qu’il a accusé dans son enfance de l’avoir fait souffrir. Il éprouve toutefois beaucoup de difficulté à se pardonner d’en avoir voulu à ce parent d’où sa préférence à ne pas voir ou ne pas savoir qu’il lui en a voulu ou qu’il lui en veut encore. S’il ne se donne pas le droit de haïr son parent du même sexe, il peut développer un CANCER, maladie associée à la rancune ou à la haine suite à une douleur vécue dans l’isolement. Quand une personne arrive à s’avouer qu’elle en a voulu à son parent, elle n’aura pas le cancer. Elle peut se créer une maladie violente si elle entretient des idées de violence envers ce parent mais ce ne sera pas le cancer. Celui-ci se manifeste surtout chez la personne qui a beaucoup souffert et qui s’accuse elle-même. Elle ne veut pas voir qu’elle en a voulu à son parent parce qu’admettre sa rancune serait l’équivalent d’avouer qu’elle est une personne méchante et sans cœur. Ce serait aussi consentir qu’elle rejette ce parent alors qu’elle accuse ce dernier de la rejeter.
Le fuyant ne s’est pas donné le droit d’être enfant. Il s’est forcé pour être mature rapidement parce qu’il croyait qu’il serait moins rejeté ainsi. C’est pour cette raison que son corps ou une partie de son corps ressemble à celui d’un enfant. Le cancer indique qu’il ne donne pas le droit à l’enfant en lui d’avoir souffert. Il n’accepte pas que ce soit tout à fait humain d’en vouloir au parent que nous avons cru responsable de notre souffrance » p.44-45 (Editions E.T.C. Inc)
La grippe espagnole
Extrait de « Histoire inconnue des Hommes depuis cent mille ans » de Robert Charroux
La Grippe espagnole, de sinistre mémoire, anéantit en deux ans cinq fois plus de vies humaines que la Grande Guerre mondiale.
On a dit : c’était la peste, le choléra.
Eh bien, voici la vérité jusque-là tenue secrète, sur cette mystérieuse épidémie.
En 1917, un Espagnol, le docteur L., découvre au Pérou la formule El Sapo (le crapaud) appartenant à la célèbre pharmacopée inca – encore inconnue – dont les six médicaments de base composent la « Formule Cascarilla » qui passait pour guérir toutes les maladies (1).
La formule El Sapo est extrêmement dangereuse, car elle provoque des mutations par l’effet d’un agent catalyseur, les diastases du sang de crapaud.
Bien que prévenu de ce danger, le docteur L., sitôt rentré en Espagne, se retire dans le laboratoire de son hacienda andalouse, dans la province de Malaga, et commence à entretenir des bouillons de culture qu’il inocule à un cochon.
Au cours des expériences, une culture se mute en donnant une souche virulente qui tue l’animal.
Si le Dr L. avait incinéré le cadavre, il est probable que des millions de vies humaines auraient été épargnées. Criminellement, le biologiste voulut en savoir davantage ; il autopsia le cochon et continua ses études, sans s’apercevoir que sa femme et son fils étaient tombés malades et présentaient les symptômes du mal qu’il analysait.
Mme L. et son fils moururent, premières victimes du fléau que l’on devait baptiser grippe espagnole. Bientôt la souche virulente contamina tout le village, puis la province de Malaga, puis l’Andalousie, puis l’Espagne entière.
En 1918, la maladie microbienne, qui présentait certaines analogies avec le choléra et la peste, étendait ses ravages sur l’Europe et sur toute la Terre. Il y eut 3 millions de morts en Europe occidentale, 15 millions en Extrême-Orient, 25 millions en tout.
Voilà comment naquit le terrible fléau qui ramena en plein XXème siècle les obscures terreurs de nos ancêtres, quand sévissait la peste.
Le Dr L. ne fut pas atteint dans sa chair ; il ne fut puni que dans son cœur, dans sa descendance et ne fut même pas inculpé.
Pour ceux qui préparent le programme de la nouvelle ère, ère du Verseau, disent les occultistes, ère du Condor, assurent les américanistes, nos temps sont ceux des apprentis sorciers.
p. 272-273 (Edition Robert Laffont)