Spiritualité - Textes choisis

Nos origines



1. Nous sommes les enfants des Atlantes et des Hyperboréens

Extrait de « L’énigme de l’Atlantide » de Edouard Brasey

« Car nous n’avons pas toujours été ce que nous sommes. Nous ne descendons pas du singe, n’en déplaise à Darwin, mais de ces « hommes fameux » dont parle la Genèse. Nous sommes les enfants des Atlantes et des Hyperboréens. Nous sommes les fils des géants, des héros et des dieux qui, jadis, vécurent sur cette terre. Et il ne tient qu’à nous de redevenir ce que nous fûmes, et que nous n’avons jamais cessé d’être, tout au fond de notre coeur. A défaut, un prochain déluge viendra une nouvelle fois balayer de la terre nos existences émoussées et nos sociétés percluses. » (page 14)


2. La destruction de l’Atlantide par les Fils de Bélial

Extraits de lectures de vies antérieures de divers consultants par Edgar Cayce au début du siècle dernier. Lectures recueillies et analysées par Dorothée Koechlin de Bizemont dans « L’Univers d’Edgar Cayce » Tome I

L’entité était alors dans le pays atlante, à l’époque où se posait la question, comme on dirait aujourd’hui, de la reconnaissance des castes, dans un pays où les intouchables n’étaient pas plus considérés que des chiens par les hautes castes. (Lecture 333-2).
Ceux qui avaient une forme complètement humaine se divisaient en deux groupes. Les Enfants de la Loi de Un, et les Fils de Bélial. Les Bons et les Méchants! Voici le portrait de ces derniers, gens sans foi ni loi, qui n’avaient qu’une idée:
… la satisfaction de leur ego, l’usage des choses matérielles pour leur gratification personnelle, sans aucune considération pour la source divine (de ces plaisirs), ni pour la douleur expérimentée par autrui. Ou, en d’autres termes, ce que l’on appellerait aujourd’hui des gens dépourvus de tout souci moral. Les Fils de Bélial n’avaient aucun principe, sinon celui d’agrandir leur Moi. (Lecture 877-26.)
C’est cette rivalité qui va amener, comme on va le voir, la fin de l’Atlantide:
Les Atlantes devenaient décadents, affaiblis par les disputes entre les Enfants de la Loi de Un et les Fils de Bélial. (Lecture 470-22)
L’étiquette Bélial, dans cette histoire, semble cristalliser toutes les forces négatives. Apparemment, les Fils de Bélial usaient et abusaient des pauvres « choses » pour satisfaire leurs vices; tandis que les Enfants de la Loi de Un s’efforçaient au contraire de reconnaître de la dignité de ces misérables créatures, qui abritaient une âme humaine. Au chapitre suivant, sur l’Egypte, je donnerai les lectures qui décrivent en détail ces hybrides mi-animaux, mi-humains:
L’entité était parmi les Enfants de la Loi de Un qui se souciaient du bonheur de ces « choses » (Lecture 3579-1) […]
Ces entités étaient alors les producteurs, comme nous dirions aujourd’hui, c’est-à-dire les laboureurs, les paysans, les artisans, ceux qui étaient dans la même situation que ce que nous appellerions aujourd’hui des machines […]. Et ce fut au sujet de leurs relations avec ceux qui avaient le pouvoir, que s’élevèrent les contestations. (Lecture 877-26)
En Atlantide, entre le deuxième et le dernier cataclysme, alors qu’il y avait un violent antagonisme entre les Fils de Bélial et les Enfants de la Loi de Un, l’entité fut une prêtresse qui s’occupait de la classe laborieuse. Elle s’efforçait de faire reconnaître la dignité des travailleurs, et d’adoucir le sort de ceux qui étaient considérés comme des choses et non comme des âmes de personnes. (Lecture 1744-1)

Au cours d’une lecture où on lui demanda de décrire l’apparence physique des Atlantes à l’époque archaïque, Cayce expliqua qu’ils poursuivaient leur évolution vers la forme humaine actuelle. Tant les « choses » que les Atlantes d’allure humaine étaient de stature très variable, depuis les nains jusqu’aux géants. Car il y avait des géants sur la Terre en ce temps-là, des hommes qui mesuraient jusqu’à dix ou douze pieds de haut (entre trois et trois mètres et demi), et bien proportionnés de partout. Parmi tous ces corps, certains avaient une forme mieux adaptée que d’autres, ils avaient la taille idéale, tant masculine que féminine, car la séparation des sexes avait déjà commencé. Et le modèle le plus parfait, comme on dit aujourd’hui, fut Adam, quand il apparut. (Lecture 364-11)
Ceux qui étaient bâtis sur le modèle adamique éprouvaient un mépris total pour ceux qui s’étaient fourvoyés dans des corps animaux. Le racisme a des racines préhistoriques… Tout comme la peur névrotique de la vie animale.
[…]
Les lectures décrivent une société technologiquement très avancée, mais d’une folle imprudence:
L’entité s’appelait alors Deui, et son activité consistait à enregistrer les messages et à diriger certaines forces non seulement des rayons solaires amplifiés par des cristaux, mais une combinaison de plusieurs formes d’énergie, car c’étaient ces gaz, que l’on utilise aujourd’hui pour le chauffage, l’éclairage, la production d’énergie, c’est-à-dire les phénomènes de radiation, les combinaisons électriques, l’énergie de la vapeur, etc… utilisés pour le confort moderne […]. L’utilisation de ces énergies par les Fils de Bélial amena alors le premier des cataclysmes, car, en captant les rayons du Soleil, utilisés par les Enfants de la Loi de Un, dans un cristal pour produire de l’énergie, les Fils de Bélial provoquèrent ce que l’on appellerait une éruption volcanique et la terre se disloqua en plusieurs îles – cinq en tout. Poséidia […] devint l’une de ces cinq îles. (Lecture 877-26)
Les Fils de Bélial ne réussirent pas du premier coup: ils s’y reprirent à trois fois pour faire exploser leur continent! Les lectures parlent donc d’une première destruction, vers 50000 avant notre ère, puis d’une deuxième, vers 28000, enfin, de la troisième et dernière vers -10000. La technologie atlante ne cessait de se perfectionner, mettant entre les mains de ces inconscients des armes de plus en plus puissantes. (Pages 209, 210 et 213 – Edition J’ai Lu New Age)


3. Raisons de l’interruption de la civilisation de la Lémurie et de l’Atlantide

Extrait de « Aller au-delà de l’Humain » de Kryeon, channelé par Lee Carroll

[…] Le système du réseau magnétique laissait à cette époque beaucoup plus de tolérance à l’illumination que nous ne l’avions anticipé. Le système que vous avez maintenant est très bien équilibré pour le type de leçon que reçoit votre âme, et il en a été ainsi depuis des milliers d’années. Il a fallu deux ajustements majeurs pour qu’il soit enfin correct, et le premier qui eut lieu concernait l’interruption de la civilisation de la Lémurie et de l’Atlantide. Bien que ces peuples fussent alors séparés par de grandes distances sur Terre, et que leur ancienneté différait, la plupart des humains avaient quelque chose en commun : ils étaient très au fait de la science de l’illumination. Certains d’entre eux (les Atlantes) étaient proches d’une très haute communication vibratoire avec leur âme, mais sans vraiment comprendre ce que tout cela signifiait. Cela allait à l’encontre du but même de la leçon de vie, car ce qui était appris était des plus limités. Au lieu de cela, tout leur était donné (c’était absorbé de façon naturelle à travers un voile très ténu). Le voile était loin d’être en place comme il aurait dû l’être, et presque tous les humains avaient des réponses automatiques aux épreuves plutôt que d’avoir à les apprendre et à les appliquer. Nous avons toléré cette situation durant très longtemps dans l’espoir que les choses s’arrangent d’elles-mêmes, afin d’éviter de créer le karma additionnel qui serait plus tard associé avec l’interruption; mais ça ne s’est pas passé ainsi. Ce premier alignement du réseau magnétique a donné lieu à une bizarre combinaison d’illumination et de déséquilibre qui engendra une civilisation d’humains avec une dualité faible en certains domaines, et forte en d’autres. Ceci rendit possible la présence de l’esclavage à côté d’une science spirituelle avancée, et un sentiment de puissance sans que la source en soit connue. En outre, grâce à la science, l’élite humaine de l’époque parvint à prolonger considérablement sa durée de vie, et cela n’était pas productif ni approprié pour la façon dont la planète avait été conçue. Les membres de l’élite vivaient de longues vies, équivalentes à 5 ou 6 générations de celles de leurs esclaves qui se mirent à ressembler de moins en moins à des humains. L’élite ne partageait pas le savoir dont elle disposait. La destruction totale des masses continentales associées avec cette civilisation accompagna le réalignement que je fis, suivie d’une brève ère glaciaire cyclique afin de permettre à l’action des glaciers de faire disparaître tout vestige résiduel de l’événement. Nous avons ensuite laissé s’écouler un cycle aussi long qu’avait duré la civilisation, afin de rétablir l’équilibre de la planète. (pages 61 et 62, Edition Ariane)


4. Karma créé par la destruction de la Lémurie et de l’Atlantide

Extrait de « Aller au-delà de l’humain » de Kryeon, channelé par Lee Carroll

Question : Vous avez parlé d’un karma qui aurait été créé par la destruction de la Lémurie et de l’Atlantide. Quel sorte de karma subissons-nous à présent dans cette vie à la suite de ces destructions ?
Réponse : Tous ceux parmi vous qui ont vécu durant cette époque ancienne (et cela concerne bon nombre d’entre vous) portent en eux le germe de la peur de la mort attribuable à l’illumination. Rappelez-vous que le karma est une leçon. Un lourd karma terrestre se manifeste souvent par des sentiments que l’on ne peut comprendre sur le moment, comme la peur de l’eau, des hauteurs, des lieux clos, du feu, etc. Ce sont des reliquats de traumatismes hérités des expériences de vies passées, et ils nous (l’Univers) sont utiles lorsque vous en arrivez à comprendre ce qui les cause, et à vaincre la peur. Il s’agit du processus de transmutation grâce auquel s’élève la fréquence vibratoire de la planète.
Tout karma est caché jusqu’au moment où il est exposé au grand jour, et on ne peut régler son karma que pendant l’incarnation dans le contexte de la dualité sur Terre. La destruction de la Lémurie et de l’Atlantide laissèrent en vous le souvenir d’une très forte relation de cause à effet entre l’illumination et la mort. Ce n’est que maintenant que cette semence de peur est ramenée à la surface pour être évacuée, car ce n’est que maintenant que vous rencontrez le genre de pouvoir qui pourrait être pour vous un sentiment familier… et beaucoup d’entre vous y réagissent avec peur. Laissez-moi vous donner un exemple de ce que vous pourriez éprouver en tant qu’ouvriers de la lumière: vous avez peut-être oeuvré depuis des années pour la lumière, mais depuis le début de cette année une certaine léthargie s’est emparée de vous. La dépression vous gagne petit à petit et s’installe entre vos sessions de travail. Vous vous retrouvez soudain à court de désir ou désorienté, et il y a une lourdeur inexprimée accompagnant des situations qui ont le plus grand potentiel de réussite. La vue du nombre de personnes qui commencent à prendre conscience de la dualité éveille des craintes en vous. C’est là une sentiment étrange et familier, et vous vous attendez à ce que le couperet tombe et que la mort frappe. Vous continuez en sachant fort bien que vos actions sont justes et nécessaires, mais un malaise s’est installé au fond de vous. C’est un karma classique de peur, et ça représente le germe de peur de la destruction de la Lémurie et de l’Atlantide. (pages 66 et 67 – Edition Ariane)


5. L’humanité actuelle possède une ascendance de cent mille ans seulement

Extrait de « Messages de notre famille » de Kryeon, channelé par Lee Carroll

La vie existe sur votre planète depuis très longtemps, de même que divers types humains. Certains types ont même disparu depuis. D’autres ont évolué pratiquement jusqu’à la forme que nous connaissons aujourd’hui. Nous vous avons dit que l’humanité actuelle possède une ascendance de cent mille ans seulement afin de vous faire comprendre que, bien qu’il y ait eu des êtres humains avant cela, le genre d’humains concernés par la leçon et les semences biologiques (fournies par les descendants des Sept Soeurs) apparurent à cette époque. Toute étude de l’humanité avant cette date porte sur des êtres différents de vous.
Vous devriez savoir également que l’être humain vivant actuellement sur la planète est absolument unique. Jamais, au cours de l’histoire de cette planète, un humain n’a possédé une conscience dotée d’attributs comme ceux dont vous disposez actuellement. Avec le temps, vous constaterez de légères modifications physiques – telles qu’une détoxication améliorée des organes – ajoutant au caractère unique de votre époque. Aujourd’hui représente véritablement le point de départ d’un tout nouvel être humain ! (page 425 – Edition Ariane)


6. Akhénaton règne pour corriger la voie de notre ADN collectif

Extrait de « L’Ancien Secret de la Fleur de Vie » de Drunvalo Melchizedek

Pendant une très courte période de dix-sept ans et demi, un brillant éclair zébra le ciel, puis disparut. Ce brillant éclair de lumière blanche sauva notre vie spirituelle. Cela commença approximativement en l’an 1500 avant J-C, quand les disputes et l’adoration des nombreux dieux battaient leur plein. Les maîtres ascensionnés décidèrent finalement qu’il fallait faire quelque chose et choisirent un plan d’action.
En premier lieu, ils convinrent d’amener sur Terre un être qui était déjà dans la conscience christique et dans un corps qui correspondait à cet état de conscience élevé, de manière que nous puissions enregistrer la mémoire de cette conscience christique et de ce qu’elle était au juste dans les archives akashiques. Ce genre de mémoire avait été perdu juste après la chute (de l’Atlantide). Le corps adapté à la conscience christique serait donc beaucoup plus grand que celui auquel nous étions habitués sur la planète en ce temps-là, mais il servirait d’exemple et de point de repère aux gens de la Terre. C’était la première partie d’un plan très audacieux, mais c’est ce qu’ils firent.
Les maîtres ascensionnés avaient décidé que cette personne en état de conscience christique devrait devenir le roi d’Egypte. Pour cela, il fallait qu’ils brisent toutes les règles, vraiment toutes. Ils approchèrent donc le roi de cette époque, Amenhotep II, et sollicitèrent une faveur de lui. […] et Amenhotep II accepta.
[…] Amenhotep III et son fils Akhenaton gouvernèrent ensemble le pays pendant quelque temps – deux rois sous le même règne reste à nouveau très en dehors des normes établies. Ils construisirent une ville toute neuve au centre exact de l’Egypte et l’appelèrent Tel al-Amarna.
[…] Pendant un certain temps, Akhenaton et son père dirigèrent le pays simultanément, à partir de deux endroits différents – Thèbes et Tel al-Amarna. Le père abandonna le trône de son vivant – ce qui brisa à nouveau toutes les règles – et donna le pays à Akhenaton, qui devint alors le premier pharaon d’Egypte. Il n’y avait jamais eu de pharaon avant lui, il n’y avait eu que des rois. Le mot pharaon signifie « ce que vous deviendrez ». En d’autre termes, ils indiquèrent à leurs sujets ce qu’ils deviendraient eux-mêmes un jour. Akhénaton, Néfertiti et leurs enfants n’étaient pas précisément des humains.
[…] Le but principal d’Akhénaton consistait à faire disparaître les petites religions occultes et à ramener tout le pays à une seule grande religion et à la croyance en un seul Dieu. En ce temps-là, les gens adoraient des statues; cela faisait alors partie de leur culture. Akhenaton devait donc leur donner quelque chose qu’ils pouvaient voir et auquel ils pouvaient croire. Par conséquent, il leur offrit l’image du Soleil comme représentation de Dieu, parce que c’était là quelque chose qu’ils ne pouvaient pas mettre sur un autel.
Mais il le fit aussi pour une autre raison. Il leur dit que le souffle de vie, le champ pranique, vient du soleil. C’est vrai dans les termes de la troisième dimension, quand bien même le prana est en fait n’importe où et partout – et tout point dans l’espace donne donc accès à une quantité infinie de cette « présence pranique ».
[…] L’Egypte tout entière le détestait […] mais il savait que c’était ce qu’il devait faire, et peu importaient les conséquences, même si cela signifiait sa propre mort. Il fallait qu’il le fasse pour corriger la voie que notre ADN collectif avait codifiée dans la réalité. De plus, il devait placer dans les archives akashiques la mémoire du but sacré de la conscience christique envers nous tous. […] Il ne fallait qu’un seul jour pour la codifier et, ensuite, ses ennemis pouvaient faire ce qu’ils voulaient de lui. Cela ne l’inquiétait pas. Il savait que le pays, la société et les coutumes retourneraient au bon vieux temps. (pages 158, 159 et 170 – Edition Ariane)


7. Pour les Aborigènes, les premiers êtres humains existaient il y a 180 millions d’années

Extrait de « Message des Hommes Vrais au Monde Mutant » de Marlo Morgan

La tribu croit que les premiers êtres humains terrestres sont apparus en Australie à l’époque où toutes les terres de la planète n’en faisaient qu’une. Les scientifiques nous parlent de la Pangée, masse unique qui existait il y a 180 millions d’années et qui finit par se scinder en deux : la Laurasie au nord avec les continents septentrionaux et la Gondwanie au sud, comprenant l’Australie, l’Antarctique, l’Inde, l’Afrique et l’Amérique du Sud. L’Inde et l’Afrique ont dérivé il y a 65 millions d’années, abandonnant l’Antarctique au sud et l’Australie et l’Amérique du Sud au milieu.

Dès le début de l’histoire de l’humanité, les gens ont exploré leur environnement, allant de plus en plus loin. Confrontés à de nouvelles situations, au lieu de s’en tenir à leurs principes de base, ils ont adopté pour survivre des émotions et des actions agressives. Plus ils s’éloignaient, plus leur système de croyances se modifiait et plus leurs valeurs changeaient. Même leur aspect extérieur a fini par changer: sous les climats septentrionaux plus froids, la couleur de la peau s’est éclaircie. (Page 196 – Edition J’ai Lu)


8. Nous sommes des extra-terrestres

Extrait de  » Le livre des maîtres du monde  » de Robert Charroux

D’où étaient issus les hommes pré-diluviens qui fondèrent l’Atlantide et Mû ?
Descendaient-ils des singes comme le voudraient les préhistoriens ? Ces derniers ne trouvent pas de chaînons reliant l’homme à un ancêtre animal. S’ils les avaient trouvés, on le saurait et les musées ne se feraient pas faute de présenter les preuves. Cherchez à Paris, à Saint-Germain-en-Laye, aux Eyzies, à Berlin, à Londres, à Tokyo. Votre enquête sera négative.
Par contre, on trouve, et à profusion, les chaînons reliant la plupart des animaux à leurs ancêtres : le crocodile au serpent, le serpent au poisson, le chien au loup, le porc au sanglier, le coq à l’oiseau, l’éponge au végétal… on n’en finirait pas de trouver des filiations !
Mais pour l’homme : rien ! Ou plutôt, si ! Les préhistoriens peuvent présenter quelques chaînons, les seuls ou à peu près qui soient authentiques : des crânes relativement récents d’hommes plus intelligents que nous, puisque leur volume de boîte crânienne de 1 600 cm³ est plus vaste que la nôtre dont la moyenne est de 1 550 seulement !
L’honnête homme en déduirait logiquement :
1. que nous n’avons pas d’ancêtre animal connu ;
2. que notre type actuel paraît descendre d’un homme ancien plus évolué.
Oui, c’est ce que devrait penser un honnête homme, mais pas un préhistorien !
Par ailleurs, comme le monde existe depuis des périodes de temps que nous ne pouvons même pas concevoir, on est amené à admettre que si les hommes fossiles n’existent pas sur terre, c’est qu’ils doivent exister ailleurs !
Hypothèse hérétique qui nous aurait valu le bûcher il y a quelques siècles !
Pourtant les plus ancienne traditions aryennes l’ont dit cent fois : les hommes blancs viennent d’une autre planète, ce qui en d’autres termes veut dire que les Celtes, les Hindous, les Scandinaves, les Hébreux, les Germains, les Grecs, les Egyptiens, les Arabes, sont des descendants d’extra-terrestres.
Sanchoniathon a écrit :  » Les dieux de nos ancêtres étaient des mortels, des hommes « , or, les plus anciens dieux sont l’Aryaman védique qui était un dieu marieur et l’Airyaman avestique dont le privilège était de guérir. (Pages 328-329 – Editions Robert Laffont)


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