Être victime
Avec l’acceptation de la responsabilité individuelle et planétaire, le cerveau/mental s’activera à un degré de plus en plus haut. Cette prise de conscience est rendue difficile parce que jusqu’à présent les contrôleurs de la planète profitent de la conscience de victime de la majorité des gens. Ces contrôleurs font tout pour que le système qu’ils ont soigneusement mis en place ne se renverse pas, et la conscience de victime maintient leur programmation en place. Cette attitude de victime est à son tour tenue en place par la fausse croyance des gens qu’ils peuvent être secourus par une source située à l’extérieur du soi et de l’humanité dans son ensemble, c’est-à-dire par un dieu créé de toute pièce par l’Eglise, une sorte de vieux patriarche à la barbe blanche, distant, sévère et intransigeant. Les fondations de la conscience de victime ont été soigneusement coulées dans le dogme religieux dès le départ.
La conscience de victime est encore alimentée par la peur de la mort, bien implantée dans nos mentalités. Les médecins ont pour mission de sauver des vies, quels que soient les moyens, sans considération des conséquences sur la vie du patient et même de son désir de mourir.
La mort n’est pas une tragédie puisque l’âme ne meurt jamais, et nous sommes notre âme et non notre corps. La mort peut être considérée comme un cadeau pour les personnes qui restent et peut être parfois une leçon pour l’humanité. De l’autre côté du voile, l’âme qui quitte son enveloppe est heureuse de retourner chez elle dans un monde d’amour et de lumière purs. Son voyage sur Terre est loin d’être un voyage de plaisance car elle se retrouve emprisonnée dans un corps très limité et n’est pas souvent entendue par le corps/mental qu’elle revêt.
Cela explique encore davantage pour quelles raisons les contrôleurs utilisent les médias pour nous offrir un flot constant de victimes en situation et la programmation religieuse hebdomadaire pour accentuer le besoin de réclamer une aide extérieure dans tous les domaines de la vie et pour nous rappeler qu’il nous faut soumettre notre vie à la plus grande « sagesse » extérieure. Tout cela est soigneusement coordonné pour garder la conscience de la victime fermement ancrée dans la conscience collective.
Pour se défaire de la conscience de victime, l’individu doit être disposé à modifier sa perception de la vie: plutôt que de rechercher à l’extérieur de lui-même ce qui cause les situations et circonstances qui meublent sa vie, il doit rechercher à l’intérieur de lui-même le pattern qui a provoqué ce que la Loi d’attraction a manifesté. Il trouvera les causes parmi ses attitudes, ses opinions et ses conversations internes. Le mental est constamment en train de bavarder. Il découvrira dans ces conversations internes les clés de bien des patterns de pensée et de comportement qui créent les situations et les circonstances dont il fait l’expérience.
L’objectif des participants au renversement du système actuel est de transformer la conscience collective pour que chacun prenne conscience de la responsabilité personnelle et planétaire qui lui appartient.
C’est seulement lorsque les gens abandonneront le syndrome du « pauvre de nous! » et qu’ils réaliseront que le pouvoir de transformer se trouve dans leur propre attitude et dans leurs choix, que les circonstances seront positivement reconstruites.