Les maux de l’estomac
L’estomac est l’organe clé de la digestion. C’est en lui que la nourriture est stockée et traitée par les acides gastriques pour alimenter l’organisme.
Dame Nature a prévu bien des remèdes lorsque nous souffrons de crampes d’estomac, de brûlures d’estomac, de gastrite, d’ulcère gastrique, … En voici quelques-uns ci-après.
La médecine chinoise aide à stimuler le corps, à équilibrer l’énergie et à promouvoir un fonctionnement plus effectif des organes internes. La deuxième partie de cet article se concentre sur les exercices à faire et les points d’acupression à masser pour soulager / soigner les maux de l’estomac : 2. Méthodes chinoises de soin ⇩
Ces remèdes et ces soins nous soulagent, nous soignent, mais la guérison ne peut se faire que si la maladie, qui ne frappe pas par hasard, est comprise.
A la suite des remèdes naturels et des méthodes chinoises de soin, vous trouverez quelques pistes qui aident à comprendre ce que le « mal a dit » dans 3. Le sens de la maladie ⇩
1. REMEDES NATURELS
Charbon végétal
Ses bienfaits les plus connus concernent les affections du système digestif. En effet, le charbon végétal est efficace contre les gaz, les intoxications alimentaires (crustacés, histamine, denrées mal conservées…), les gastro-entérites, les diarrhées, les vomissements et les empoisonnements (stupéfiants, médicaments, produits chimiques, détergents…).
https://www.mesbienfaits.com/charbon-vegetal-actif/
Elixir du suédois
Extrait du « Manuscrit Antique » du Dr Samst :
7. Qui souffre de crampes d’estomac en prendra une cuillerée à soupe pleine en cas de crise.
8. Qui souffre de coliques en absorbera lentement trois cuillerées à soupe l’une après l’autre, et il sentira bientôt un soulagement.
9. Elles apaisent les ballonnements et rafraîchissent le foie, font disparaître tous les maux d’estomac et des intestins et aident à combattre la constipation.
10. Elles sont également un excellent remède pour l’estomac qui digère mal et ne garde pas les aliments.
(« La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », Maria Treben)
Vinaigre de cidre
Aide à la digestion et l’assimilation (régénère la flore intestinale).
Chlorure de magnésium
Digestion : il active les enzymes digestifs.
Huile de pépin de pamplemousse
– Utilisé dans les maladies gastro-intestinales
– L’hélicobacter Pylori est responsable des gastrites et ulcères d’estomac. Une étude anglaise a montré que 20% des personnes de 20 ans, 40% des personnes de 40 ans et 60% des personnes de 60 ans sont touchées. L’utilisation de l’extrait de pépins de pamplemousse peut abaisser la concentration des hélicobacters à moins de 1 pour 1000.
(« Vérités Santé pratique n° 24 du 10 oct 1998)
Vitamine C
La vitamine C combattrait efficacement la bactérie que l’on croit responsable de la plupart des ulcères d’estomac.
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2003080400
Les jus verts
Réparent les terrains acides notamment dans les problèmes digestifs : gastrite et ulcères.
(« Vitalité et Graines germées », Ludmilla de Bardo)
Le jus de pomme de terre, l’ami de votre estomac
Si vous faites partie d’une des catégories suivantes : les gens stressés, ceux qui mangent trop vite, ceux qui mangent n’importe quoi à n’importe quelle heure, ceux qui arrosent copieusement leurs repas (ou même entre les repas), ceux qui fument, ceux qui ont des problèmes, alors vous devez savoir ce que signifie « avoir un poids sur l’estomac ». Si vous appartenez à ce type de personnes, il faut penser à ce qui viendra après « le poids sur l’estomac » : troubles de l’appétit, brûlures d’estomac, renvois, lourdeurs et crampes nerveuses, troubles de la digestion et même des ulcères à l’estomac. Un vieux remède de bonne femme a fait ses preuves depuis des siècles et apporte un soulagement à tous ces maux : le jus de pomme de terre. Dans le jus de pommes de terre cultivées biologiquement, on trouve une substance minérale semblable à l’atropine, exerçant une action calmante sur les divers troubles de l’estomac. Après la première guerre mondiale, on a relaté que grâce à la consommation de pommes de terre crues, de nombreux troubles d’estomac avaient disparu. Le Dr J.F. Magerl rapporte qu’après ingestion de jus cru de pommes de terre par des patients souffrant de troubles gastriques, 90% des patients constatent une amélioration après deux jours et une disparition totale des troubles entre le 5ème et le 10ème jour. Le Dr Magerl en conclut qu’on peut traiter avec succès les troubles de l’hyper-acidité gastrique sous toutes ses formes avec du jus cru de pommes de terre. Ce jus doit provenir de pommes de terre de culture biologique et être très fraîchement pressé. Il se boit avant chaque repas et ce, pendant 3 à 4 semaines, la 1ère semaine 5 cl et, ensuite, 10 cl avant chaque repas. On constate une amélioration après 48 heures ; brûlures, nausées, crampes nerveuses et renvois disparaissent. Après 45 jours, le taux d’acidité du suc gastrique est normalisé. Il existe dans le commerce du jus de pomme de terre provenant de culture biologique, ce qui évite le fastidieux travail de pressage.
(Extrait du Bioinfo n° 18 et de l’Agenda + n°155, Bruno Vonarburg)
Chou
Pour venir à bout des gastrites et des ulcères : jus de chou cru + jus de pomme de terre crue + un peu de jus de pomme (pour un meilleur goût), à raison d’un demi verre deux fois par jour. (Bioinfo)
Ail
Tonique et stimulant général, l’ail améliore les asthéniques, excite l’appétit, facilite la digestion.
L’action protectrice des composants de l’ail contre les cancers de l’estomac, du côlon et de la prostate apparaît comme formelle dans les études récentes. (Bioinfo)
Le lait de jument
Applications diverses dont : allergies, colite, estomac fragile, cholestérol …
Le bourgeon de figuier (gemmothérapie)
Le macérat de figuier s’utilise comme draineur de l’estomac. Remède puissant des ulcères duodénaux et gastriques, des hernies diaphragmatiques, des dysphagies oesophagiennes, des gastrites et colites.
Il agit efficacement dans les tendances boulimiques, régule l’appétit (en particulier ceux qui mangent pour compenser le stress ou les angoisses) ainsi que les sécrétions stomacales (hypo-hyperchlorhydrie). Il est efficace dans les migraines et la sensation de « tête lourdes ». Il est également efficace dans l’envie de sucre : une goutte de figuier dès que l’envie surgit (le macérat concentré de figuier possède une saveur douce agréable rappelant le sucre et peut s’y substituer progressivement). Il est actif dans l’hypoglycémie. (Bioinfo)
Banane
Comme la banane est un des rares fruits amylacées, alcalin et donc non acidifiant, elle peut neutraliser l’acide gastrique tout en stimulant la prolifération des cellules épithéliales de l’estomac ainsi que la production de mucus qui protège la muqueuse gastrique contre l’action corrosive de l’acide.
Peut soulager la dyspepsie non ulcéreuse, communément appelée l’indigestion. (Bioinfo)
Les simples
– Millepertuis : contre le brûlant et les ulcères d’estomac. Dans ce cas, on utilisera quelques gouttes d’huile rouge sur un petit morceau de sucre. Digestif, le millepertuis aide la digestion, diminue l’acidité gastrique et facilite le fonctionnement de la vésicule biliaire.
– Acore odorant : en tisane pour les troubles d’estomac. Permet d’équilibrer l’hypoacidité gastrique ou l’hyperacidité gastrique.
– Véronique officinale : en tisane facilite la digestion.
– Mauve : en tisane pour les gastrites, les ulcères gastriques.
– Grande consoude : en tisane pour les troubles de l’appareil digestif, les hémorragies stomacales, les ulcères d’estomac.
– Souci officinal : en tisane en cas de maladies de l’appareil digestif, en cas de crampes ou de tumeurs d’estomac et de colites (entre autres).
(« La Santé à la pharmacie du Bon Dieu », Maria Treben + Bioinfo)
La verveine odorante
Réputée pour ses propriétés digestives. En effet, le citral qu’elle renferme stimule les fonctions de l’estomac, calme les spasmes et a une action carminative utile en cas d’aérophagie. (Bioinfo)
La sève de bouleau
Remède pour l’estomac : 3 cuillerées à soupe de sève, à réchauffer sans bouillir, et les avaler à petites gorgées. (Bioinfo)
Aloé vera
Grâce aux vitamines présentes dans le gel d’aloe, on peut traiter des douleurs gastriques ou digestives. Ce nutriment favorise le bon fonctionnement digestif en général et possède les fonctions suivantes :
- Cicatriser les blessures provoquées par l’ulcère gastrique ou duodénal.
- Réduire l’inflammation dans le cas de gastrite ou de duodénite.
- Régénérer les muqueuses gastriques.
- Traiter les maladies infectieuses de l’estomac.
- Purger le corps en aidant à éliminer les toxines.
- Stimuler la digestion.
- Activer les fonctions du foie et de la vésicule biliaire.
- Intervenir dans l’assimilation des nutriments des aliments.
- Diminuer l’acidité de l’estomac.
Source : https://amelioretasante.com/bienfaits-de-laloe-vera-lestomac/
Huiles essentielles
– Carvi : propriétés stomachiques, apéritives, carminatives, digestives
– Muscade : digestif
– Coriandre : contre toutes dyspepsies (digestions lentes, difficiles, aérophagies, flatulences, spasmes)
– Cumin : propriétés toniques, digestives et antispasmodiques
– Menthe : propriétés digestives
Composition digestive : 45 ml carvi + 30 muscade + 20 coriandre + 5 cumin : quelques gouttes en friction après les repas.
(« L’aromathérapie », Nelly Grosjean)
L’argile verte
L’argile verte est une des nombreuses variétés d’argile. Son utilisation thérapeutique remonte à l’Antiquité. Elle agit favorablement dans le rééquilibrage de la fonction digestive. Grâce à sa teneur en silice, l’argile verte a une authentique fonction de « pansement naturel ».
http://www.francaise-bio-energetique.com
Le bicarbonate de soude ou bicarbonate de sodium
Antiacide : neutralise les acides. C’est pour cette propriété qu’il est utilisé en médecine pour les problèmes digestifs, l’Alka-Seltzer c’est du bicarbonate + de l’aspirine + de l’acide citrique.
Il suffit de dissoudre une cuillerée à café de bicarbonate de soude dans un verre d’eau et salut les ballonnements et autres remontées acides.
Extrait de « Le système complet d’autoguérison, Les Exercices interne Taoïstes » du Dr Stephen T. Chang
Extrait de « Supprimez vous-même vos douleurs par simple pression d’un doigt » du Dr Roger Dalet
En cas de vomissements :
Les vomissements sont parfois chose à respecter lorsqu’ils permettent l’évacuation de produits toxiques ou d’aliments avariés qui risquent, en passant la barrière gastrique, d’abîmer plus profondément l’organisme. Mais les vomissements, sans parler de leur désagrément, peuvent être, dans certains cas, un péril véritable pour la santé et même la vie de la personne atteinte par la perte de liquide et de sels minéraux qu’ils entraînent. Aussi, le plus souvent, il vaut mieux arrêter un symptôme dangereux susceptible d’aggraver la maladie ; et même si, loin de ces cas extrêmes, nous payons la dette d’un « bon gueuleton » ou de libations excessives, il est bon d’intervenir pour éviter le moment où l’estomac, enfin vidé, continue de se contracter pour ainsi dire « à sec », n »éliminant plus que quelques glaires acides, parfois sanguinolentes. Un point d’acupuncture est susceptible d’y remédier.
3. LE SENS DE LA MALADIE
Gardons toujours à l’esprit que la maladie n’est qu’un symptôme de notre nature intérieure qui nous demande une sérieuse réflexion sur notre mode de vie et une grande prise de conscience de qui nous sommes.
Les maux de l’estomac, selon le Dr Olivier Soulier
L’estomac représente notre première acceptation du monde. Ses pathologies renvoient à la toute petite enfance.
L’estomac représente physiquement et symboliquement la première acceptation du monde.
Physiquement, au niveau de la nourriture, dans sa qualité comme sa quantité.
Symboliquement, par la manière dont nous pouvons accepter et digérer les événements et les émotions.
L’estomac réagit aux aliments et aux émotions de la même manière.
Notre bouche, nos dents, notre goût et notre odorat nous permettent de désirer et de prendre notre nourriture.
L’estomac sert à accepter la nourriture mais aussi le monde extérieur que nous mettons en nous sous forme de nourriture.
Cette nourriture sera ensuite déstructurée, en quelque sorte « déconstruite » pour que nous puissions utiliser les éléments qui nous intéressent pour nous nourrir et renouveler notre structure.
Nous pouvons distinguer trois fonctions principales de l’estomac.
L’acidité – Le volume – L’acceptation.
L’acidité
Elle sert à déstructurer les aliments pour que nous ne soyons pas envahis par leur structure et leur mode de fonctionnement. Elle protège le moi intérieur contre tout risque d’influence venant de l’extérieur.
Augmenter l’acidité est un moyen de réagir quand nous nous sentons en danger à ce niveau. Cela peut être au niveau physique (aliments difficiles à digérer ou avariés), ou au niveau psychologique (sensation d’être agressé ou envahi par des événements de l’entourage, événements difficiles à digérer, influence trop forte du fonctionnement et de la structure des autres).
Cette augmentation de l’acidité qui a pour but de nous protéger, pourra aussi se traduire par des brûlures de l’estomac. Cela traduira le fait que, soit le danger est plus imaginaire que réel, soit que cette protection par l’acidité n’est pas efficace et nous crée plus d’effets secondaires que de bénéfices.
Je commencerai par avoir des brûlures.
Puis, cela se traduira par un ulcère d’estomac, en général des parois et de la grande courbure. « Je me sens agressé, je me protège, cela n’est pas efficace et en plus je me détruis moi-même ».
Quand cette première barrière d’acidité n’a pas été assez efficace et que « l’ennemi a pénétré et vous a envahi », la solution est de mettre de l’acidité dans tout le corps. C’est le terrain acide.
Je n’ai pas su refuser un extérieur qui m’a imposé une structure qui m’habite maintenant totalement. Je cherche à la détruire en moi, mais par la même occasion je me détruis.
La solution est de remettre clairement ses limites et de poser des choix tranchés. Mais ce n’est pas facile car beaucoup de choses sont à remettre en question. C’est depuis ma toute petite enfance que je n’ai pas été autorisé à mettre mes limites.
Le volume
L’estomac plein, c’est pour le petit bébé la sensation de sécurité et de plénitude. La tranquillité par le remplissage.
Nous en gardons tous la mémoire. Si j’ai toujours besoin de manger et de me remplir, je reste peut-être dans ce mode de sécurisation.
L’acceptation de la vie et des événements que je rencontre.
Je peux manifester ma difficulté, mon refus ou ma colère face aux événements, par des nausées ou des vomissements. Ma solution est de les remettre dehors.
Si j’ai du mal à les expulser, je vais faire une hernie hiatale.
Je peux aussi à ce stade manifester ma souffrance par un ulcère de la petite courbure.
Enfin, quand il est trop tard pour refuser, que j’ai trop tardé à manifester mon désaccord, les aliments ont déjà dépassé l’estomac, je ferai un ulcère du duodénum.
L’estomac est un organe très expressif chez le petit bébé. Dans toutes les maladies de l’estomac, il faudra rechercher l’origine de ma difficulté dans la toute petite enfance.
Dr Olivier Soulier (Bioinfo n° 42 de février 2004, p. 43)
Extrait de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi » de Michel Odoul
Les maux de l’estomac
Les maux de l’estomac nous parlent de notre difficulté ou des tensions que nous rencontrons dans notre maîtrise ou notre gestion du monde matériel. Contrariétés financières ou professionnelles, scolaires ou judiciaires choisiront de s’exprimer ainsi, si elles provoquent chez nous des soucis réels ou imaginaires. Du fait de son rôle de malaxage des aliments, l’estomac qui nous fait souffrir, peut aussi signifier que nous avons tendance à ruminer, à ressasser les choses et les événements d’une façon excessive. L’acidité gastrique peut alors nous dire d’arrêter cette rumination.
Je citerai ici comme exemple les multiples cas d’ulcères à l’estomac qui sont souvent le fait de contrariétés professionnelles et ont été pendant longtemps la « maladie préférée » des hommes d’affaires. Les chiffres ont bien diminué de nos jours car on sait maintenant comment faire taire l’estomac. Les nombreux étudiants qui ont ressenti des crampes ou des aigreurs à l’estomac avant leurs examens, savent combien elles sont le signe de leur inquiétude.
Aigreurs, acidité gastrique, ulcères ou cancer sont autant de manifestations, dont l’intensité est progressive et qui expriment cette difficulté à digérer ce que nous vivons, les chocs de la vie ou les situations qui ne nous satisfont pas. Les vomissements sont alors le signe supplémentaire du rejet pur et simple, du refus. (Pages 186 et 187)
Les cellules cancéreuses de survie (par Jean-Jacques Crèvecoeur)
Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.
À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac,ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale. Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules. Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.
http://www.retrouversonnord.be/langageguerison.htm
En énergétique, l’estomac est la zone de mise au point sur ce qui a été accompli. Un travail sur les points d’énergie du méridien de l’estomac activera le triage des informations dans le corps par exemple ou permettra de minimiser le stress pour ceux qui ne supportent pas le bruit, entre autres actions. (Source : « Manuel d’Energétique » d’Arnaud Bertrand)
Extrait de « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies », de Jacques Martel (Les Editions ATMA Internationales)
Je connais le travail effectué par mon estomac et je sais qu’il représente ma façon de digérer, d’absorber et d’intégrer les événements et les situations de ma vie. Les tiraillements dans l’estomac sont souvent reliés à un besoin d’amour, de « nourriture émotionnelle » et d’aliments. La nourriture représente l’affection, la sécurité, la récompense et la survie. Si je vis un vide quelconque dans ma vie, je voudrai le combler avec de la nourriture, particulièrement dans les moments de séparation, de mort, de perte ou de pénurie d’argent. La nourriture peut aussi m’aider artificiellement à me « libérer » des tensions matérielles ou financières. ]’éprouve comme un manque indispensable à ma survie. La fermentation, pour sa part, provient du fait que je ne veux pas faire face à certaines émotions que je vis par rapport à des personnes ou à des situations. Je mets ces émotions de côté, mais celles-ci sont toujours présentes, s’accumulent, « fermentent » sous l’effet de mon attitude « acide »· Je ressasse sans cesse certaines situations que j’ai vécues et que « je ne digère pas ». J’ai donc tendance à « ruminer » des situations passées et à vivre les mêmes attitudes et les mêmes émotions négatives. Celles-ci me restent donc sur l’estomac. Il est très difficile pour mon estomac de digérer des émotions non vécues. Comme ma réalité est en conflit avec mes rêves et mes besoins, cela m’amène à vivre diverses émotions. Je n’exprime pas mes contrariétés, je suis irrité. La colère et l’agressivité grondent en moi, mais je les refoule. Et vlan ! Voilà l’ulcère et les brûlements d’estomac. j’ai de grandes peurs, ma digestion devient laborieuse parce que mon estomac est nerveux et fragile. Quelle est la situation de ma vie « que je ne digère pas ? ». Je vis beaucoup d’inquiétude, due notamment à ma faible confiance en moi, qui rend difficile l’acceptation de mes émotions. Les maux d’estomac vont survenir lorsque je vis une contrariété dans le domaine de mes finances personnelles ou de ma vie professionnelle. Certaines situations sont tellement répugnantes et dégoûtantes que mon estomac refuse de les digérer. Je réagis face à ma réalité d’une façon négative et « acide » et je souffre d’indigestions et de nausées. La digestion est très lente si l’estomac est tendu et rigide, évitant que des changements prennent place dans ma vie. Je prends conscience que je dois montrer plus d’ouverture dans la vie et j’accepte que les situations et les événements sont là pour me faire grandir. L’acceptation fait en sorte de les transformer en expériences et la pression ou la tension disparaît. (Page 158)
Si j’ai le cancer de l’estomac, je dois prendre conscience du « morceau » ou de la situation que je ne suis pas capable de digérer. Cette situation « qui ne passe pas » , je la vis d’une façon très intense et très forte. « C’est abominable ce que l’on m’a fait, ce que j’ai dû subir. En plus, je n’ai rien vu venir ! ». Cela peut exprimer ce que je vis. Il est important que je prenne conscience du pourquoi de cette situation et quelle leçon j’ai à en tirer afin « de faire passer la tempête » et que le cancer se résorbe. Je ne peux qu’être gagnant si je laisse aller ma colère et ma rancune et que je les remplace par l’acceptation et le pardon. (Page 84)
Lecture des récits d’Edgar Cayce sous hypnose
« La guérison est donc toujours possible – si nous la voulons de toutes nos forces.
Car l’origine de toutes les maladies est « dans la tête ».
Personne ne peut haïr son voisin sans avoir une maladie d’estomac ou de foie ! (Lecture 4021-1)
Personne ne peut être jaloux et se laisser aller à la colère sans avoir des troubles digestifs ou des problèmes cardiaques. (Lecture 4021) »