Enquêtes santé

Les maux du foie et de la vésicule biliaire

Le foie, le grand épurateur, est une usine chimique qui travaille sans répit pour garantir à nos cellules une nourriture assimilable et barrer la route aux agents toxiques.

J’ai répertorié ici une série de remèdes naturels que Mère Nature met généreusement à notre disposition pour nous aider à nous soigner lorsque nous souffrons de maux tels : insuffisance ou troubles hépatiques, calculs biliaires, ictère, cirrhose, lithiase biliaire, … -> 1. Remèdes naturels.

La médecine chinoise aide à stimuler le corps, à équilibrer l’énergie et à promouvoir un fonctionnement plus effectif des organes internes. La deuxième partie de cet article se concentre sur les exercices à faire et les points d’acupression à masser pour soulager / soigner les maux du foie : 2. Méthodes chinoises de soin ⇩

Ces remèdes et ces soins nous soulagent, nous soignent, mais la guérison ne peut se faire que si la maladie, qui ne frappe pas par hasard, est comprise.
A la suite des remèdes naturels et des méthodes chinoises de soin, vous trouverez quelques pistes qui aident à comprendre ce que le « mal a dit » dans 3. Le sens de la maladie ⇩.

1. REMEDES NATURELS

Elixir du Suédois
Extrait du Manuscrit Antique du Dr Samst
7. Qui souffre de crampes d’estomac en prendra une cuillerée à soupe pleine en cas de crise.
8. Qui souffre de coliques en absorbera lentement trois cuillerées à soupe l’une après l’autre, et il sentira bientôt un soulagement.
9. Elles apaisent les ballonnements et rafraîchissent le foie, font disparaître tous les maux d’estomac et des intestins et aident à combattre la constipation.
10. Elles sont également un excellent remède pour l’estomac qui digère mal et ne garde pas les aliments.
11. Elles aident également contre les douleurs de la vésicule biliaire. Si on en prend tous les jours une cuillerée à soupe le matin et le soir, et si l’on fait des compresses imbibées de ces gouttes pendant la nuit, toutes les douleurs disparaîtront bientôt.

Achillée Millefeuille
En cas de gastrorragie et d’hémorroïdes saignant beaucoup, ainsi qu’en cas de lourdeur d’estomac et d’aigreurs d’estomac, la tisane agit très rapidement. En cas de refroidissements, de douleurs dans le dos et rhumatismales, l’on devrait boire autant de tisane d’achillée que possible. Cette dernière permet une activité régulière des reins, combat le manque d’appétit, les ballonnements et les crampes d’estomac, les troubles du foie, les inflammations des voies digestives et intestinales, augmente l’activité des glandes intestinales et permet de ce fait d’avoir des selles régulières.

Souci (ou Calendula)
Comme le souci permet également d’obtenir de bons succès en cas de jaunisse infectieuse, c’est aussi un excellent remède contre les maladies du foie. Les fleurs, les feuilles et les tiges sont ébouillantées, on boit la tisane non sucrée. Pour les maladies mentionnées ci-dessus, on peut en boire trois à quatre tasses par jour, à raison d’environ une cuillère à soupe tous des quarts d’heure.

Chlorure de magnésium
Insuffisance hépatique: il active les enzymes pour la régénération des sucres.

Le jus de radis noir
C’est « l’ami du foie » par excellence. Il exerce une action préventive au niveau des voies biliaires ou alors des stases biliaires avec formation de calculs. On a pu constater visuellement aux rayons X que l’arrivée de jus de radis noir à la jonction du canal biliaire et du duodénum provoque une contraction de la vésicule surchargée et une nette augmentation du flux biliaire. Le jus de radis noir diminue également les douleurs en cas d’hépatite et stimule l’ensemble des glandes digestives.

Les racines de pissenlit
Elles agissent (entre autres!) sur le foie et la vésicule biliaire. Cholagogue (facilite l’évacuation de la bile en provoquant des contractions de la vésicule), le pissenlit est aussi cholérétique (stimule la sécrétion de la bile). Il empêche la formation de calculs et facilite leur dissolution s’ils sont déjà constitués.
La racine de pissenlit peut être torréfiée (au four) pour être utilisée en décoction (« café » de pissenlit bien connu par les gens ayant vécu les restrictions durant l’occupation).

La chélidoine
La chélidoine est un remède sûr contre les troubles hépatiques graves, lorsqu’elle est utilisée sous forme homéopathique. Elle agit également de façon positive sur le métabolisme en cas de maladies de la vésicule biliaire, des reins et du foie. Mise à macérer dans du vin (30 g de chélidoine avec racines sont placées dans un demi-litre de vin blanc pendant une à deux heures), elle élimine rapidement la jaunisse.

Le citron
Le jus de citron stimule aussi la détoxication du foie, et améliore l’appétit. Il tonifie le foie et le pancréas. C’est aussi assez étrangement l’un des meilleurs calmants des brûlures d’estomac. (Lorsque les brûlures apparaissent, boire lentement un verre d’eau un peu tiède, additionnée d’une cuillère à café de jus de citron).

Le sélénium
Fait partie d’une enzyme extrêmement importante pour l’organisme, la glutathione peroxydase, qui protège toutes les cellules et en particulier les globules rouges.
Son action se marque tout d’abord sur le foie : il améliore le fonctionnement du « filtre hépatique » et aide l’organisme à se débarrasser de l’alcool, de nombreux médicaments et du tabac. Son action détoxiquante sur le foie permet d’en attendre une amélioration de certains troubles de la vision (cataracte, glaucome), ainsi que de certains troubles cutanés liés à un métabolisme hépatique déficient (eczéma, psoriasis, etc.).

La carotte
Un aliment miracle ! Parmi les nombreux aliments-remèdes, l’un des plus précieux est sans doute la carotte. Celle-ci se rapproche beaucoup de l’aliment idéal, car elle a dans sa composition pratiquement tous les éléments vitaux qui nous sont nécessaires : substances minérales, protides, lipides, glucides, vitamines A, B1, B2, C, PP, K. La carotte se comporte comme un vrai remède en présence, par exemple, d’une maladie du foie. Il est important d’en faire une consommation régulière : crue, râpée ou en jus (bio). Ne pas la peler, mais la brosser, car c’est sa périphérie qui contient le plus de richesses nutritionnelles !

L’artichaut
L’artichaut a un effet bénéfique sur la vésicule biliaire malade, sur la sécrétion de bile par le foie et évite la formation de calculs biliaires. C’est aussi un hépatoprotecteur et régénérateur de la cellule hépatique utilisé dans les ictères (jaunisse) et leurs suites, ainsi que chez les cirrhotiques pour stimuler le renouvellement du foie. La feuille d’artichaut est aussi hypocholesterolèmiante car elle abaisse le taux de cholestérol dans le sang et évite le dépôt excessif de particules de graisse dans les tissus hépatiques et le sang, prévenant ainsi l’artériosclérose.

Le chardon-marie
Les Européens considèrent généralement que la silymarine que renferme le chardon-Marie est l’une des substances hépatoprotectrices les plus puissantes. Même en médecine classique, on s’en sert pour la prévention et le traitement de divers troubles liés au foie : hépatite, cirrhose, calculs biliaires, ictère (jaunisse) et dommages hépatotoxiques.

Le desmodium
Des propriétés hépatoprotectrices
Le Desmodium est utilisé en France par certains médecins dans le traitement des hépatites virales. Lorsque le Desmodium est administré avant le troisième jour de l’ictère, le retour à la normale de la couleur des téguments et des urines se fait au bout de 5 jours de traitement.

Huiles essentielles
notamment :
– menthe : mauvaises digestions, affections hépatiques (1 goutte sur la main, à laper, sur une cuillère de miel ou dans un verre d’eau chaude ou froide, après les repas comme digestif).
– romarin : faiblesse hépatique, ictère, cirrhose, lithiase biliaire (1 à 2 gouttes de romarin sur la main, à laper, sur une cuillère de miel ou dans un verre d’eau chaude, deux à trois fois par jour).

Aloé vera, un aliment détox pour le foie
L’aloe vera aide à stimuler les fonctions hépatiques, c’est-à-dire les trois principales actions que réalise le foie à savoir la digestion, la détoxination et le stockage d’énergie.

Le curcuma
De son côté le Dr Laurent Hervieux, homéopathe et phytothérapeute, préconise de l’extrait de curcuma, du sélénium et la suppression des produits laitiers : « Le curcuma est un antiviral, un anticancéreux et un hépatoprotecteur. Dans le cas d’une hépatite C, je le propose en granulés, plutôt qu’en teinture-mère, celle-ci, plus efficace, contient malheureusement de l’alcool, nocif pour le foie. Pour certains patients, j’ajoute du sélénium sous forme de granions® qui est à la fois un antioxydant, un anti-vieillissement et a une action préventive en matière de cancer. L’avantage de ces produits, c’est qu’ils sont sans effet secondaire.

Perturbation de la fonction hépatique
– les plats graisseux
– les plats condimentés
– les sucres raffinés
– les épices
– le vinaigre
– l’alcool
– les protéines animales le soir -> encrassent l’organisme et empêchent le foie d’assurer sa fonction d’élimination qui se fait la nuit ;
– et surtout les produits laitiers :

La consommation de produits laitier ralentit considérablement la chasse biliaire (évacuation de la bile). Or c’est par ce mécanisme que le foie élimine la grande majorité des toxiques de l’organisme en les évacuant avec les sels biliaires dans l’intestin grêle. Les produits laitiers permettent ainsi, en affaiblissant la capacité émonctorielle du foie, de favoriser la rétention des déchets dans l’organisme, condition inéluctable à l’installation de la plupart des pathologies. La suppression des produits laitiers relance donc l’élimination globale de tous les toxiques du corps (Dr Jacques Fradin).

Recette pour purifier et ressourcer le foie et la vésicule biliaire
Mélanger
3 c à soupe d’huile d’olive
3 c à soupe de jus de citron
15 gouttes d’huile essentielle de romarin
Prendre une cuillère à soupe de ce mélange le matin à jeun et avant le repas du soir, pendant 3 jours.

Bouillote d’eau chaude
D’après le Dr. Alexandre Salmanov, le père de la science des capillaires, une bouillotte d’eau chaude sur le foie vingt minutes après chaque repas principal, tous les jours, est souverain… C’est un accélérateur de traitement très efficace. Attention de ne pas la mettre trop bas sur la région de l’appendice, si vous n’avez pas été opérés de l’appendicite.
La chaleur fait dilater tous les vaisseaux sanguins du foie et ils sont nombreux, le foie étant un organe fort irrigué, ce qui permet à la circulation sanguine de s’accélérer et facilite l’élimination des toxines, entre autres choses, le foie ayant de multiples fonctions.

Dans son livre « Secrets et Sagesse du corps », il écrit que lorsqu’un foie est embourbé ou sur-intoxiqué, il grossit ; de ce fait il comprime le diaphragme, qui gêne alors la respiration et entrave le bon fonctionnement du cœur. Vous voyez bien l’enchainement : foie >> diaphragme >> cœur. Si vous soignez seulement le cœur, les résultats ne seront pas forcément au rendez-vous. Aussi, il prône une heure de bouillotte sur le foie au moins une fois par jour pour augmenter le sang circulant.

Références :
– « La Santé à la Pharmacie au Bon Dieu », Maria Treben
– « Bioinfo », mensuel belge gratuit
– « L’aromathérapie », Nelly Grosjean
https://www.detoxification.fr/aloe-vera-detox/
http://www.passeportsante.net/fr/solutions/plantessupplements/fiche.aspx?doc=chardon_marie_ps
https://micheldogna.fr/remede-hepato-biliaire-et-de-tout-le-tube-digestif/



2. METHODES CHINOISES DE SOIN

Extrait de « Le système complet d’autoguérison – Les Exercices internes Taoïstes » du Dr Stephen T. Chang




Extrait de « Supprimez vous-même vos douleurs par simple pression d’un doigt » du Dr Roger Dalet

En cas de crises de foie :




3. LE SENS DE LA MALADIE

Gardons toujours à l’esprit que la maladie n’est qu’un symptôme de notre nature intérieure qui nous demande une sérieuse réflexion sur notre mode de vie et une grande prise de conscience de qui nous sommes.

Comprendre la maladie fait partie du processus de guérison.
Voici des exemples de décodage des messages du corps et des cris de l’âme pour aider à mieux comprendre ce que le mal veut nous dire lorsque le foie ou la vésicule biliaire est atteint.

Extrait d’une intervention dans le forum de « lesensdenosvies » (qui malheureusement n’existe plus) par Patricia :
Le foie, l’organe le plus chaud du corps humain, est relié au troisième centre énergétique: le plexus solaire.
Le plexus solaire est relié au corps mental, à l’élément feu, la vision, la couleur jaune…
L’équilibre de ce centre entretient la foi en soi.
La rationalisation le déséquilibre. Ce processus consiste à nier la conscience d’un acte afin de rester fidèle à l’image que l’on a choisi d’avoir de soi ou de donner au monde extérieur. La rationalisation entraîne un manque de respect de soi et s’exprime par la colère de l’être intérieur. Cette colère, non extériorisée, peut s’exprimer par diverses maladies du foie.
La foi en soi est une confiance profonde en nos pensées et nos actes. C’est faire confiance en son être intérieur et savoir que tout ce que nous faisons, même sans l’avoir voulu consciemment correspond à un plan intérieur orienté vers notre équilibre.

Extrait de « Le symbolisme du corps humain » par Annick de Souzenelle
La plupart de nos maladies du foie et de la vésicule biliaire proviennent certainement d’un refus d’y voir clair, refus de discernement, de rectitude profonde… Ce refus ne peut qu’entraîner un blocage aux prises de décisions justes. Il alourdit les situations.

Extrait de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi » de Michel Odoul
Les maux de foie :
Les problèmes hépatiques sont aussi bien entendu le signe qu’il nous est difficile de « digérer » quelque chose dans notre vie, mais avec une nuance plus fine que l’estomac. L’émotion principale qui est associée au foie est la colère. Les tensions ou souffrances de cet organe peuvent vouloir dire que notre mode, habituel et excessif, de réaction face aux sollicitations de la vie est la colère. Chaque fois que nous « réglons » nos problèmes avec le monde extérieur en hurlant, en entrant dans de grandes colères, nous mobilisons toute l’énergie du foie dans cette direction, le privant ainsi à chaque fois d’une grande partie de l’énergie nécessaire à son fonctionnement. L’organe va alors se manifester en ne jouant plus correctement son rôle dans la phase digestive. Cependant à l’inverse, des colères trop souvent rentrées ou systématiquement gardées à l’intérieur vont densifier l’énergie dans le foie et risquer de se traduire par des pathologies plus importantes (cirrhoses, kystes, cancer).
Les maux du foie peuvent nous parler aussi de notre difficulté à vivre ou à accepter nos sentiments, nos affects ou ceux que les autres nous renvoient. Notre image, de nous-mêmes ou que les autres nous donnent, dépend en grande partie du foie. Le perçu de celle-ci participe à notre joie de vivre, ce que nous retrouvons à travers le rôle de filtration et de « nourriture » du sang que joue le foie. Les tensions du foie peuvent donc signifier aussi que notre image est remise en cause par notre vécu et que notre joie de vivre a laissé la place à de l’aigreur et de l’acidité intérieure vis-à-vis de ce monde extérieur qui ne nous reconnaît pas comme nous le souhaiterions. Nous sommes ici en plein dans la culpabilité.
Le foie participe profondément au système immunitaire et en particulier à l’immunité élaborée, c’est-à-dire enrichie des expériences faites par l’organisme. Or le sentiment de culpabilité nous «oblige» à nous justifier, à nous défendre ; il mobilise nos énergies de défense psychologique et de nombreuses colères sont le signe et l’expression d’une peur qui ne trouve pas d’autre moyen de défense. Si cette stratégie est fréquente, elle fragilise l’énergie du foie puis de la vésicule, qui souffrent. Le foie est un organe Yin et il représente des ressentis qui concernent l’être profond. Pour la vésicule biliaire, qui est Yang, il s’agit plutôt de l’être social.
(pages 191-192 – Edition Chemins de l’Harmonie)

Extrait de « La Clef de l’auto-libération » de Christiane Beerland
Le foie représente la Force d’un être humain qui se rend Maître de son « contenu » inconscient, de ses émotions, en se fiant aux processus de transformation. Tu construis activement une existence paisible.
Il représente la Foi et la Confiance en notre Moi profond, la digestion critique d’expériences. Cette certitude, cette Foi en le Moi vivant, chasse toutes les angoisses, toute agressivité destructrice.
Le foie reçoit et épure le sang ; il a une fonction désintoxiquante.
Dans le processus métabolique, les substances alimentaires sont transformées ici en éléments utiles au corps. Assimilation, digestion et catabolisme (démolition), épuration et élimination.
Par conséquent le foie représente le processus continuel de transformation psychique : la digestion et la transformation de nouvelles expériences et émotions en Progrès, en Développement, en Evolution spirituelle, sur la base du contenu inconscient déjà présent.
Le sang, qui symbolise la chaleur joyeuse, divine et lumineuse, change continuellement sous l’influence de notre psyché. Le foie nous indique dans quelle mesure, sous l’autorité de notre Moi profond, nous digérons et épurons avec souplesse nos émotions primitives, mais aussi les sentiments qui pèsent sur nous, et dans quelle mesure nous les manions et les utilisons comme de nouveaux éléments pour remettre la maison de notre Moi en harmonie et dans la lumière de la joie.
Le foie symbolise le fait de considérer nos expériences, de les mettre en lumière, sur la base des convictions inconscientes qui nous habitent ; ce sera suivant ces convictions que les impressions reçues seront oui ou non assimilées de façon détendue. L’intelligence de ce processus mènera à la compréhension et nous aidera à lâcher prise, à abandonner les vieilles choses…
Il symbolise le fait de te donner la possibilité d’évoluer vers la joie, la paix et la gaieté.
A ces fins, il est nécessaire d’être ouvert(e) psychiquement, d’avoir confiance en ton Moi vivant et de « lâcher prise » (p.ex. abandonner le passé, te défaire d’émotions négatives, ne pas t’accrocher aux autres, ne pas tâcher d’avoir du pouvoir sur eux, te dessaisir de certaines choses, ne pas brusquer les choses, etc.). Le foie représente aussi le travail joyeux dans la vie ; tu « brûles » d’édifier avec désintéressement quelque chose de beau, pour toi et pour les autres ; tu remplis tes tâches avec plaisir, conscient(e) de ta valeur et de tes possibilités ; tu veilles à ce que tout se déroule bien et avec aisance, d’une façon belle et lisse, avec amour. Tu exploites tes énergies en produisant de belles choses ; tu te dessaisis tranquillement de certaines choses lorsqu’il vaut mieux qu’elles n’entrent plus en ligne de compte dans ta vie, parce qu’elles freinent ton développement !
Production d’énergie puissante et dynamique : ne freine pas le courant de tes énergies !

Affection du foie, en général
Tu réprimes tes forces, tes émotions, tes énergies fertiles.
Angoisses profondes, irritation à cause de ton sentiment d’impuissance, de stagnation. Pensées noires. Peut-être fuis-tu dans des atmosphères artificielles, trop « spirituelles ». Tu ne te fies pas à ta propre source divine et lumineuse, et en conséquence tu « retiens » certaines personnes et certaines situations. Ainsi tu te coupes de ton Moi profond, dans un état de découragement et d’angoisse devant la vie. Ces angoisses sont un signal de ton Moi vivant pour t’avertir que tu es dans la mauvaise voie : détourne-toi de la mort et nais à la vie.
Tu retiens des émotions. Colère, haine, rancœur. Tu ne digères pas le passé, de telle sorte que tu es en train de t’empoisonner toi-même. Tu t’étouffes dans tes propres déchets.
Apparemment tu ne parviens pas à avoir prise sur des sentiments, des pensées ou des actions compulsifs : tu veux t’en libérer, mais c’est impossible tant que tu n’as pas confiance en toi, ni en ta nature, tant que tu ne te rends pas maître(sse) de ton contenu inconscient, avec assurance.
Agressivité contenue ; tu considères les autres d’un œil fâché et menaçant ; de cette façon tu tâches de te défaire de ton sentiment d’emprisonnement. Peut-être que ton « Contenu » (émotions, énergies, possibilités créatrices,…), échauffé pendant trop longtemps, éclate de temps en temps dans des explosions de fureur. Ou bien tu continues à tout refouler et à tout accumuler.

Nouveau schéma de pensées et d’actions
Adoucissement, confiance. Passe à l’action, parviens à la créativité, à l’épanouissement dynamique de ta personne, au lieu de refouler toutes tes énergies et tes émotions. La critique à l’égard des autres ne fait que t’empêcher d’évoluer vraiment. Transforme ta vie, pour qu’elle soit belle et paisible ; jouis des choses naturelles, du soleil, de la vie. Considère tout d’une manière plus lumineuse, plus claire, à partir de ton Moi profond ; construis activement une vie nouvelle avec des énergies gaies et optimistes. Lâche prise, laisse aller choses et personnes. Tous les événements dans ta vie, c’est toi qui les as suscités inconsciemment ; permets l’évolution et avance ! Tu peux autoriser un nouveau tournant dans ta vie, mais ce n’est pas possible si d’abord tu n’abandonnes pas les vieilles choses et les sentiments dans lesquels tu te coinces. Oriente-toi vers tes profondeurs, non pas vers l’extérieur, et considère tes angoisses et ta colère : quelles sont les convictions destructrices qui en sont à la base ? Tu n’es pas impuissant(e), tu n’es pas « sous l’emprise de… » : rends-toi maître(sse) de toi, développe-toi avec douceur, avec amour pour toi-même, dans la paix. (Pages 255-257)

Extrait de « Le cancer apprivoisé », de Léon Renard
Le cancer du foie
Les contrariétés territoriales et les querelles d’argent provoquent le cancer du foie et des voies biliaires chez l’homme droitier et chez la femme âgée droitière. Les conflits féminins d’abandon et de solitude morale, parce que le territoire n’est pas commandé, provoquent les mêmes cancers chez la femme gauchère et l’homme âgé gaucher. (Page 207)

Extrait de http://www.medecines-douces.com/ :
Le cancer du foie et de la vésicule est engendré par une vive rancœur, un ressentiment tenace à l’égard d’un proche, à la suite d’une injustice et entretenu par la jalousie et l’envie ; il correspond aussi à des problèmes d’argent et de jalousie professionnelle, son foyer se trouve dans le pont inférieur (côté droit) du cerveau. La seconde idée clé, est que si on découvre la source du conflit et si on résout celui-ci, la guérison survient. « La solution est aussi simple que cohérente, affirme R. G. Hamer. On aide l’organisme à se débarrasser du conflit. Et voilà que le cerveau branche à nouveau l’organisme sur la vagotonie (ou phase de guérison) et commence par se rétablir comme il le faut… La solution la plus simple n’est venue à l’idée de personne : que l’âme puisse provoquer la genèse du cancer et soit tout aussi capable de l’arrêter de nouveau.

Extrait de « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies », de Jacques Martel (Les Editions ATMA Internationales)
Les maux de foie proviennent de ma propre attitude. Mes frustrations accumulées, mes haines, ma jalousie, mon agressivité contenue sont autant de facteurs déclencheurs de problèmes du foie. Ces sentiments camouflent une ou des peurs qui ne peuvent pas être exprimées autrement. j’ai tendance à critiquer et à juger les autres très facilement. Je me plains constamment. Je résiste à quelqu’un ou à quelque chose. Je vis beaucoup de mécontentement. j’accepte difficilement les autres tels qu’ils sont. La joie de vivre est souvent inexistante car j’envie les autres, ce qui me perturbe et me rend triste. Jusqu’à quel point cependant suis-je prêt à faire des efforts, tant sur le plan matériel que dans mon cheminement spirituel ? Je n’ai pas encore compris que ce que je reproche à l’autre n’est que le reflet de moi-même. Il n’est que mon miroir. Je me plains tout le temps et je demande aux autres de changer. Où est ma bonne volonté ? Quel est l’effort de ma part ? Je manque aussi de joie de vivre, de simplicité. Je pourrai développer un cancer du foie si toutes les émotions qui me sont néfastes me « grugent » depuis un bon moment. Il arrive souvent qu’il résulte d’un conflit par rapport à la famille ou à l’argent, spécialement quand j’ai peur de manquer de quelque chose. Il est temps que je prenne conscience que je dois m’accepter tel que je suis et apprendre à m’aimer davantage. Être capable d’amour et de compréhension envers moi ouvre la voie à ma compréhension et à l’amour des autres. Je retrouve la joie de vivre. (Page 166)

Le calcul biliaire est généralement un ou des dépôts de cholestérol ou de chaux. Dans le langage populaire, on dit parfois « avoir des pierres au foie ». Il vient de la bile. Ce liquide sécrété par le foie sert à la digestion des aliments. La bile passe par la vésicule biliaire et le calcul formé se retrouve dans cette même vésicule (un seul gros ou plusieurs petits). La bile est légèrement amère et visqueuse et manifeste l’amertume intérieure, la peine, l’agressivité, l’insensibilité, le ressentiment, la frustration ou le mécontentement que j’ai et que je sens envers moi-même ou envers une ou plusieurs personnes. Les calculs représentent une douleur plus profonde que les simples symptômes au niveau de la rate, du foie ou de la vésicule biliaire. C’est de l’énergie cristallisée, des sentiments et des pensées très dures, de l’amertume, de l’envie et même de la jalousie solidifiées sous forme de cailloux et qui ont été entretenues et accumulées au fil des années. Les calculs peuvent être « cachés » depuis longtemps, mais une émotion soudaine et violente peut les faire surgir « consciemment » avec des douleurs intenses. Souvent, je suis décidé à aller de l’avant, à foncer, à ouvrir des portes mais quelque chose m’arrête, me limite ou m’étouffe et mes actions sont souvent exécutées par peur. Je deviens alors frustré de la vie, je manifeste des attitudes « amères » et irritantes vis-à-vis des gens, je n’arrive pas à me décider car je manque de courage et mes forces intérieures sont mal canalisées. Je n’ai pas la maîtrise de moi-même. C’est la raison pour laquelle j’ai des calculs biliaires. Qu’est-ce qui influence ma vie ? Suis-je trop orgueilleux ? Même si les calculs sont l’expression d’une vie endurcie, je dois accepter de me libérer du passé et avoir une attitude et des pensées plus douces, une ouverture différente à la vie en laissant aller le passé, les sentiments lointains et les vieilles émotions amères, me permettant ainsi de manifester l’amour véritable. Le processus d’acceptation au niveau du cœur m’aidera à voir plus clair dans ma vie et à mieux découvrir le chemin qui améliorera ma situation. (Page 79)

Laissez un message

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *