Spiritualité - Textes choisis

Un peu de bon sens dans nos assiettes

  1. Au nom de l’amour, le plus sournois des génocides infantiles : le non-stop alimentaire, Robert Masson
  2. Equilibre alimentaire: comment sortir du labyrinthe, Daniel Gramme
  3. Que l’aliment soit ton médicament, Edgar Cayce
  4. Le mensonge de l’allégé, Robert Masson
  5. L’alimentation « bio », pourquoi ?, Daniel Gramme
  6. Les fours à micro-ondes: un peu de prudence s’impose, Robert Masson
  7. Les aliments à haute fréquence élèvent le taux vibratoire du corps, Jan Tober et Lee Carroll
  8. Le végétarisme pour libérer le monde de la faim et de la dépendance économique, Frank Hatem

1. Au nom de l’amour, le plus sournois des génocides infantiles : le non-stop alimentaire

Extrait de « Mythes et mensonges des régimes classiques et des diététiques naturelles » de Robert Masson (naturothérapeute français) :

Le titre de ce chapitre est véritablement provocateur, car il tient à soulever quelque chose de terrible, quelque chose qui, sous une apparence innocente, détruit la santé et fragilise pour la vie des dizaines de millions d’enfants, sinon des centaines de par le monde.
C’est la gravité même d’une telle constatation et non pas le désir de faire du sensationnel qui permet à l’auteur de lancer un terrifiant cri d’avertissement.
Voici pourquoi : l’enfant et l’adulte ont des besoin d’entretien cellulaire mais l’enfant a, de plus, des besoins nutritionnels de croissance. Les diététiciens ont donc estimé que l’enfant devait avoir dans la matinée et dans l’après-midi des « entre-repas », c’est-à-dire des goûters.
Cette constatation est parfaitement juste et la prise de goûters entre les repas en conclusion de la constatation des besoins nutritionnels supérieurs de l’enfant le serait aussi si l’enfant, aux repas du matin, de midi et du soir, mangeait proportionnellement à son poids, c’est-à-dire si, par exemple un enfant de 15 kilos mangeait le quart de ce que mange un adulte de 60 kilos ou le cinquième de ce que mange un adulte de 75 kilos.
En réalité, ce qu’il faut savoir, c’est qu’un enfant ne mange pas proportionnellement à son poids mais qu’il mange proportionnellement à ses besoins nutritionnels, témoin de la prédominance physiologique de son abdomen. Ainsi, un enfant de 20 kilos mange aux repas du midi et du soir en quantité 30 à 50% de ce que mange un individu de 70 kilos – nous parlons bien sûr d’un enfant qui ne mange pas entre les repas.
Effectivement, si un enfant mangeait proportionnellement à son poids, les diététiciens classique et les pédiatres auraient parfaitement raison de conseiller des entre-repas étant donné que les besoins nutritionnels de l’enfant sont supérieurs à ceux de l’adulte.
Ainsi donc il apparaît que les entre-repas pris par l’enfant ne sont plus, contrairement à ce que l’on pouvait croire, indispensables.
Pourtant que se passe-t-il réellement aujourd’hui? L’enfant part à l’école le matin avec un goûter donné par sa maman et il reçoit aussi dans la matinée un autre goûter donné par l’école; souvent la maîtresse rajoute du lait et parfois des bonbons. Donc, entre le petit déjeuner et le déjeuner, l’enfant mangera deux à cinq fois selon les cas.
Dans l’après-midi, c’est tout à fait la même chose: l’enfant consomme le goûter donné par sa maman et l’école offre souvent aussi un autre goûter, ou parfois une autre collation; ainsi donc le nombre de prises alimentaires chez certains enfants atteint parfois 10, 15 par jour. Tous ces bonbons, tous ces laits, tous ces goûters, tous ces sirops distribués par la maman, par les crêches, les maternelles, tout cela est dicté par l’amour, par la tendresse, par la gentillesse, par la bonté et peut-être par le fait séculaire inscrit dans la mémoire génétique relatif aux famines que connurent nos ancêtres.
Or il existe dans l’organisme vivant un potentiel vital homéostasique, c’est-à-dire une force de vie régulant toutes les grandes fonctions du corps. Or ce potentiel vital homéostasique que j’ai appelé PVH ne peut être dispatché avec le maximum d’intensité dans plusieurs directions à la fois. L’organisme nous en fournit la preuve.
Ainsi, par exemple lorsqu’un individu souffre d’une grippe, il est obligé de s’allonger parce qu’il se sent fatigué; si la fièvre atteint 38°, 39°, l’individu n’a plus faim. L’on pense alors que ce manque d’appétit est dû au virus de la grippe mais en fait, il n’en est rien. C’est le potentiel vital homéostasique qui retire la vitalité de l’appareil locomoteur et de l’appareil digestif pour le dispatcher sur le plan immunitaire afin de vaincre plus facilement l’infection virale.
De la même façon, lorsqu’un enfant mange sans arrêt, sa vitalité est soustraite de l’appareil immunitaire pour être dispatché sur le tube digestif. Les bactéries, les virus, voire parfois les mycéliums qui étaient sur sa peau ou sur ses muqueuses, parfois à l’intérieur même de son organisme se mettent à proliférer.
Ainsi, le grignotage ou non-stop alimentaire est responsable des otites, des rhinites, des sinusites, des angines, des trachéites, des trachéobronchites à répétition touchant l’enfant.
[…]
Un enfant qui fait des infections à répétition toutes les trois semaines ou chaque mois est un enfant qui va recevoir huit à dix fois des antibiotiques chaque année ou même davantage. Parvenu à l’adolescence, cet enfant aura reçu souvent cinquante à cent fois plus d’antibiotiques qu’un autre enfant
Nous ne parlons pas ici de la nuisance propre des antibiotiques au niveau du foie, mais plutôt de leur nuisance au niveau immunitaire. En effet, chaque fois que l’on décapite une infection avec des antibiotiques, on décapite le système immunitaire.
Voici pourquoi: le système immunitaire d’un être humain se mature en luttant contre les infections mais chaque fois que nous décapitons une infection avec des antibiotiques, nous empêchons l’action du système immunitaire. A quinze ans, notre adolescent aura un système immunitaire dont l’efficience sera diminuée de 60 à 90% si bien que certaines bactéries ou virus vont alors acquérir pour cet adolescent au système immunitaire déprimé une virulence terrifiante, alors que ces mêmes germes ne sont pas dangereux pour un système immunitaire normal.
Donner sans arrêt toutes les trois semaines ou tous les mois des antibiotiques pendant toute la durée de l’enfance n’est pas anodin. Cela entraîne la mise hors fonction du système immunitaire de l’enfant. C’est extrêmement grave pour l’avenir et ceci peut même faciliter, à l’âge adulte, la survenue d’un cancer. (pages 179, 180, 181 et 183 – Edition Albin Michel)


2. Equilibre alimentaire: comment sortir du labyrinthe ?

Extrait de « Un gramme de bon sens au service de votre santé » de Daniel Gramme (herboriste et naturothérapeute belge)

Je suis allée à une conférence où l’on nous a dit qu’il fallait manger les aliments crus. Mais dans une revue, j’ai lu qu’il était préférable de tou cuire! Dans un autre livre à la mode, j’ai lu qu’il fallait manger dissocié; tandis que la diététique traditionnelle nous conseille de mélanger le tout. J’avoue que je ne sais plus ce qu’il faut faire…

Il faut tout simplement retrouver le bon sens, c’est-à-dire :

    • manger des protéines de qualité deux fois par jour (oeuf, viande, poisson) accompagnées de glucides (pain, pommes de terre, pâtes, céréales), pour permettre leur bonne assimilation.
    • éviter les mélanges qui perturbent la digestion (yaourt, fruits aux repas, préparations à base de tomates ou confitures sur le pain). En effet, la confiture associée au pain rend la digestion plus difficile; on observera souvent que l’on manque d’énergie après ce type de repas.
    • manger un peu de crudités chaque jour suivant sa tolérance personnelle.
    • ne jamais manger du « sucré » entre les repas, mais uniquement à la fin des repas; ainsi, les sucres rapides deviennent plus « lents » et ne perturbent pas le fonctionnement du pancréas.
    • surtout, EVITER LE GRIGNOTAGE. C’est l’erreur la plus grave qui conduit à de graves problèmes de santé. En effet, chaque repas est « programmé » pour une digestion de 4 à 5 heures. Et il faut absolument laisser un temps de repos entre deux repas afin que la digestion puisse se passer dans les meilleures conditions et que les choses se fassent en harmonie. Manger entre eux repas perturbe ce programme et dérègle tout l’organisme. Car nous avons en nous un potentiel vital qui régit tout notre organisme et qui établit l’équilibre entre les différentes fonctions. Si ce potentiel est sans arrêt concentré sur notre digestion, les autres fonctions sont lésées. Ainsi, notre immunité s’en trouvera amoindrie et une fatigue chronique s’installe.

Les enfants qui grignotent sans arrêt risquent de connaître des problèmes de santé. L’adulte, quant à lui, verra peut-être, par exemple, son taux de cholestérol augmenter (ou se développer un autre problème de santé).
Manger sans arrêt, c’est comme marcher sans jamais se reposer; c’est l’épuisement et puis, un soir, on tombe. C’est un peu comme une machine à lessiver dont le programme serait perturbé sans arrêt. (pages 21 et 22 – Editions Dricot)


3. Que l’aliment soit ton médicament

Extrait de « L’univers d’Edgar Cayce » de Dorothée Koechlin de Bizemont :

C’est Hippocrate qui l’a dit … sous serment! Et Cayce est d’accord :
Ce que nous pensons et ce que nous mangeons, combinés ensemble, fabriquent ce que nous sommes, tant physiquement que mentalement. (Lecture 288-38)
Cayce donne quelques règles simples :
Ne mangez jamais lorsque vous êtes tendu, très fatigué, excité, ou bien en colère. Vous ne devriez jamais vous alimenter à ces moments-là, voyez-vous? Et aussi ne jamais rien prendre dont vous n’avez pas envie. (Lecture 137-30)
Avis, donc, aux parents angoissés qui forcent leur malheureuse progéniture à manger les haricots tant détestés …
Halte aux sucres !
Cayce rappelle avec énergie que certains aliments sont très néfastes: fritures, pâtisseries, sucres, féculents, graisses animales cuites, pain blanc, sucre blanc, etc. Or tout cela, nous le savons. Et je me demande encore comment, après d’innombrables campagnes d’information faites par les différents organes de la presse médicale, il y a encore des gens qui croient bien faire en nourrissant leurs enfants de pain blanc, de nouilles blanches, de sucre blanc, de riz blanc. Alors que la preuve a été faite, depuis Cayce, que ces produits « morts » parce que trop élaborés, sont très nocifs. Cayce n’arrête pas de le répéter:
[…] Hélas! ces prescriptions cayciennes, répétées maintes et maintes fois au cours des lectures, sont ignorées aux Etats-Unis, où l’on abuse quotidiennement des sucreries et des fritures. Quant au « steak-frites » de nos bistrots, il semble également désastreux … Cayce recommande davantage de légumes, de salades, de fruits de mer, de poissons, de laitages et de sucres non raffinés :
Les meilleurs pour tous, ce sont les sucres de canne non raffinés. (Lecture 1131-2)
Dans l’esprit de Cayce, lorsqu’on relit tout ce qu’il a dit sur les sucres, il s’agit d’abord de consommer du sucre qui ne soit pas raffiné – qu’il soit de canne ou de betterave. Comme on l’a expérimenté depuis, ce n’est pas l’une ou l’autre de ces plantes qui fait la différence, mais le degré de traitement subi par le produit final. Il ajoute :
Les sucres sont nécessaires pour construire le corps, car ils favorisent la fermentation normale dans le système digestif. […] (Lecture 808-3)
D’autre part, Cayce ne cesse de renchérir sur les « verdures »! Il aurait aimé nos hors-d’oeuvre variés, nos salades, nos desserts de fruits :
Les légumes reconstruisent la matière grise beaucoup plus vite que la viande et les sucres !
[…] Un régime normal doit comporter au moins trois légumes qui poussent au-dessus du sol contre un légume-racine.(Lecture 3373-1)
Peu de viande, beaucoup de poisson et beaucoup de légumes.

On aurait pu s’attendre à ce que Cayce recommande le végétarisme absolu. Il ne va pas jusque là, mais déconseille cependant la viande rouge:
Quant à la viande, il serait préférable de prendre plutôt du poisson, de la volaille, de l’agneau. Le lard au petit-déjeuner – seulement occasionnellement. (Lecture 1710-4)
[…]
Quelques vedettes de l’alimentation caycienne :
J’ai déjà parlé de l’huile d’olive, des amandes, des salades, qui sont très importantes à la fois pour Cayce et dans notre cuisine. Je n’insisterai donc pas davantage – sauf pour trois ou quatre aliments qui peuvent étonner le lecteur français (comme ils ont d’ailleurs étonné le lecteur américain!).
* Le topinambour jaune, appelé en anglais « Jerusalem artichoke » – restons bibliques-, a été vigoureusement recommandé par Cayce.
C’est un légume-racine très fin, qui a le goût du champignon de Paris.
-Pourquoi est-ce que j’ai envie de me gaver de sucreries?
-C’est naturel, c’est à cause de troubles digestifs dus au pancréas. Mangez un topinambour jaune chaque semaine, de la taille d’un oeuf à peu près. Cuisez-le dans du papier de Patapar, pour ne pas le laisser perdre son jus. Assiasonnez-le. Cela améliorera les désordres dont vous souffrez entre le foie, les reins, le pancréas, et diminuera votre boulimie de sucreries. Et surtout, aucun chocolat! (Lecture 3386-2)

[…]
* Les épluchures de pommes de terre : Cayce les a recommandées plusieurs fois. Il leur prête des vertus remarquables dans certaines affections : rhumatismes, problèmes dentaires … Il dit qu’elles préviennent le blanchissement des cheveux.
Ajoutez à votre régime des pelures de pommes de terre – mais pas trop de pulpe. Il vaudrait mieux nettoyer les belles pommes de terre, les peler, et ne consommer que les pelures, cuites. Jetez le reste, donnez-le aux poules ! (Lecture 1904-1)
[…] Bref, je comprends pourquoi mes poules se précipitaient sur les épluchures de pommes de terre ! (pages 95, 96, 97, 104, 105 – Edition J’ai Lu – New Age, Tome I)


4. Le mensonge de l’allégé

Extrait de « Mythes et mensonges des régimes classiques et des diététiques naturelles » de Robert Masson (naturothérapeute français) :

Il n’y a pas que l’aliment qui soit allégé, le bon sens ne l’est pas moins!
Alléger un produit laitier, alléger un aliment, c’est lui enlever la totalité ou une partie de ses matières grasses. Or, dans ces matières grasses, se trouve essentiellement la vitamine A indispensable à la peau, aux muqueuses, à la vision nocturne ainsi qu’au contrôle des divisions cellulaires ou mitoses.
Dans ces corps gras que l’on enlève se trouve aussi de la vitamine D3 indispensable au métabolisme parfait du calcium. Ce dernier est vital … pour avoir des os solides et pratiquer un sport sans risque. Alléger un aliment, c’est lui enlever son cholestérol indispensable à l’élaboration de certaines vitamines, de certaines hormones, à la défense immunitaire. En résumé, alléger un aliment, c’est donc le priver de sa vitamine A, de sa vitamine D3 et de son cholestérol, c’est-à-dire de nutriments indispensables à la vie et à la santé. Pour un hypothétique amaigrissement, on va donc faire courir à l’organisme le risque d’une baisse de la vision, d’une diminution de la calcification osseuse, et peut-être un risque de cancer: carence en cholestérol égale perturbations hormonales et baisse du désir sexuel. Il y a un risque sportif si carence en vitamine D3 et déséquilibre dans les mitoses cellulaires, baisse de la vision nocturne si carence en vitamine A.
En fin de compte, ce la n’est même pas bénéfique pour la perte de poids, car l’insatisfaction gustative engendrée par l’allégé (contrairement à tout ce que peuvent prétendre les arguments publicitaires, l’allégé n’a pas le goût de l’aliment normal) va conduire à manger plus. Et de ce fait, par un autre biais, à manger autant de calories. (pages 144 et 145 – Edition Albin Michel)


5. L’alimentation « bio », pourquoi ?

Extrait de « Un gramme de bon sens au service de votre santé » de Daniel Gramme (herboriste et naturothérapeute belge)

– Les aliments « bio » sont chers ! C’est de la tromperie, car, à notre époque, tout est pollué. Alors acheter « bio », cela me paraît tout à fait absurde.
– Je suis surpris par la réaction de cette dame en face de moi. Mais d’une certaine manière, j’en suis heureux. Car une critique, c’est d’une certaine manière une marque d’intérêt.
La pollution est effectivement générale. Mais il y a une différence fondamentale entre une pomme qui reçoit directement des produit chimiques (de 50 à 85 traitements par an) et une pomme qui est traitée par dilution infime de pollution ambiante.
C’est un peu comme si vous receviez un jet de gaz lacrymogène dans une pièce fermée. Votre réaction est alors très pénible. Si, par contre, vous recevez un petit jet donné à 10 mètres de vous, votre réaction sera pratiquement inexistante. Et puis, il y a la saveur et le goût incomparables! Quelle différence quand vous croquez dans une belle pomme ultra-traitée chimiquement et une bonne pomme « bio »!
L’équilibre en vitamines est obligatoirement bien meilleur dans le fruit « bio ». Car dans une culture « bio », la terre est considérée comme un être vivant qu’il faut nourrir correctement, c’est-à-dire naturellement.
Ainsi, cet équilibre harmonieux se répercute sur notre organisme améliorant notre santé, notre endurance et notre vitalité.
En ce qui concerne l’élevage, les choses sont différentes. Car l’animal est respecté dans son environnement et sa nourriture.
Manger « bio, c’est aussi un acte de protection de la nature. C’est une manière d’encourager la filière agricole qui respecte la nature et lègue une terre saine à ses enfants.
On évite ainsi des risques parfois graves pour notre santé. Ne citons que l’exemple des « vaches folles ». Mais faut-il parler de « vaches folles »? Je parlerais plutôt d' »éleveurs fous »!
Manger « bio », c’est encore éviter les aliments génétiquement modifiés.
Manger « bio, c’est aussi un acte civique, c’est un peu comme si on votait chaque jour pour un monde meilleur. Pour notre société, c’est une manière de réaliser de substantielles économies: cultiver « bio » permettra au bout du compte de se défaire des subventions aux agriculteurs. Comment ne pas juger absurde la destruction des surplus alimentaires!
En mangeant « bio », on réduit la pollution de l’eau et de la terre; […]
Aujourd’hui, les enfants sont habitués à manger des choses fades et sans goût; alors, ils se ruent sur des aliments qui ont du goût artificiellement comme les chips, le cola, les biscuits sucrés, etc.
N’oublions pas que les résidus chimiques contenus dans bon nombre de produits alimentaires sont bien plus dangereux pour les enfants… On devrait faire l’effort de nourrir le bébé avec des aliments sains au moins jusqu’à un an. Un bébé mange peu, raison de plus.
[…]
– Vous savez, moi, j’achète « bio » là où j’en trouve et là où c’est pour moi le plus facile.
– Ce connaisseur du « bio » m’interpelle par sa remarque. A la réflexion, où faut-il acheter « bio » ?
Le « bio » est reconnu maintenant par tous; on en trouve partout. Je pense que, de plus en plus, il va y avoir une sorte de bio-industrie de large distribution et une « bio trois étoiles », plus chère que l’autre. Mon opinion est qu’il faut choisir en priorité les produits des petits cultivateurs de la région où l’on habite, car ceux-ci soignent bien mieux la terre que les nouveaux industriels du « bio » qui, maintenant, s’engouffrent dans le marché pour des motifs essentiellement financiers. Il faut éviter l’erreur qui s’est produite avec les aliments ordinaires: la grande distribution a fait pression sur les producteurs pour réduire les prix. Et plus on réduisait les prix, plus la qualité baissait. Résultat: des centaines de milliers de petits commerçants ruinés, des quartiers entiers qui se vidaient de commerces de proximité, la vie sociale qui s’appauvrissait. Et puis le cercle infernal qui se met en route: plus on achète bon marché, plus on produit des produits bas de gamme et plus on met de gens au chômage pour baisser encore le prix de revient. Les chômeurs achètent au moindre prix. On cherche donc encore à produire plus intensivement en réduisant la qualité et le personnel! Et ainsi de suite.
Comprenons donc que les produits de qualité ne peuvent se vendre au même prix que des produits bas de gamme.(Pages 9 à 12 – Editions Dricot)


6. Les fours à micro-ondes: un peu de prudence s’impose

Extrait de « Mythes et mensonges des régimes classiques et des diététiques naturelles » de Robert Masson (naturothérapeute français) :

A propos des fours à micro-ondes, certaines personnes soulignent le danger d’une fuite éventuelle du four lui-même, ce qui implique un danger pour les personnes se trouvant à proximité immédiate.
En fait le danger, s’il y en a un, ne semble pas provenir d’une fuite du four puisqu’il est parfaitement vérifié en général au sortir de l’usine et muni de nombreux systèmes de sécurité, mais le danger réel semble être dû aux transformations subies par l’aliment pendant la cuisson.
La revue médicale The Lancet en mars 1990 (éd. française) fait savoir que des pédiatres autrichiens ont démontré que les protéines du lait pour bébé, après chauffage au micro-ondes, ont été gravement altérées.
En effet, les protéines subissent une hydrolyse avec formation d’acides aminés dont la structure moléculaire est modifiée. Il se produit des isomères non naturels de forme « CIS » qui peuvent présenter certains dangers sur le plan immunitaire. En outre, la L-proline se trouve transformée en D-proline toxique pour le système nerveux et les reins. (page 178 – Edition Albin Michel)


7. Les aliments à haute fréquence élèvent le taux vibratoire du corps

Extrait de « Les Enfants Indigo » de Jan Tober et Lee Carroll

Mes conversations avec Dieu et avec les anges m’ont appris qu’il est vital de prendre soin de notre corps. Ce souci n’a rien à voir avec la vanité ou l’esthétisme, il est d’ordre spirituel. En effet, lorsque notre corps est harmonisé et bien nourri, il devient plus réceptif à l’aide divine. A ce sujet, de nombreuses écoles orientales ainsi que l’école pythagoricienne (berceau de la métaphysique moderne et de la guérison spirituelle) prônent l’importance spirituelle des régimes naturels pauvres en viande ou complètement végétariens.

Les aliments, comme toute chose ou tout être, émettent des fréquences vibratoires. Ainsi, les aliments à haute fréquence élèvent le taux vibratoire du corps, ce qui facilite l’accès au véritable soi. Plus vous élevez vos vibrations, plus votre intuition profonde captera les messages de Dieu, de vos guides ou de vos anges.

Les aliments frais et vivants tels que les légumes, les fruits et les produits à base de graines germées ont les fréquences vibratoires les plus élevées. Inversement, les aliments morts, gelés, séchés ou trop cuits sont ceux qui possèdent les taux les plus faibles. Le même phénomène s’applique aux aliments auxquels on ajoute du sucre, des colorants alimentaires, des agents de conservation ou des pesticides (qui portent l’énergie de la mort).

Adopter un régime majoritairement végétarien, exempt de produits chimiques, ce que les experts recommandent d’ailleurs dans les cas de déficit d’attention et hyperactivité, vous aideront, vous et votre enfant, à atteindre les fréquences spirituelles les plus élevées. (Pages 148 et 149 – Edition Ariane)


8. Le végétarisme pour libérer le monde de la faim et de la dépendance économique

Extrait de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem

Si le monde était végétarien, il n’y aurait plus d’OGM ni de manipulations génétiques. Ou si peu que, non rentables, elles s’éteindraient (car il s’agit majoritairement de soja et de maïs destinés à l’alimentation animale). Il n’y aurait même plus d’agriculture intensive, car tout cela sert avant tout à nourrir un bétail coûteux en ressources alimentaires. Il suffirait de 20 fois moins de surfaces cultivées pour nourrir tout l’humanité si le quart de celle-ci acceptait de se passer de viande. La consommation de viande en Occident est utilisée comme vecteur de la famine organisée dans les pays du Tiers-Monde. Cessons de croire que c’est dû à l’incompétence des dirigeants de ces pays: ils sont mis à sac par le Fonds Monétaire International et l’élimination de la moitié de la population mondiale, en particulier celle du Sud, est le but. Comme pour le moment les moyens utilisés se sont avérés insuffisants, certains sont en passe d’utiliser les grands moyens.
Si on ne mangeait plus de viande, ou beaucoup moins, l’Amazonie serait alors sauvée, et les fast-foods, entre autres, qui vivent de sa destruction (pour la production de viande) en faillite. L’eau ne serait plus empoisonnée. La moitié du chemin d’une révolution écologique et sociale serait fait (ce n’est pas pour rien qu’il est maintenant imposé légalement de dénoncer les personnes qui changent d’alimentation – ou lisent trop, méditent, ou ont des comportements suspects ou susceptibles de les mener à l’autarcie). Ce sont les multinationales de l’alimentation qui sont les plus grands affameurs du Tiers-Monde. Le végétarisme serait un revirement susceptible de libérer des centaines de millions d’individus de la faim et de la dépendance économique. Et un ouf de soulagement pour votre santé personnelle, mise à mal par la consommation de viande qui acidifie les humeurs (tout comme les produits chimiques ou raffinés), l’acidité étant le principal facteur de maladies dégénératives (elles se multiplient).
Encore plus un ouf pour les animaux. On ne peut espérer une humanité heureuse nonobstant des comportements aussi criminels vis-à-vis des animaux: élevage, abattage, vivisection, fourrure, destruction des écosystèmes, etc. C’est pourquoi la compréhension de l’unité dans l’univers, en conduisant au respect des autres règnes, est le premier facteur d’évolution pour l’humanité. Vous comprenez pourquoi les journalistes ne font rien, au contraire, pour que l’Ecologie se développe dans les esprits. Les pensées négatives et la violence qui nourrissent nos saigneurs sont, à notre époque, étroitement liées au commerce de la vie et de la mort dont l’archétype est d’industrie de la viande. (Pages 42 et 43 – Editions Louise Courteau)

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