Spiritualité - Textes choisis

Dieu

    1. Nous sommes un fragment de Dieu, Neale Donald Walsch
    2. Les Dix Commandements n’existent pas, Neale Donald Walsch
    3. Faire et être, Neale Donald Walsh
    4. Nous ne sommes pas des moutons !, Lee Carroll
    5. Nous possédons en nous toutes les forces de l’univers, Léon Renard
    6. Qu’est-ce que l’Humain ?, Patrice Van Eersel
    7. La prise de conscience du Divin en soi, Christophe
    8. La voie du désir est le chemin le plus court et le plus naturel vers Dieu, Deepak Chopra
    9. Le retour à l’innocence, Deepak Chopra
    10. Le message de Jésus ne s’adressait pas aux Aborigènes car ils vivaient déjà Sa vérité, Marlo Morgan
    11. Dieu c’est le But, le Tout et le Processus Créateur et Réunificateur, Frank Hatem
    12. Oubliez la religion, Neale Donald Walsch
    13. Dieu est Absolument Chaque Chose, Neale Donald Walsch

1. Nous sommes un fragment de Dieu

Extrait de « Conversations avec Dieu » de Neale Donald Walsch :

DIEU : « Le sentiment le plus élevé, c’est l’amour parfait, n’est-ce pas ? »

NEALE : « Oui, je crois bien. »

DIEU : « Et peux-tu trouver une meilleure description de Dieu? »

NEALE : « Non, vraiment »

DIEU : « Eh bien, ton âme cherche le sentiment le plus élevé. Elle cherche à ressentir (à être) l’amour parfait.
Elle est l’amour parfait et elle le sait. Mais elle veut faire plus que le savoir. Elle veut en faire l’expérience.
Bien sûr que tu cherches à être Dieu! Qu’est-ce que tu croyais? »

NEALE : « Je ne sais pas. Je me pose la question. J’imagine que je n’y ai tout simplement jamais pensé de cette façon. Il semble y avoir là quelque chose de vaguement blasphématoire. »

DIEU : « N’est-il pas intéressant que tu ne trouves rien de blasphématoire à vouloir ressembler au diable, mais que chercher à ressembler à Dieu t’offense… »

NEALE : « Oh, minute ! Qui cherche à ressembler au diable ? »

DIEU : « Toi ! Vous tous ! Vous avez même créé des religions qui vous disent que vous êtes nés dans le péché – que vous êtes pêcheurs de naissance – afin de vous convaincre de votre mauvaise nature. Mais si Je vous disais que vous êtes nés de Dieu – que vous êtes de purs Dieux et Déesses à la naissance – pur amour -, vous Me rejetteriez.
Toute ta vie, tu l’as passée à te convaincre que tu es mauvais. Non seulement que tu es mauvais, mais que les choses que tu désires sont mauvaises. Le sexe est mauvais, l’argent est mauvais, la joie est mauvaise, le pouvoir est mauvais, le fait de posséder bien des choses est mauvais, tout, ou presque. Certaines de tes religions t’ont même fait croire qu’il était mauvais de danser, que la musique était mauvaise, qu’il était mauvais de célébrer la vie. Bientôt, tu conviendras qu’il est mauvais de sourire, de rire, d’aimer. Non, non, mon ami, il y a peut-être bien des choses que tu ne sais pas très clairement, mais il y en a une que tu sais clairement: que tu es mauvais, tout comme la plus grande part de ce que tu désires. Ayant porté ce jugement sur toi-même, tu as décidé que tu devais travailler à t’améliorer. C’est bien, d’ailleurs. C’est la même destination de toute façon, seulement, il y a une voie plus rapide, une route plus courte, un parcours plus expéditif. »

NEALE : « Qu’est-ce que c’est ? »

DIEU : « C’est d’accepter Qui et Ce Que Tu Es maintenant et de le montrer.
C’est ce qu’a fait Jésus. C’est la voie du Bouddha, la voie de Krishna, le parcours de tous les Maîtres qui soient apparus sur cette planète.
Et de même, chaque Maître apporte le même message : Ce que Je suis, tu l’es. Ce que Je peux faire, tu peux le faire. Ces choses, et d’autres encore, tu les feras aussi.
Mais tu n’as pas écouté. Tu as plutôt choisi la voie beaucoup plus difficile de celui que se prend pour le diable, de celui que se croit mauvais.
Tu dis qu’il est difficile de suivre la voie du Christ, de suivre les enseignements du Bouddha, de tenir la lampe de Krishna, d’être un Maître. Mais Je te dis ceci: il est beaucoup plus difficile de nier Qui Tu Es que de l’accepter.
Tu es la bonté, la miséricorde, la compassion et la compréhension. Tu es la paix, la joie et la lumière. Tu es le pardon et la patience, la force et le courage, celui qui aide en cas de besoin, celui qui réconforte en cas de chagrin, celui qui guérit en cas de blessure, celui qui enseigne en période de confusion. Tu es la sagesse la plus profonde et la vérité la plus élevée: la plus grande paix et le plus grand amour. Tu es cela. Et à certains moments de ta vie, tu t’es connu en tant que tel.
Choisis, à présent, de toujours te connaître en tant que tel. »
(pages 109 à 111 – Edition Aventure Secrète de J’ai Lu)


2. Les Dix Commandements n’existent pas

Extrait de « Conversations avec Dieu » de Neale Donald Walsh :

DIEU : « […] Je vais commencer par une affirmation qui te renversera et scandalisera peut-être bien des gens. Les Dix Commandements n’existent pas. »

NEALE : « Oh, mon Dieu, il n’y en a pas ? »

DIEU : « Non, il n’y en a pas. A qui commanderais-Je? A Moi-même? Et pourquoi de tels commandements seraient-ils nécessaires? Tout ce que Je veux existe. N’est-ce pas? Alors, pourquoi aurais-Je à commander à qui que ce soit? Et si Je promulguais des commandements, ne seraient-ils pas automatiquement respectés? Comment pourrais-Je souhaiter une chose au point de la commander, pour ensuite me reposer et la voir ne pas se produire?
Quel roi ferait cela? Quel monarque?
Et Je te dis ceci: Je ne suis ni roi ni monarque. Je suis tout simplement (et terriblement) le Créateur. Cependant, le Créateur ne règne pas mais crée – crée et continue de créer. Je t’ai créé (béni) à Mon image et à Ma ressemblance. Je t’ai fait certaines promesses et J’ai pris certains engagements envers toi. Je t’ai dit, en langage simple, ce qu’il t’arrivera quand tu ne feras plus qu’un avec Moi.
Tu es, comme l’était Moïse, une âme engagée dans une quête sérieuse. Moïse aussi, comme tu le sais, est resté devant Moi, Me suppliant de lui répondre. « Oh, Dieu de mes Pères, s’est-il écrié. Dieu de mon Dieu, daigne me montrer. Donne-moi un signe, que je puisse le dire à mon peuple! Comment puis-je savoir que nous sommes le peuple élu? »
Et Je suis venu à Moïse, tout comme Je suis venu à toi maintenant, avec une alliance divine, une promesse éternelle, un engagement sûr et certain. « Comment puis-je en être sûr? » à demandé Moïse d’une voix plaintive. « Parce que Je te l’ai dit, ai-Je répondu. Tu as la Parole de Dieu. » Et la Parole de Dieu n’était pas un commandement, mais une alliance. Voici donc …

LES DIX ENGAGEMENTS
Tu sauras que tu as pris la voie qui mène à Dieu, et tu sauras que tu as trouvé Dieu grâce à ces signes, indications et changements qui se produiront en toi :
1. Tu aimeras Dieu de tout ton coeur, de tout ton esprit, de toute ton âme. Et il n’y aura pas d’autre Dieu avant Moi. Tu ne vénéreras plus l’amour humain, le succès, l’argent, le pouvoir, ni aucun de leurs symboles. Tu délaisseras ces choses comme un enfant délaisse ses jouets, non pas parce qu’elles sont sans valeur, mais parce que tu les auras dépassées.
Et tu sauras que tu as pris la voie qui mène à Dieu parce que :
2. Tu n’utiliseras pas le nom de Dieu en vain. Tu ne feras pas appel à Moi pour des choses frivoles. Tu comprendras le pouvoir des mots et des pensées, et tu ne songeras même pas à invoquer le nom de Dieu d’une manière qui n’est pas divine. Tu n’utiliseras pas Mon Nom en vain parce que tu ne peux pas, car Mon Nom (le Grand « Je Suis ») n’est jamais utilisé en vain (c’est-à-dire sans résultat) et ne pourra jamais l’être. Et quand tu auras trouvé Dieu, tu le sauras.
Et Je te donnerai ces autres signes aussi :
3. Tu te rappelleras de Me réserver une journée que tu appelleras sainte. Cela, afin que tu ne restes pas longtemps dans ton illusion, mais que tu te rappelles Qui et Ce Que Tu Es. Dès lors, tu appelleras bientôt chaque jour le Sabbat et, pour toi, chaque instant sera saint.
4. Tu honoreras ta mère et ton père – et tu sauras que tu es le Fils de Dieu quand tu honoreras ton Dieu Père/Mère dans tout ce que tu dis, fais ou penses. Et de même que tu honores Dieu Père/Mère, et tes père et mère sur la Terre (car ils t’ont donné la vie), ainsi, aussi, tu honoreras tout le monde.
5. Tu sauras que tu as trouvé Dieu quand tu verras que tu ne tues pas (c’est-à-dire : tuer volontairement, sans raison). Car lorsque tu comprendras que tu ne peux en aucun cas mettre fin à la vie d’un autre (toute vie est éternelle), tu ne choisiras de mettre fin à aucune incarnation particulière, ni à faire passer de l’énergie vitale d’une forme à une autre sans la justification la plus sacrée. Ta nouvelle vénération envers la vie t’amènera à respecter toutes les formes de vie (y compris les plantes, les arbres et les animaux) et de n’avoir d’impact sur elles que lorsque c’est pour le plus grand bien.
Et ces autres signes Je t’enverrai aussi, afin que tu saches que tu es sur la voie :
6. Tu ne saliras pas la pureté de l’amour par la malhonnêteté ou la tromperie, car c’est de l’adultère. Je te promets que lorsque tu auras trouvé Dieu, tu ne commettras pas l’adultère.
7. Tu ne prendras pas une chose qui n’est pas la tienne et tu ne tricheras pas, ne seras pas complice, ni ne feras de tort à un autre pour avoir quoi que ce soit, car ce serait voler. Je te promets alors que lorsque tu auras trouvé Dieu, tu ne voleras pas.
Et non plus …
8. Tu ne diras rien qui ne soit vrai, car ce serait un faux témoignage.
Et non plus …
9. Tu ne convoiteras pas la conjointe de ton voisin, car pourquoi désirerais-tu la conjointe de ton voisin puisque tu sais que toutes les autres sont à toi?
10. Tu ne convoiteras pas les biens de ton voisin, car pourquoi voudrais-tu les biens de ton voisin alors que tu sais que tous les biens peuvent être à toi et que tous tes biens appartiennent au monde?
Tu sauras que tu as trouvé la voies qui mène à Dieu lorsque tu verras ces signes. Car je te promets qu’aucune personne qui cherche vraiment Dieu ne fera plus ces choses. Il serait impossible de poursuivre de tels comportements.
Ce sont tes libertés et non tes restrictions. Ce sont mes engagements et non mes commandements, car Dieu ne donne pas d’ordres à ceux qu’Il a créés – Dieu se contente de dire à ses enfants : voici comment vous saurez que vous êtes sur le chemin du retour. » (pages 120 à 123 – Edition Aventure Secrète de J’ai Lu)


3. Faire et être

Extrait de « Conversations avec Dieu » de Neale Donald Walsch :

DIEU : « […] Faire est une fonction du corps. Etre est une fonction de l’âme. Le corps est toujours en train de faire quelque chose. Chaque minute de chaque jour, il est en train de faire quelque chose. Il n’arrête jamais, il ne se repose jamais, il est constamment en train de faire quelque chose. Il le fait soit au nom de l’âme, soit contre l’âme. C’est la qualité de ta vie qui se trouve en jeu.
L’âme est à jamais être. Elle est ce qu’elle est, peu importe ce que fait le corps, et non grâce à ce qu’il fait.
Si tu crois que ta vie est centrée sur le faire, tu ne comprends pas ta raison d’être.
Ton âme ne se soucie pas de ce que tu fais pour gagner ta vie – et quand ta vie sera finie, tu ne t’en soucieras pas non plus. Ce qui compte pour ton âme, c’est uniquement ce que tu es pendant que tu fais ce que tu fais, peu importe quoi. Ce que recherche l’âme, c’est un état d’être et non un état de faire. »

NEALE : « Qu’est-ce que l’âme cherche à être? »

DIEU : « Moi. »

NEALE : « Toi. »

DIEU : « Oui, Moi. Ton âme est Moi, et elle le sait. Ce qu’elle fait, c’est de tenter de ressentir cela. Et ce qu’elle se rappelle, c’est que la meilleure façon d’avoir cette expérience, c’est de ne rien faire. Il n’y a rien d’autre à faire que d’être. »

NEALE : « D’être quoi? »

DIEU : « Tout ce que tu veux être : heureux, triste, faible, fort, joyeux, vengeur, perspicace, aveugle, bon, mauvais, mâle, femelle. Tout ce que tu peux imaginer.
Je veux dire littéralement ; tout ce que tu peux imaginer.
….Mais ce Moi qu’elle cherche à être est très complexe, multidimensionnel, multisensuel. Il y a des millions d’aspects de Moi. Un trillion. Tu vois ? Il y a le profane et le profond, le plus petit et le plus grand, le trivial et le saint, l’affreux et le Divin. Tu vois ? »

NEALE : « Oui, oui, je vois… haut et bas, gauche et droite, ici et là, avant et après, bien et mal … »

DIEU : « Précisément. Je suis l’Alpha et l’Omega. Ce n’est pas seulement une jolie phrase ou un concept chic : c’est la Vérité exprimée.
Alors, en cherchant à être Moi, l’âme a une tâche grandiose devant elle, un énorme menu d’états d’être à partir duquel elle peut choisir. Et c’est ce qu’elle est en train de fair en ce moment. »

NEALE : « Choisir des états d’être. »

DIEU : « Oui, puis produire les conditions bonnes et parfaites au sein desquelles créer l’expérience de cela. Par conséquent, rien ne t’arrive ou n’arrive par ton intermédiaire si ce n’est pour ton plus grand bien. »

NEALE : « […] Est-ce que Tu dis que c’est l’état d’être que je choisis qui détermine mon succès matériel? »

DIEU : « Je ne me préoccupe pas de ton succès matériel : toi seul t’en préoccupes.
… Les Maîtres véritables sont ceux qui ont choisi de créer leur vie, plutôt que de la gagner.
De certains états d’âme naîtra une vie si riche, si pleine, si magnifique et si gratifiante que tu ne te soucieras ni des biens matériels ni du succès matériel.
L’ironie de la vie, c’est que dès que tu ne te préoccupes plus des biens matériels et du succès matériel, la voie est ouverte pour qu’ils circulent dans ta direction. » (pages 206 à 213 – Edition Aventure Secrète de J’ai Lu).


4. Nous ne sommes pas des moutons !

Extrait de « Partenaire avec le Divin » de Kryeon channelé par Lee Carroll :

« Depuis fort longtemps, vous utilisez une métaphore afin de décrire les relations entre l’Esprit et les humains : Celle du berger et de son troupeau de moutons. Dans cette image, les humains sont assimilés aux moutons et Dieu est le berger. Permettez-moi de vous dire, mes amis, que la dernière chose que nous vous souhaitons, c’est d’être des moutons!
Vous avez été investis des pleins pouvoirs! Le partenariat avec Dieu n’a rien à voir avec des relations berger/troupeau. Certains d’entre vous ont assimilé Dieu à un parent, à un père ou une mère divins dont ils seraient les enfants. Une belle image, peut-être, mais rejetez-la, car nous ne voulons pas parler de ce genre de relation. Les partenaires sincères n’entretiennent pas de telles relations et aucun ne cherche à dominer l’autre de cette manière, même par l’amour.
Certains ont dit: « Je vais lâcher prise et laisser Dieu diriger ma vie! » Ce n’est pas ce que nous vous demandons de faire, chers amis. Nous souhaitons que vous ne lâchiez pas prise. Nous souhaitons, au contraire, vous voir affronter chaque situation avec toute la puissance que vous avez héritée de ce Nouvel Age et maîtriser les événements avec un partenaire qui ait une vue d’ensemble de la situation. Voilà ce qu’est le partenariat avec le divin. » (page 60, Edition Ariane)


5. Nous possédons en nous toutes les forces de l’univers

Extrait de « Le cancer apprivoisé » de Léon Renard :

Pour Edgar CAYCE: “Toute guérison mentale et physique est possible lorsqu’on branche chaque atome du corps, chaque réflexe du cerveau, sur la conscience du Divin qui habite à l’intérieur de chaque cellule ».
Ailleurs, il dit: « Sache que, dans ton for intérieur, tu es une entité individuelle, que tu contiens intérieurement tout un univers avec potentiellement tous les pouvoirs et toutes les facultés de la Divinité. »
Il ne faut donc pas chercher Dieu à l’extérieur, il ne faut pas chercher l’énergie à l’extérieur, il ne faut pas chercher la guérison à l’extérieur. Nous possédons en nous toutes les forces de l’univers.
L’homme est un Dieu qui s’ignore. (page 132, Edition Marabout)


6. Qu’est-ce que l’Humain ?

Extrait de « La Source Blanche » de Patrice Van Eersel :
Qu’est-ce que l' »HUMAIN » ?
En fait, c’est la question centrale à laquelle l’aventure entière des Dialogues avec l’Ange ramène sans cesse – comme toute grande quête mystique. Les voix « créatrices » usent de trente-six formules, modes, attributs pour aborder le sujet. L’HUMAIN (ainsi typographié, en lettres capitales) est, par exemple :
La plus grande merveille (10/9/1943),
L’essence du monde créé (1/10/1943),
Le point de la délivrance (3/12/1943),
SON outil (10/12/1943),
SA gloire (15/1/1944),
Le corps du Ciel (11/2/1944),
L’Esprit (11/2/1944),
Le maître du fleuve (10/3/1944),
SA main (17/3/1944),
etc.
Tous ces mots semblent converger vers un seul et même point de fuite vertigineux, à la fois au-dessus de nos têtes, en dessous de nos pieds et au fond de notre ventre: nous serions porteurs (à notre insu ou presque, tant nous dormons encore, mais cela n’y change rien) d’un projet incommensurable : nous serions appelés à devenir « le pont universel entre la Force créatrice et Sa création. » (page 190, Editions Livre de Poche)


7. La prise de conscience du Divin en soi

Extrait de « Paroles de Lumière » de Christophe (Après sa mort en 1978, ses messages ont été transmis par un médium, interprète spirituel en pleine affinité vibratoire avec lui)

« Chacun doit suivre son destin, être à sa vraie place et manifester la parfaite expression de lui-même. Chacun est responsable de lui-même et doit exprimer sa joie cosmique. Chacun doit être l’accomplissement parfait, total, entier, de ce que veut la Providence pour lui, en accord avec son contrat de réincarnation. Quand les êtres comprendront-ils qu’ils sont dans une unité totale, qu’elle est en eux, qu’elle est un rayonnement, une chaleur et une lumière?
Quand regarderont-ils ce qui est marqué dans le creux de l’atome?
Quand comprendront-ils que seule est valable la prise de conscience du Divin en soi qui transforme tout dans la vie, qui donne la santé, la jeunesse, l’illumination, la beauté, qui est le « Un resplendissant dans toute sa plénitude »? » (page 53)


8. La voie du désir est le chemin le plus court et le plus naturel vers Dieu

Extrait de « La voie du magicien » de Deepak Chopra

… C’est pourquoi il est crucial d’affronter la nature de vos désirs, de comprendre que le projet de Dieu est de réaliser chacun d’entre eux. Dieu ne vous empêche nullement d’obtenir tout ce que vous voulez, quel que soit votre désir. Vous seul vous en jugez parfois indigne. De tels jugements spontanés réfrènent la tendance naturelle de la vie, mais, une fois ces obstacles supprimés, la voie du désir redevient une joie, parce qu’elle est le chemin le plus court et le plus naturel vers Dieu. Aucun désir n’est trivial, car tout désir a une signification spirituelle. Chacun d’eux est un petit pas en avant vers le jour où vous en arriverez au plus haut épanouissement: connaître votre nature divine. p.183-184


9. Le retour à l’innocence

Extrait de « La voie du magicien » de Deepak Chopra

« …Vois-tu, la confrontation avec Dieu n’est pas le terme de ta quête mais son commencement. Tu as commencé dans l’innocence et ainsi finiras-tu. Mais cette fois l’innocence est différente, parce que tu as acquis une connaissance intégrale, alors qu’un nourrisson n’a que des sentiments.
« Quand tu deviens capable de te voir toi-même comme esprit, ton identification à ce corps et à cet esprit individuels cesse. Simultanément les notions de naissance et de mort deviennent nulles et non avenues.
[…]
« On n’atteint pas cet état à force de pensées ou de sentiments. L’esprit naît d’un silence absolu. Le dialogue intérieur de ton esprit doit cesser pour ne jamais reprendre, parce que l’éclatement du moi, qui a suscité ce dialogue intérieur, a cessé. Ton moi sera réunifié et, comme le bébé que tu as été autrefois, tu ne ressentiras plus ni doute, ni honte, ni culpabilité. Le besoin de dualité qu’éprouve l’ego a engendré un monde d’oppositions: Bien Mal, Vrai Faux, Lumière Ombre. Tu découvriras que ces contraires sont désormais réconciliés. Telle est la vision de Dieu car, où qu’Il regarde, Il ne voit que son propre reflet.
« Si tu as le sentiment que ce but est trop noble ou trop éloigné, voici un secret. Bien que tu aies franchi les sept étapes de l’alchimie, chacune d’elles était présente dès le départ. Dans l’innocence, Dieu était présent en totalité, comme Il l’est dans l’ego, dans l’homme d’action, dans le donateur ou dans le chercheur. La seule chose qui ait vraiment changé, c’est la direction de ton attention. Tous les aspects de l’univers sont présents dans ton être, aussi complets et éternels que l’univers lui-même. Mais la naissance à l’esprit constitue un événement bouleversant. Tandis que ton moi s’unifiera, tu deviendras de plus en plus familier du divin, jusqu’à ce que tu finisses par éprouver Dieu comme un être infini Se déplaçant à une vitesse incalculable à travers des dimensions infinies. Quand cette expérience impressionnante se produira, elle te paraîtra aussi simple et naturelle que d’être assis ici, sous les étoiles, mais tu deviendras alors chacune des étoiles qui dansent dans le ciel. (Pages 224 et 225 – Edition Robert Laffont)


10. Le message de Jésus ne s’adressait pas aux Aborigènes car ils vivaient déjà Sa vérité

Extraits de « Message des Hommes Vrais au Monde Mutant » de Marlo Morgan

« Je lui demandai s’il avait déjà entendu parler de Jésus.
– Bien sûr, me répondit-il. Les missionnaires enseignaient que Jésus est le fils de Dieu. Notre frère aîné. L’Unité divine sous la forme humaine. Il est l’objet de la plus profonde vénération. L’Un est venu sur la terre il y a très longtemps pour expliquer aux Mutants comment vivre, puisqu’ils l’avaient oublié. Jésus n’est pas venu auprès du Vrai Peuple. Il aurait pu, nous étions là, mais ce n’était pas notre message. Le message de Jésus ne s’adressait pas à nous parce que nous ne l’avions pas oublié, nous vivions déjà Sa vérité. Pour nous, l’Unité divine n’est pas une forme. Les Mutants sont des drogués de la forme. Ils ne peuvent accepter quelque chose d’invisible et d’impalpable. Pour nous, Dieu, Jésus, l’Un, ce n’est pas une essence qui baigne les choses ou est présente à l’intérieur des choses. C’est toute chose! » (Page 165 – Edition J’ai Lu)

« Le Vrai Peuple pense que les humains ont été créés à l’image de Dieu, mais pas à son image physique parce que Dieu n’a pas de corps. Les âmes ont été créées à l’image de l’Unité divine, ce qui signifie qu’elles sont capables de pur amour et de paix, qu’elles sont créatives et sont les gardiennes d’innombrables choses. Nous avons été créés libres et la terre nous a été donnée comme lieu d’apprentissage des émotions, qui ne sont intenses que lorsque l’âme occupe une forme humaine. » (Page 194 – Edition J’ai Lu)


11. Dieu c’est le But, le Tout et le Processus Créateur et Réunificateur

Extraits de « Les Cinq Clefs » de Frank Hatem

Lorsque l’homme a compris ce que c’est que « Dieu », il peut devenir « Dieu ». Il s’aperçoit que c’est lui. Que ce qui l’anime et lui donne conscience est ce But infini. Dès lors il comprend sa nature libre et créatrice. Dès lors il n’est plus manipulable. La connaissance est ce qui fait le plus peur à nos manipulateurs car c’est notre protection absolue. Lorsque paraît la lumière, que sont devenues les ténèbres? Elles ne peuvent plus rien. La libération de l’humanité se confond avec son unité, car la vérité unit en même temps qu’elle affranchit. (Page 86 – Edition Louise Courteau)

« DIEU » c’est trois « choses » comme il se doit (car il n’a pas changé, ce sont les religions et les dogmes qui changent): le BUT (nécessité cause de toute chose), le TOUT (apparence universelle issue de cette énergie), et le PROCESSUS CREATEUR ET REUNIFICATEUR qui manifeste le but sous forme d’univers en évolution vers ce but.

I – LE BUT, c’est-à-dire la Nécessité absolue qui est à l’origine de toute énergie créatrice: le fait que seul le néant peut être et est sans cause.
Ce qui est important, c’est de comprendre que cette nécessité est la source de toute énergie. C’est toujours un but qui est la cause des choses, car c’est toujours un but qui engendre de l’énergie. Sans but pas d’énergie. Quand je n’ai pas de but, je déprime. Si l’univers est une grande énergie, c’est qu’il est un grand but. La Physique n’est pas en état d’expliquer correctement l’univers parce qu’elle refuse cette idée de but qui est METAPHYSIQUE et non physique, puisque c’est cela qui engendre le monde physique. […]

II – LE TOUT. « Dieu » est aussi le Tout, c’est-à-dire tout ce qui est, manifestement ou potentiellement. Il ne peut évidemment rien y avoir de réel en absolu. Seule la nécessité est véritablement. Mais la manifestation de cette nécessité, l’ensemble de l’évolution universelle, est évidemment illusion puisque sensation mentale d’aller vers le but via des états successifs instantanés sans durée.
Toute chose est la manifestation du but sous une forme provisoire. Rien ne peut donc être dû au hasard. tout est indispensable. Et chaque entité est une individualité différente qui ne peut en aucun cas être semblable aux autres, et qui tient sa place en tant que « regard » particulier vers le but. Chacun est nécessaire à « Dieu » tel qu’il est. Et chacun permet « Dieu ».
C’est cela la justification d' »aimer son prochain comme soi-même ». Chacun est un regard distinct issu du même esprit, et l’ensemble de ces regards constituent les étapes de l’élan vers notre vraie nature infinie. S’il en manquait un seul, plus personne ne serait à sa place. […]

III – LE PROCESSUS D’ILLUSION ET DE VERITE
L’esprit, l’énergie, c’est la RELATION entre les deux pôles Zéro au centre et Infini à « l’extérieur », moi et univers, pôle en répulsion et pôle en attraction chez la particule atomique. Chez les Grecs, cette relation s’appelle le LOGOS, ou LOGIQUE, ou RAISON. On l’appelle aussi le « VERBE » car c’est la pensée, la parole et l’action à la fois. C’est l’onde associée à la particule. Ondulatoire parce que dualiste, alternativement Nord et Sud. Le Saint-Esprit ne laisse plus place au mystère. Il est la vraie réalité qui sépare et unit à la fois les deux « irréalités » que sont Père et Fils.
Puissance créatrice du Père qui engendre le Fils; Puissance d’amour du Fils qui retourne au Père. Père et Fils ne sont que les apparences, moi et autrui, soi et l’univers, qui n’ont de réalité ni l’un ni l’autre. La vraie réalité, c’est la relation qui sépare et unit à la fois ces deux potentialités. Cette relation est. Le processus qui nous fait croire que nous existons, et qui nous fait poursuivre un but sans existence effective, ce processus d’illusion est la vraie réalité. (Pages 90 à 95 – Edition Louise Courteau)


12. Oubliez la religion

Extrait de « Conversation avec Dieu », Tome II de Neale Donald Walsch

DIEU : Retournez à la spiritualité. Oubliez la religion.

NEALE : Pourquoi dis-Tu : oubliez la religion ?

DIEU : Parce qu’elle n’est pas bonne pour vous. Comprends que pour avoir du succès, la religion organisée doit faire croire aux gens qu’ils en ont besoin. Pour que les gens prêtent foi à quelque chose, ils doivent d’abord perdre la foi en eux-mêmes. Alors, la première tâche de la religion organisée est de vous faire perdre la foi en vous-mêmes. La seconde tâche est de vous faire voir qu’elle possède les réponses que vous n’avez pas. Et la troisième et la plus importante est de vous faire accepter ses réponses sans poser de questions.
Si vous posez des questions, vous commencez à revenir à cette Source intérieure. La religion ne peut vous le permettre, car vous êtes susceptibles de trouver une réponse différente de celle qu’elle a cherchée. Alors, la religion doit vous faire douter de votre propre capacité de penser clairement.
Le problème, avec la religion, c’est que très souvent, cela refoule, car si vous ne pouvez accepter sans le moindre doute vos propres pensées, comment pouvez-vous ne pas douter des nouvelles idées à propos de Dieu que la religion vous a données ?
Bientôt, vous douterez même de Mon existence, dont, ironiquement, vous n’avez jamais douté auparavant. Lorsque vous viviez selon votre connaissance intuitive, vous ne me compreniez peut-être pas complètement, mais vous saviez certainement que J’étais là !
C’est la religion qui a créé les agnostiques.
Quiconque pense clairement et regarde ce que la religion a fait doit prendre pour acquis que la religion n’a aucun Dieu ! Car c’est la religion qui a rempli les cœurs des hommes de la peur de Dieu, tandis qu’avant, l’homme aimait Ce Qui Est dans toute sa splendeur.
C’est la religion qui a ordonné aux hommes de s’incliner devant Dieu, tandis qu’avant l’homme se levait dans un joyeux mouvement.
C’est la religion qui a chargé l’homme d’inquiétudes à propos de la colère de Dieu, tandis qu’auparavant l’homme cherchait Dieu pour alléger son fardeau !
C’est la religion qui a dit à l’homme d’avoir honte de son corps et de ses fonctions les plus naturelles, alors qu’auparavant l’homme célébrait ces fonctions comme les plus grands cadeaux de la vie !
C’est la religion qui vous a enseigné que vous deviez avoir un intermédiaire afin d’atteindre Dieu, tandis qu’avant vous aviez l’impression d’atteindre Dieu vous-mêmes, en vous contentant de vivre votre vie dans la bonté et la vérité.
Et c’est la religion qui a ordonné aux humains d’adorer Dieu, tandis qu’avant les humains adoraient Dieu parce qu’il était impossible de ne pas le faire !
Partout où elle est passée, la religion a créé la division qui est à l’opposé de Dieu.
La religion a séparé l’homme de Dieu, l’homme de l’homme, l’homme de la femme ; certaines religions disent en fait à l’homme qu’il est au-dessus de la femme, alors même qu’elles proclament que Dieu est au-dessus de l’homme, mettant ainsi en place l’un des plus grands travestissements jamais imposé à la moitié de la race humaine.
Je te dis ceci : Dieu n’est pas au-dessus de l’homme, et l’homme n’st pas au-dessus de la femme, ce n’est pas « l’ordre naturel des choses ». Mais tous ceux qui ont du pouvoir (c’est-à-dire les hommes) voulaient qu’il en soit ainsi lorsqu’ils ont fondé leurs religions sur le culte du masculin, écartant systématiquement de leur version finale des « écritures saintes » la moitié de leur contenu et déformant le reste pour l’adapter au moule de leur modèle masculin du monde.
C’est la religion qui prétend encore aujourd’hui que les femmes sont en quelque sorte inférieures, en quelque sorte des citoyens spirituels de seconde zone, en quelque sorte mal « adaptées » à l’enseignement de la parole de Dieu, à la prédication de la Parole de Dieu, ou à la prêtrise.
Comme des enfants, vous êtes encore en train de vous disputer à propos de l’ordination des femmes !
Je te dis ceci : Vous êtes tous des prêtres. Chacun de vous.
Il n’y a pas une personne ou une classe de gens qui soit mieux « adaptée » qu’une autre pour accomplir Mon œuvre.
Mais un si grand nombre de vos hommes ressemblent exactement à vos pays. Affamés de pouvoir, ils n’aiment pas le partager, ils ne veulent que l’exercer. Et ils ont construit le même genre de Dieu. Un Dieu affamé de pouvoir. Un Dieu qui n’aime pas partager le pouvoir mais tout simplement l’exercer. Mais Je te dis ceci : le plus grand cadeau de Dieu est le partage du pouvoir de Dieu.
Je préfère que vous soyez comme Moi. (Pages 328 à 331 – Edition J’ai Lu Aventure Secrète)


13. Dieu est Absolument Chaque Chose

Extrait de « Conversation avec Dieu », Tome II de Neale Donald Walsch

J’ai dit : « Dieu est tout et Dieu devient tout. Il n’y a rien que Dieu ne soit pas et tout ce dont Dieu fait l’expérience de Lui-même, Dieu en fait l’expérience, en tant que, et à travers toi. » Sous ma forme la plus pure, Je suis l’Absolu. Je suis Absolument Chaque Chose, et par conséquent Je n’ai besoin de rien, Je ne veux et Je n’exige absolument rien.
Dans ma forme absolument pure, Je suis tel que tu Me fais. C’est comme si enfin tu voyais Dieu et que tu disais : « Eh bien, qu’est-ce que c’est que ça ? » Mais peu importe ce que vous faites de Moi, Je ne peux oublier et je reviendrai toujours à ma Forme la Plus Pure. Tout le reste est une fiction. C’est quelque chose que tu es en train d’inventer.

Certains voudraient faire de Moi un Dieu jaloux ; mais qui pourrait être jaloux alors qu’on a, et qu’on est, Tout ?
Certains voudraient que Je sois un Dieu coléreux ; mais qu’est-ce qui pourrait Me mettre en colère alors que JE ne peux être blessé ni estropié d’aucune façon ?
Certains voudraient faire de moi un Dieu vengeur ; mais sur qui jetterais-Je ma vengeance, puisque tout ce qui existe est Moi ?
Et pourquoi Me punirais-Je pour avoir tout simplement créé ? Ou, si tu dois considérer que nous sommes séparés, pourquoi t’aurais-Je créé, t’aurais-Je donné le pouvoir de créer, t’aurais-Je donné la liberté de créer ce dont tu veux faire l’expérience, pour ensuite te punir à jamais d’avoir fait le « mauvais » choix ?
Je te dis ceci : je ne ferais rien de tel, et sur cette vérité repose ta liberté par rapport à la tyrannie de Dieu.
En vérité, il n’y pas de tyrannie, sinon dans ton imagination.
Tu peux revenir chez toi chaque fois que tu le voudras. L’extase de ton union avec Moi est à nouveau à ta portée. En un clin d’œil. Quand tu sentiras le vent sur ton visage. Quand tu entendras un criquet sous un ciel de diamants par une nuit d’été.
A la première vue d’un arc-en-ciel et au premier cri d’un nouveau-né. Au dernier rayon d’un crépuscule spectaculaire et au dernier souffle d’une vie spectaculaire.
Je serai toujours avec toi, même jusqu’à la fin des temps. Ton union avec Moi est complète ; elle a toujours été, l’est toujours et le sera toujours.
Toi et Moi ne faisons qu’Un, maintenant et à jamais.
Va, maintenant, et fais de ta vie une affirmation de cette vérité.
Fais en sorte que tes jours et tes nuits soient des reflets de l’idée la plus élevée qui soit en toi. Laisse tes instants présents se remplir de l’extase spectaculaire de Dieu qui se manifeste par toi. Fais-le par l’expression de ton Amour, éternel et inconditionnel, pour tous ceux dont tu atteins la vie. Sois une lueur dans l’obscurité, et ne maudis pas celle-ci. (Pages 332-333 – Edition J’ai Lu Aventure Secrète)


 

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