Enquêtes santé

Les maux des reins

Les reins remplissent trois fonctions essentielles : ils régularisent la quantité d’eau, ils éliminent les déchets et produisent des hormones.

Voici quelques-uns des trésors que Dame Nature met à notre disposition pour soigner les maux de reins (insuffisance rénale, calculs rénaux, néphrite, cystites, cancer) … -> 1. Remèdes naturels.

La médecine chinoise aide à stimuler le corps, à équilibrer l’énergie et à promouvoir un fonctionnement plus effectif des organes internes. La deuxième partie de cet article se concentre sur les exercices à faire et les points d’acupression à masser pour soulager / soigner les maux des reins : 2. Méthodes chinoises de soin ⇩

Ces remèdes et ces soins nous soulagent, nous soignent, mais la guérison ne peut se faire que si la maladie, qui ne frappe pas par hasard, est comprise.
A la suite des remèdes naturels et des méthodes chinoises de soin, vous trouverez quelques pistes qui aident à comprendre ce que le « mal a dit » dans 3. Le sens de la maladie ⇩


1. REMEDES NATURELS

Les simples :
– Achillée millefeuilleépilobe à petites fleurs, gailletplantain lancéole ou ortie en tisane.
– Racine de bardane : faire bouillir 50 g de racines fraîches, râpées ou écrasées, dans 1 litre d’eau durant 15 minutes. Filtrer et boire 3 grandes tasses par jour.
– Pissenlit : les feuilles sont particulièrement reconnues pour leurs vertus diurétiques, avec la particularité intéressante de ne pas appauvrir l’organisme en potassium. Elles nettoient les reins, facilitent l’élimination des toxines, épurent et fluidifient le sang.
– La verge d’or calme l’inflammation des reins, favorise l’élimination des toxines et la dissolution des calculs.
« La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », Maria Treben

La canneberge :
Antioxydant puissant et remède éprouvé des infections urinaires, le jus de cette airelle nordique agit aussi sur les calculs rénaux et les accidents vasculaires cérébraux.(Bioinfo)

Cerises :
Parties utilisées : pédoncule (queue)
Propriétés : diurétique puissant (sédatif des voies urinaires), laxatif et rafraîchissant.
Indications : insuffisance rénale, néphrites, cystites, lithiases urinaires, arthritisme (rhumatisme goutteux), oedèmes (cardiopathies), constipation.
Mode d’emploi :
– Décoction : 1 poignée/ litre d’eau. Bouillir 10 mn, infuser 30 mn. Boire 1/2 litre par jour. (Si les pédoncules sont secs, les laisser macérer au préalable 12h dans de l’eau froide)
– Une excellente boisson : 30 g de queues de cerises pour 1l d’eau. Bouillir 10 mn. Jeter la décoction bouillante sur 250 g de cerises fraîches ou sur des pommes coupées en rondelles. Laisser 20 mn en contact. Passer en exprimant.
Potion diurétique :
extrait de queue de cerise : 3 g
sirop de cerise : 100 g
eau : 1 l
à boire en 1 ou 2 jours.
Phytotérapie du Dr Jean Valnet, Ed. Vigot 2001

L’élixir du suédois :
Extrait du Manuscrit antique du Dr Samst :
20. Elles ont raison de toutes les hémorroïdes, guérissent les reins, expulsent du corps les humeurs de l’hypochondre, rendant toute autre cure inutile, font disparaître la mélancolie et les dépressions et excitent l’appétit et la digestion.
« La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », Maria Treben

L’aloé vera :
L’aloe vera est bénéfique pour détoxifier les reins, pour soutenir la fonction rénale, pour prévenir les calculs rénaux et pour réduire l’inflammation rénale.
https://aloe-vera-bienfaits.com/les-bienfaits-de-laloe-vera-pour-la-sante-des-reins/

L’asperge :
Elle est dotée de vertus diurétiques, laxatives et dépuratives, drainant le foie, les reins, l’intestin, les poumons et la peau. Indiquée en cas d’anémie, d’insuffisance hépatique ou rénale, elle combat entre autres la lithiase urinaire. C’est de préférence l’asperge sauvage fraîche qui sera consommée à visée thérapeutique. Comme tous les légumes, c’est à l’état cru, entière, râpée ou sous forme de jus qu’elle est réellement intéressante. La bouillie de racine d’asperge cuite dans du vin est utilisée en emplâtre appliqué sur le bas du dos, en cas de douleurs rénales. Eviter les abus d’asperges et les cures monodiétiques en phase aiguë de maladies inflammatoires comme la cystite par exemple. (Bioinfo)

L’ail :
Diurétique, il soulage les lithiases urinaires. (Bioinfo)

Huiles essentielles :
– Citron : dépuratif général du sang, des reins, du foie, de la vésicule biliaire et du pancréas (1 goutte sur la main, à laper, sur une cuillère de miel ou dans un verre d’eau chaude, trois à cinq fois par jour en dehors des repas.
– Bouleau : dissout les calculs rénaux (1 goutte 3 à 5 fois par jour).
– Genièvre : favorise l’excrétion des toxines rénales et de l’acide urique. Diurétique (élimine les problèmes de rétention d’eau, favorise l’amincissement). Antiseptique digestif, urinaire, sanguin et pulmonaire. (1 à 2 gouttes sur une cuillère de miel ou dans un verre d’eau chaude, une à trois fois par jour, en dehors des repas).
« L’aromathérapie », Nelly Grosjean

Consommer des aliments riches en vitamines F (acides gras linoléiques et alphalinoléniques) :
Une carence sévère en acide linoléique peut provoquer des affections du cœur, du foie et des reins, ainsi que des troubles du comportement.
Sources alimentaires de la vitamine F : présents dans les huiles végétales, les fruits secs oléagineux et les poissons gras, les acides gras linoléiques et alphalinoléniques appartiennent à deux familles chimiques distinctes. Selon de nombreux nutritionnistes, la part croissante des produits industriels raffinés dans l’alimentation occidentale se traduit par des carences en acides gras essentiels, notamment de la famille de l’acide alphalinolénique. Dans un régime idéal, l’apport d’acide alphalinolénique devrait représenter entre 20 et 50% de l’apport d’acide linoléique, dont les besoins sont mieux couverts par notre alimentation.
Ces deux acides gras sont rapidement absorbés par l’organisme. Attention : étant sensibles à la chaleur et à l’oxygène de l’air, ils se dégradent facilement pendant les opérations culinaires.
« Vitamines et Minéraux », Dr Christina Scott-Moncrieff



2. METHODES CHINOISES DE SOIN

Extrait de « Le système complet d’autoguérison – Les Exercices internes Taoïstes » du Dr Stephen T. Chang




3. LE SENS DE LA MALADIE

Gardons toujours à l’esprit que la maladie n’est qu’un symptôme de notre nature intérieure qui nous demande une sérieuse réflexion sur notre mode de vie et une grande prise de conscience de qui nous sommes.

Extrait de « D’accord avec mon corps » de Louise L. Hay :
Problèmes de reins
Causes probables : esprit critique, déceptions, échecs, honte, réaction puérile. Nouveau schéma de pensée : il y a seulement des actions divines justes dans ma vie. Chaque expérience m’apporte seulement du bien. Devenir adulte est sans danger.
Calculs rénaux
Cause probable : amas de colère non dissoute.
Nouveau schéma de pensée : je dissous tous mes problèmes passés avec aisance.
Pages 78-79 – Editions Vivez Soleil

Extrait de « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi » de Michel Odoul :
Les reins sont deux organes essentiels au processus de gestion et de filtrage des liquides organiques et du sel dans le corps. Filtrant plus de 1500 litres de sang par jour, ils trient, extraient les toxines du sang et les transforment en urine. Ce sont eux qui régulent le niveau d’eau et de sels minéraux en les extrayant du sang et les restituant en fonction des besoins. Ils facilitent ainsi la capacité de résistance et de récupération à l’effort. Nous voyons comment cela rejoint complètement leur rôle « énergétique ». Ils s’appuient sur la vessie pour évacuer les urines du corps. Ils jouent enfin un rôle très important dans le stress et les peurs, et dans leur gestion. Par l’intermédiaire des glandes surrénales (médullo-surrénales et cortico-surrénales), ils sécrètent en effet des hormones qui vont déterminer notre comportement face au stress et aux peurs. Les médullo-surrénales vont sécréter de l’adrénaline et de la noradrénaline qui vont impliquer nos réactions de fuite ou de lutte. Les cortico-surrénales vont quant à elles sécréter des corticoïdes naturels qui vont contrôler le niveau « inflammatoire » de notre réaction, c’est-à-dire son intensité émotionnelle, passionnelle au niveau cellulaire.

Les maux des reins
Les problèmes rénaux nous parlent de nos peurs. Qu’elles soient profondes et essentielles (la vie, la mort, la survie) ou bien en relation avec le changement. Les problèmes rénaux peuvent signifier que nous avons de la difficulté à lâcher sur des habitudes ou des vieux schémas de pensée ou de croyance. Cette résistance au changement peut être due soit à des peurs, à une insécurité, soit à un refus de bouger, à un entêtement sur des croyances profondes que nous refusons d’abandonner, bien que tout semble nous y amener pour ne pas dire forcer. Cette cristallisation sur ces vieux schémas peut aller jusqu’à se traduire par une cristallisation équivalente au niveau des reins (calculs). Ces maux s’accompagnent aussi souvent de tensions voire de douleurs au niveau lombaire.
Les souffrances rénales signifient aussi que nous avons vécu une situation de peur violente et viscérale (accident, attentat, etc.) dans laquelle nous avons eu conscience de frôler la mort, de l’avoir vue de près. Il arrive même parfois que dans certaines situations les cheveux (qui dépendent énergétiquement des reins), blanchissent brutalement.
Les maux des reins peuvent enfin exprimer notre difficulté à mettre ou à trouver de la stabilité dans notre vie, à trouver le juste milieu entre l’activité, l’agressivité et la défense qui appartiennent au rein gauche et la passivité, l’écoute et la fuite qui appartiennent au rein droit. C’est pourquoi ces tensions rénales nous expriment parfois notre difficulté à décider dans notre vie et à faire ensuite ce qui convient pour que ce que nous avons décidé se produise.
p. 206-207 – éditions Chemins de l’Harmonie

La véritable théorie du cancer du médecin allemand Ryke Geerd Hamer
« Dans le cas du cancer du rein, dont la source est un conflit d’eau ou de liquide, dit-il, à la seconde même où se produit le D.H.S. [le choc psychologique et le conflit biologique qu’il engendre quasi instantanément], il y a un court-circuit à un endroit déterminé du cerveau qui correspond, selon les cas, au rein droit ou au rein gauche. »
http://site.ifrance.com/pansemiotique/19syntaxesenscancer1.htm (site désactivé !)

Extrait de « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » de Jacques Martel, Les Editions ATMA Internationales
Problèmes rénaux
Les reins maintiennent l’équilibre du milieu intérieur en épurant le sang des substances toxiques et en compensant les « entrées » dans le milieu intérieur par des « sorties » (sécrétions d’urine). Ils participent aussi au contrôle de la pression artérielle. Au sens figuré, puisque les reins débarrassent le corps des déchets, c’est comme s’ils nettoient mon corps des idées négatives qui l’habitent. Un mauvais fonctionnement de mes reins dénote une rétention de mes vieux patterns émotifs ou bien une retenue de certaines émotions négatives qui ne demandent qu’à être libérées. Elles se manifestent le plus souvent par des pierres aux reins, aussi appelés calculs rénaux. Je fais sans cesse des « calculs » (rénaux !) pour savoir ce qui m’appartient ou ce que je risque de perdre. Je veux imposer mes limites et mes frontières afin de ne pas en « perdre » un centimètre ! Les reins sont aussi connus comme le « siège de la peur ». Lorsqu’ils s’affaiblissent ou qu’ils sont endommagés, il peut y avoir une peur que je ne veux pas exprimer ou que peut-être je ne veux même pas m’avouer à moi-même. Mon discernement est ainsi touché. J’aurai donc tendance à vivre des extrêmes, soit que je devienne très autoritaire, avec une tendance prononcée pour la critique, ou au contraire, que je devienne soumis, indécis, me sentant impuissant et vivant déceptions après déceptions. La vie pour moi est « injuste ». J’aurai de la difficulté à prendre des décisions. Si mes reins arrêtent de filtrer le sang, c’est comme si mon corps voulait garder le plus possible de ce liquide afin de ne pas le perdre ou de peur d’en manquer. Je dois donc me questionner et me demander quelle situation aurait pu engendrer une peur associée à un liquide (par exemple, si j’ai déjà eu peur de me noyer, le liquide serait ici l’eau). Cela peut être aussi le fait d’avoir failli ingurgiter un liquide toxique. Les tubes collecteurs des reins seront eux touchés si j’ai l’impression d’avoir à lutter pour mon existence. Je me sens dépossédé, abattu à la suite d’un événement marquant de ma vie. Les problèmes aux reins surviennent souvent à la suite d’un accident ou d’une situation traumatisante où j’ai eu peur de mourir. J’ai l’impression de n’être devant « rien » (rein), d’être devant le néant. J’ai l’impression d’avoir tout perdu, que tout mon monde s’écroule. J’ai peur d’être incapable d’affronter la vie. Les reins symbolisent aussi la collaboration (puisqu’il y en a deux et qu’ils doivent travailler en étroite collaboration). Je dois me demander comment est ma relation avec mon partenaire présentement. Est-ce que je le rends responsable de tous mes maux ? Est-ce que j’ai tendance à « déverser mes déchets » sur les autres et leur empoisonner la vie avec mes « problèmes » ? Si c’est le cas, mes reins auront de la difficulté à fonctionner et je pourrai même avoir une insuffisance rénale. J’ai alors à « collaborer », sans que j’en aie le choix, à une machine, le générateur d’hémodialyse, qui va m’aider à épurer mon sang. Je dois repenser tout mon système de relation avec mon entourage. Il est grand temps que je me prenne en mains, que j’apprenne à découvrir mes vrais besoins. Je prends la responsabilité de ma vie et je cesse de blâmer les autres. Je suis capable d’assumer mes choix. Mon discernement sera sûr et précis. Je collaborerai à 100 % avec la vie et j’aurai alors « des reins solides ». (Page 290)

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