Se réveiller

Le néo-féminisme

Le combat des femmes en Occident pour accéder aux droits fondamentaux comme le suffrage universel, la libre disposition du corps et de la sexualité, la réforme du divorce, l’accès à l’éducation, … leur a permis de jouir des mêmes droits et libertés que les hommes de façon autonome.
Depuis mai 1968 le mouvement féministe a évolué en défendant la liberté sexuelle et l’indépendance des femmes par rapport aux hommes, sous l’impulsion des élites mondialistes dont un des objectifs est de détruire la famille.
De nos jours, il ne s’agit plus d’égalité des sexes mais de déconstruction de l’ordre masculin.
Le néo-féminisme n’est pas un combat mais une idéologie.



Le féminin profanateur – Le néo-féminisme et l’agenda épi-eugénique satanique

Conférence en 2 parties de Mark Passio (traduction : Jeanne Traduction)

Mark Passio est un chercheur indépendant, conférencier, animateur de radio, organisateur de conférences et militant de la liberté à Philadelphie en Pennsylvanie. Mark a entrepris de rassembler de vastes quantités de recherches dans les domaines de la métaphysique, de l’occultisme, de la spiritualité, de la symbologie et de l’étude de la conscience.

Toute la retranscription de la conférence en français se trouve sur http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_633d7cd15bc5f.pdf

« L’une des prochaines méthodes de manipulation dont je veux parler est le concept de privilège masculin, ce mythe qui est propagé par l’idéologie néo-féministe. Le soi-disant privilège masculin est l’idée néo-féministe selon laquelle les hommes bénéficient d’une manière ou d’une autre d’avantages sociaux distincts par rapport aux femmes, basés principalement sur leur sexe, simplement parce qu’ils sont des hommes. Je ne sais pas combien de personnes dans le public qui regardent sur Internet croient réellement à cette idée, mais je vais vous dire une chose, personne ne m’a jamais, jamais donné quelque chose juste parce que je suis un homme. En fait, j’ai remarqué l’exact opposé. … » Mark Passio.

1ère partie de la conférence (2 heures) :
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Unholy-Feminine:8



2ème partie de la conférence (2h40) :
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Feminin-profanateur-passio:9







Les féministes radicales sont la véritable cause de la souffrance des femmes (juillet 2023)

« Le dilemme du féminisme moderne est le fait qu’en façonnant les valeurs contemporaines il a, selon les mots de l’écrivain Joan Price, « coupé les femmes des aspects de la vie qui sont des désirs distinctement féminins, tels que d’être une épouse et d’élever des enfants ».
Les féministes qui ont dirigé le mouvement des femmes dans les années 1960 considéraient la maternité comme un fardeau si lourd qu’il se rapprochait de l’esclavage. Ces idéologues présentaient la vie familiale comme une sorte de prison pour les femmes et une carrière professionnelle comme une forme de libération.
Cependant, ces féministes radicales ont négligé d’informer les gens que la plupart des maris n’allaient pas travailler pour s’y épanouir. Les maris s’engageaient souvent à effectuer un travail rémunéré non pas parce qu’ils ne disposaient pas de manière plus agréable d’occuper leur temps, mais parce qu’ils aimaient leur femme et leurs enfants. »

https://www.epochtimes.fr/feministes-radicales-veritable-cause-de-souffrance-femmes-2378772.html




Féminisme versus réalité

Le féminisme est un piège !
Il y a quelques années j’étais une militante féministe aux cheveux bleus. J’étais persuadée que les hommes étaient privilégiés et que j’étais une victime de l’écart salarial homme/femme. Mais maintenant je comprends les vraies motivations du féminisme. Je sais que ce n’est pas la vérité et que de nos jours le féminisme est une guerre contre la vraie masculinité.
Avant que les femmes n’aient le droit de vote, la plupart étaient femmes au foyer, ce qui veut dire qu’elles n’avaient pas d’emploi rémunéré et ne payaient ni impôts ni charges. Nos dirigeants n’aiment pas ça. Rockefeller a donc financé des campagnes féministes dans les médias. En conséquence de ce mouvement féministe, les femmes ont rejoint le monde du travail et quitté leur foyer. Les enfants ont été séparés de leurs parents et envoyés dans des écoles financées par Rockefeller pour y être endoctrinés par l’Etat. Tout cela a fragmenté l’unité familiale jusqu’à son noyau.
Le féminisme c’est la croyance en l’égalité sociale, économique et politique des sexes. Mais en Occident, dites-moi quels droits les hommes ont que les femmes n’ont pas ? Les féministes modernes affirment aux femmes qu’avoir des plans cul, prendre la pilule et ne pas se raser est une libération de la femme, que la masculinité toxique est omniprésente et que le « patriarcat » doit être démantelé. A travers les médias et les films, on nous a appris que travailler dur, grimper l’échelle sociale et payer nos taxes est plus épanouissant et précieux qu’élever la génération future. Les femmes ont perdu contact avec leur instinct maternel naturel et les taux de natalité s’effondrent.
Les hommes et les femmes sont différents. En protestant pour des égalités salariales plutôt que pour des opportunités, les féministes démotivent et émasculent les hommes.




« Le féminisme m’a laissé des traumatismes et beaucoup de chagrin » (avril 2023)

Interview de Amélie Menu, journaliste chez Omerta, ancienne activiste féministe.

Dans la vidéo ci-dessous, celle qui est aujourd’hui journaliste chez Omega rappelle qu’elle a été féministe pendant près de dix ans. Loin d’adopter une idéologie pour se parer de bonnes valeurs, elle vivait intensément son féminisme en adoptant des comportements très masculins comme se raser la tête, avoir des poils, draguer les hommes activement dans la rue et pratiquer des sports de combat pour être forte sur le terrain des hommes.
Cependant, à l’âge de 29 ans, elle a réalisé qu’elle ne générait aucun désir chez les hommes, malgré son désir d’avoir une famille et des enfants. Elle a également vécu le polyamour : “J’ai vécu le polyamour aussi pendant dix ans et je me suis rendue compte à quel point ça m’a un peu bousillé”. Elle a alors compris que les belles promesses du féminisme ne lui avaient apporté que des traumatismes et de la tristesse : “j’ai toujours eu un intérêt pour le maquillage, mais par activisme, je m’obligeais à ne pas me maquiller. Et en fait, j’arrive à 30 ans et je me prends une baffe stratosphérique. Parce que le plan que j’avais, c’était d’avoir une famille, des enfants. Mais j’ai rien.” Amélie Menu a finalement réalisé qu’elle avait mis de côté ses propres désirs pour s’adapter à une idéologie.
L’ancienne féministe évoquera aussi sa dépression post-avortement : “Il faut aussi savoir que j’ai avorté quand j’avais 23 ans et j’ai mis deux ans et demi, voire trois ans à m’en remettre. J’ai grandi dans les milieux féministes et on me disait : ‘Oui, tu es enceinte, prends des médocs, va à l’hôpital, demain c’est fini ! C’est ton corps, ton choix.’ Et en fait je n’avais pas du tout compris l’implication physique et émotionnelle.”

https://lemediaen442.fr/amelie-menu-ancienne-activiste-feministe-le-feminisme-ma-laisse-des-traumatismes-et-beaucoup-de-chagrin/

Autre interview d’Amélie Menu : « Fabriquer un vagin ou un pénis artificiel, c’est de la boucherie pure qui peut mener au suicide ! » : « La propagande du transgenrisme »



Les mondialo-talmudo-satanistes empêchent les femmes de remplir leur rôle sur Terre en les masculinisant


Source : https://www.disclosurenews.it/news-burst-29-october-2022-get-the-news/




 » Un bon père est un père mort «  – Manifestation du 8 mars 2024 en France




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