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La colère
Exprimer sa colère, c’est naturel, c’est sain Je constate que la colère est une émotion mal comprise et mal interprétée dans notre société en fonction de nos croyances religieuses, spirituelles, sociétales ou familiales. Je voudrais donner ici mon interprétation de ce qu’est pour moi la colère, en faisant une distinction entre colère, rage et rancune. Au nom de la politesse, du tact, des convenances ou des principes inculqués par nos parents, chacun de nous a appris à réfréner ses émotions, comme la colère jugée négative. Nous sommes devenus des piles de plus en plus chargées d’électricité et, une fois adultes, nous sommes remplis de vieux sentiments de colère, de rancune,…
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Être victime
Avec l’acceptation de la responsabilité individuelle et planétaire, le cerveau/mental s’activera à un degré de plus en plus haut. Cette prise de conscience est rendue difficile parce que jusqu’à présent les contrôleurs de la planète profitent de la conscience de victime de la majorité des gens. Ces contrôleurs font tout pour que le système qu’ils ont soigneusement mis en place ne se renverse pas, et la conscience de victime maintient leur programmation en place. Cette attitude de victime est à son tour tenue en place par la fausse croyance des gens qu’ils peuvent être secourus par une source située à l’extérieur du soi et de l’humanité dans son ensemble, c’est-à-dire…
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La pitié
La pitié, ce sentiment si destructeur Si je soulève ce sujet, c’est parce que je voudrais remettre le sentiment de pitié à sa juste place, c’est-à-dire à la poubelle. Il pourrit la vie d’innombrables personnes et a pourri la mienne pendant de nombreuses années jusqu’à ce que ça fasse tilt. On apprend aux êtres humains dans la plupart des cultures depuis la nuit des temps que la pitié est une vertu, une qualité de cœur. Nos éducateurs (parents, professeurs, médias, prêtres,…) nous inculquent que celui qui n’a pas pitié du malheur des autres n’a pas de cœur, qu’il est égoïste. Face au malheur d’autrui, peu importe lequel, il y a…